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Quelle matière choisir pour mon écharpe ?

Quelle matière choisir pour mon écharpe ?
  • En tissu plus soutenant et respirant ?
  • En tricot plus enveloppant mais moins pérenne ?
  • Plutôt du coton basique et facile d’entretien ou un lin plus ferme ?
  • A moins qu’un peu de viscose ne vienne fluidifier le tout et apporter un petit vent de fraîcheur ?

Vous voici perdus dans la jungle du portage et des multiples choix qui s’offrent à vous.

Besoin d’aide pour mieux comprendre ? On vous propose un petit article pour faire le point sur les matières couramment utilisées dans la confection des porte-bébés et sur l’impact qu’elles auront sur leur utilisation.

1 – En tissu ou en tricot ?

La toute première notion à connaître, la primordiale, c’est le distinguo entre les tissus et les tricots. Vous pensiez que les écharpes étaient toutes des grands bouts de tissu identiques ou presque ?

Perdu, il en existe en réalité 3 modèles répartis en 2 catégories principales : les tissées et les tricotées avec ou sans élastane ! Et savoir à quelle catégorie appartient votre outil a un impact assez important sur l’utilisation que vous en aurez !

Le tricot est constitué d’un seul même fil, généralement de coton, tricoté. Évidemment pas avec les aiguilles de mamie : on utilise un métier à tricoter industriel. Cela donne une matière plus ou moins extensible : prenez votre t-shirt, c’est un tricot par exemple.

Les tricots constitués intégralement de coton, présentent une extensibilité sans mémoire de forme : lorsqu’on étire la matière, elle reste déformée ensuite. Dans le portage, c’est une matière qui est agréable pour porter un nouveau-né mais qui le plus souvent va être très peu pérenne : dès lors que le bébé grandit et grossit, le tricot poche et l’enfant est mal soutenu à l’intérieur, rendant l’installation inconfortable. Plus le tricot est fin moins il est soutenant, si votre écharpe est tellement fine qu’elle en est transparente, c’est plutôt mauvais signe quant à sa durabilité ! Si l’étiquette de composition est inaccessible, on reconnait ces matières là à leur comportement : plutôt rigide quand on l’étire dans la longueur, plutôt molle et reste un peu déformée dans la largeur.

A noter que les notices des écharpes vendues avec ces écharpes ne correspondent souvent pas à leur utilisation et proposent des nouages irréalisables avec (notamment les installations de type « nœud de base », qu’on réalise intégralement avant d’y mettre l’enfant, mais qui ne peuvent être proposées qu’avec des tricots contenant de l’élastane en combinaison du coton)

Les tricots contenant en combinaison du coton un peu d’élastane ou spandex (autour de 5% en général), bénéficient quant à eux d’une mémoire de forme qui permet à la matière de retrouver sa forme initiale après étirement. Ce sont des tricots bien plus dynamiques et qui sont du coup plus soutenants que leurs homologues sans élastane. Si on veut jouer sur la sémantique, on peut parler  d’écharpe élastique en plus d’extensible.

Le répondant obtenu permet à l’écharpe d’être utilisée plusieurs mois, la durabilité réelle dépend ensuite de sa largeur et de sa densité, en moyenne on se situe entre 4-6 mois et 12-18 mois.

Armure Tricot

Les écharpes tricotées nécessitent toutes 2 à 3 épaisseurs de matières en soutien du dos du bébé pour être sécuritaires : les nouages en simple couche comme un kangourou ou un enveloppé-croisé pans non déployés ne sont pas adaptés. Dans la plupart des cas, on déconseille également leur utilisation pour un portage dans le dos.

Les tissus sont quant à eux confectionnés sur un métier à tisser, avec plusieurs fils de chaîne et la trame. Le tissage utilisé dans le portage est ce qu’on appelle un tissage sergé-brisé. On vous épargne les détails techniques, en gros lorsque vous prenez une toile (ex : un torchon), elle est très rigide lorsqu’on la tire sur les longueurs et largeurs, mais très extensible dans la diagonale avec une tendance à la déformation (vous voyez le pantalon en lin qui semble prendre 4 tailles au bout de 10mn de marche ? C’est à cause de la déformation de la toile !). On n’utilise pas de toile pour réaliser des écharpes car la rigidité des longueurs tend à cisailler au niveau des lisières et la déformation de la diagonale n’est pas optimum pour offrir un bon soutien au bébé. Ce serait sécuritaire, mais peu confortable.

Le sergé-brisé est moins « sec » dans les longueurs et largeurs, et élastique dans les diagonales (cf pour les tricots si vous avez bien suivi : extensible mais avec une mémoire de forme qui offre plus de résistance). Pour exemple, les jeans sont réalisés avec un tissage sergé (pas brisé, mais ça ressemble un peu !).

Les écharpes tissées sont très pérennes, elles peuvent supporter sans broncher des tractions de plus de 700kg (NB : si votre bébé atteint ce poids : consultez !). Une seule épaisseur est suffisante pour apporter un bon soutien à votre tout-petit ce qui permet notamment de réaliser des nouages kangourou.

Armure tissée Toile
Armure tissée Jacquard
Armure tissée Sergé croisé
2 – Du coup, c’est quoi le mieux ?

Tout le monde est encore avec moi ? On continue !

Le choix entre un tricot ou un tissu est principalement subjectif : le portage c’est avant tout une question de sensations !

Les tricots apportent des sensations extrêmement enveloppantes, surtout ceux avec de l’élastane qui confèrent un véritable effet seconde peau. Vous ne faites qu’un avec votre bébé ! Ils sont moins pérennes que les tissus mais sont également moins onéreux : cela peut permettre à moindre coût de voir d’abord si on apprécie le portage avant d’investir dans un autre système qui ira plus loin. Il n’est pas rare de débuter les premières semaines avec une écharpe, puis de basculer vers un mei-tai ou un préformé lorsque bébé grandit et/ou qu’on souhaite le porter dans le dos avec des installations moins techniques.

En contrepartie, contrairement aux idées reçues, ils sont souvent plus techniques à manipuler : quand on tire sur la matière, elle se déforme avant de se tendre, et elle ne se tend que si vous la tirez dans le bon axe ! Le manque de feedback peut parfois mettre en difficulté un débutant qui aura du mal à évaluer si ses réglages sont corrects.

Autre point négatif à prendre en compte : ce sont des écharpes qui tiennent chaud ! 3 épaisseurs de matière + le synthétique de l’élastane : au-delà de 20-25°C cela peut devenir assez inconfortable !

Enfin l’élastane est un matériau qui présente une durée de vie limitée. Même (et surtout) inutilisée dans un placard, l’écharpe s’abîme : vous voyez la vieille paire de chaussettes oubliées dans un tiroir ? l’élastique qui fait CRRRRCCCRCRRRR et se casse quand vous tirez dessus ? Pareil. Du moins l’écharpe ne se déchire pas et reste sécuritaire, mais elle devient raide et beaucoup moins confortable. A éviter d’occasion donc.

Les tissus sont en revanche très durables et pourront servir pour porter plusieurs enfants (voire même leurs propres enfants ensuite !). Le tissage est généralement plus respirant que le tricot qui se doit d’être très dense pour être soutenant, et le fait qu’il ne s’utilise qu’en une seule couche le rend tout à fait utilisable même en plein été (cf l’article sur le portage l’été).

Les écharpes tissées souffrent d’une mauvaise réputation de porte-bébé difficile à manipuler et un peu rêche : comme vous l’aurez compris il n’en est rien ! Elles présentent un feedback très pédagogique qui permet de bien ressentir les réglages et les marques de bonne qualité sont douces et souples dès les premières utilisations.

3 – Et la matière ?

Outre les notions de travail du fil, la composition du fil a elle aussi son importance : coton, lin, chanvre, laine, soie, viscose de bambou… Vous n’aurez pas le même rendu en fonction de la matière choisie !

Classiquement le coton reste la fibre la plus employée : polyvalente, douce, légère et facile à laver, elle présente les caractéristiques idéales !

Le lin et le chanvre sont régulièrement cités pour l’été : s’ils sont effectivement plus frais, leurs fibres sont également plus rigides. Cela rend l’écharpe un peu plus rêche et moins facile à ajuster. A quelques exceptions prêt, les porte-bébés contenant du lin ou du chanvre sont généralement destinés à des bambins plus lourds et qui se tiennent suffisamment pour que leur musculature compense des réglages moins précis, ils sont plus soutenant c’est-à-dire qu’à épaisseur égale avec du coton, vous ressentirez moins le poids de votre enfant avec.

La soie et la laine sont des matériaux qui sont thermorégulateurs : ils tiennent chaud l’hiver mais gardent le frais l’été. Ils sont souvent légèrement plus élastiques que le coton et très agréables si on supporte le côté un peu « piquant » de la laine (même si les laines de qualité sont très douces et n’ont plus rien à voir avec celles des pulls et cagoules qui nous ont traumatisés enfants !). Le gros point noir reste leur entretien, plus délicat, à fuir avec un bébé qui régurgite beaucoup !

Les viscoses sont des matériaux synthétiques mais qui sont généralement frais et très fluides. Ils apportent aux écharpes une très grande souplesse et sont très prisés en association avec le coton pour le portage de tout-petits et pour l’été.

4 –Où se situent les gammes Néobulle ?

My sling, My cocon et My néo sont des systèmes de portage constitués en tricot : ils sont donc extensibles et enveloppants, et destinés à un portage la première année de bébé.My sling est cousu dans un tricot 100% coton mais qui présente une grande densité qui malgré son utilisation en simple couche lui confère un soutien assez étonnant !

My cocon est composée d’un mélange de viscose de bambou et élastane, c’est donc une écharpe élastique. Le bambou atténue en grande partie la surchauffe liée aux 3 épaisseurs qu’elle nécessite, elle est idéale pour un portage ventral uniquement.

My néo présente un tablier constitué d’un tricot 3D innovant souple mais très soutenant.

La quasi-totalité des autres gammes est composée de coton soit de tissage sergé brisé, soit de tissage jacquard : le jacquard est une technique beaucoup plus complexe qui permet d’obtenir un motif et est donc plus esthétique. Le tissu obtenu est également plus souple, plus doux et plus agréable à manipuler et régler.

Enfin les slings et écharpes de la gamme « seacell »présentent une combinaison de coton et de viscose d’algues, ce qui leur confère une grande sensation de fraîcheur et plus de fluidité.

Ne reste plus qu’à choisir les coloris et cette fois-ci : on ne peut plus vous aider !!!!

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Cette transition demande une période d’adaptation, autant pour l’enfant que pour les parents. La rentrée en maternelle marque aussi le début de nouvelles habitudes : une routine du matin instaurée par la maîtresse, la découverte du centre de loisir, la cantine, la cours de récréation...  Préparer son enfant à la première rentrée scolaire Parler de l'école en amont Pour rassurer votre enfant, parlez-lui de l’école plusieurs semaines avant le premier jour.Expliquez ce qui va se passer :Qui sera là pour l’accueillir (sa maîtresse et l’ATSEM)Ce qu’il fera dans la journée (activités, jeux, sieste, repas)À quel moment il rentrera à la maisonComment se passent les moments clés (arrivée, récréation, départ)Les livres pour enfants sur la rentrée maternelle sont un excellent support pour mettre des mots simples sur ce nouveau rythme.💡Astuce : durant l'été, amusez vous à créer une frise toute simple, pour aider votre enfant à se repérer d'un point de vue temporelle. La frise servira de support visuel au fil de l'été pour répondre à la question "combien de dodo avant la rentrée ?". Visiter l'école avant la première rentrée scolaire Si cela est possible, organisez une visite de l'école maternelle de votre enfant avant la première rentrée scolaire. Voir la classe, la cour et les toilettes permet à l’enfant de se familiariser avec les lieux.Cette découverte visuelle réduit l’angoisse et facilite l’adaptation le jour J. Certaines écoles proposent même une petite rencontre collective avec les futurs camarades, ce qui est idéal pour créer un premier lien social avant la séparation du jour J.💡Astuce : prenez des photos des endroits clefs, que vous pourrez montrer à votre enfant durant l'été. Préparer les affaires scolaires en famille Lors de la première rentrée scolaire, la liste des fournitures est très réduite. Il y a cependant quelques indispensables :Un petit sac à dos facile à ouvrir par l’enfantDes affaires scolaires simples : boîte de mouchoirs, change complet, doudou si besoinUne gourde anti-fuite étiquetée à son nom💡 Astuce : laissez votre enfant choisir son sac à dos pour qu’il se l’approprie. Cela renforcera sûrement son enthousiasme pour la rentrée, d'avoir un sac à dos  "comme ceux des grands" !  Instaurer une routine du matin La semaine précédant la rentrée en maternelle, commencez à instaurer une routine du matin similaire à celle de l’école : lever à heure fixe, habillage, petit-déjeuner, brossage de dents. Cela favorisera une transition en douceur en prévision du premier jour d'école.En petite section, les enfants de 3 ans n'ont pas encore la capacité de se repérer dans le temps. Hier, demain, la semaine prochaine, dans une heure .. voici autant de concepts qui lui sont étrangers, à ce stade. Mettre en place des donneurs de temps lui sera d'une aide précieuse pour faciliter l'apprentissage de ces repères spatio-temporels. Par exemple  :Un semainier très simple, qui distingue grâce à deux couleurs différentes les temps passés à l'école de ceux passés à la maison,Un tableau de routine du matin, pour rassurer l'enfant et lui permettre d'appréhender l'heure du départ pour l'école,Un réveil qui distingue le jour et la nuit, pour faciliter les moments du coucher et du réveil Gérer le moment de la séparation Les pleurs du matin : un phénomène fréquent durant la première rentrée scolaire Soyons honnête : les pleurs sont fréquents durant les semaines qui suivent la première rentrée scolaire. On vous souhaite sincèrement d'y échapper mais... l'entrée en maternelle s'accompagne de tout un flot d'émotions.Vivre cette séparation, découvrir cet environnement nouveau, rencontrer des camarades inconnus jusqu'alors, c'est un énorme cap à passer. D'autant plus que l'effet de groupe joue aussi. Votre enfant a beau être enthousiaste, la veille de sa première rentrée, le jour J s'il est entouré d'autres enfants qui pleurent, il aura probablement du mal à retenir ses larmes. Cela ne traduit pas un mal-être à l’école, ni une mauvaise préparation de votre part, pas d'inquiétude. Souvent, les enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent.Rassurez-vous : les enseignants et ATSEM sont habitués à accompagner cette étape d’adaptation. Dire au revoir sans s’éterniser La métaphore du sparadrap illustre plutôt bien ce temps délicat de la séparation du matin. Parfois, le fait de dire au revoir sans s'éterniser facilite la transition.Soyez à l'écoute des émotions de votre enfant et de son ressenti, bien sûr. Mais n'hésitez pas à créer un rituel court et identifiable, que vous-mêmes et votre enfant pourra s'approprier pour se sécuriser :L’amener jusqu’à la porte ou en classeDes activités libres sont souvent mises en place par la maîtresse, invitez votre enfant à choisir celle qui lui plaît le plus, Un petit câlin réconfortantUne phrase rassurante (« Je t'aime, passe une belle journée, je reviens te chercher après la sieste »)Pour certains enfants, voir leurs parents rester trop longtemps rend en effet la séparation plus difficile. Accompagner les émotions de son enfant La première rentrée scolaire (et les suivantes) est très souvent chargée d'émotion. C'est la fin d'un chapitre, le début d'un autre. Un nouvel environnement, de nouveaux interlocuteurs. Comme le phare en pleine tempête guide les bateaux égarés, n'hésitez pas à accompagner votre enfant dans la verbalisation de ses émotions. Voici plusieurs ressources qui peuvent être précieuses pour adoucir les angoisses de la séparation : Dessiner un coeur sur la main de votre enfant : astuce bien connue des jeunes parents, dites à votre enfant que ce coeur est chargé de bisous, que s'il en ressent le besoin, il peut le regarder. Que c'est la preuve que vous pensez à lui, toute la journée, et que vous l'aimez de tout votre coeur. La pratique du portage : certains parents redoutent de "trop" porter leur enfant, au risque de leur donner des mauvaises habitudes et de rendre la séparation plus compliquée. Mais c'est tout le contraire : le portage participe à la création d'un lien d'attachement sécure. Un enfant avec un lien d'attachement sécure se sent donc en confiance pour explorer le monde qui l'entoure. Son instinct lui souffle qu'en cas de détresse, donc parent sera toujours là pour l'apaiser.La pratique du massage : les massages présentent de nombreux bienfaits pour les bébés, comme les adultes. Sécrétion d'ocytocine, détente, renforcement du lien d'attachement... N'hésitez pas à l'intégrer à votre routine du soir, par exemple en utilisant l'huile bio P'tits Câlins, qui apaise, nourrit et hydrate la peau.Les huiles essentielles : elles présentent de nombreuses vertus. Pour apaiser les enfants dès 3 ans, l'huile bio Dé-Stress, fabriquée en France, peut devenir votre meilleure alliée avant de partir à l'école !  La question de la continence : pas de panique ! Beaucoup de parents redoutent que leur enfant ne soit pas totalement propre avant la première rentrée scolaire. C'est une angoisse légitime. Mais, en vérité : chaque enfant évolue à son rythme, et il est fréquent que l’acquisition de la continence se poursuive au début de la rentrée maternelle.Les enseignants et ATSEM sont là pour :Aider les enfants en cas d’accidentProposer des passages (très) réguliers aux toilettesEncourager et féliciterL'effet de groupe favorise également cet apprentissage ! Faites confiance à votre enfant. Là encore, certains albums jeunesse aborde cette thématique en douceur.💡 Glissez dans le sac à dos un change complet et une petite pochette pour les vêtements humides. Il existe des culottes d'apprentissage rembourrées pour une transition en douceur. Les 3 erreurs à éviter pour une première rentrée scolaire sereine! Lors de la première rentrée scolaire, l’envie de bien faire est naturelle… mais certains réflexes peuvent, sans qu’on s’en rende compte, augmenter le stress de l’enfant. En gardant en tête que cette étape est avant tout une période d’adaptation, il est plus facile d'adopter des bons réflexes en amont :Inutile de se mettre la pression sur la continence : promis, la continence en journée viendra avec le temps, lâchez prise sur le sujet.Cibler vos questions, le soir : certains parents aimeraient se transformer en petite souris pour observer ce que fait leur enfant durant la journée. Ne vous attendez pas à un compte-rendu détaillé de la part de la maîtresse. Gardez en tête que votre enfant ne peut pas tout retenir et qu'il a accumulé de la fatigue durant la journée. Par exemple, demandez-lui simplement : "qu'est-ce que tu as le plus apprécié durant ta journée ?".Eviter de changer toute la routine familiale en même temps : conserver certains repères habituels pour ne pas perturber davantage ses journées favorisera une transition en douceur. FAQ – Première rentrée scolaire, les questions fréquentes que se posent les parents Mon enfant pleure tous les matins, que faire ? Les pleurs du matin sont fréquents. Ne culpabilisez pas. Rassurez-le sur le fait que vous reviendrez le chercher et adoptez un rituel de séparation constant. La plupart des enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent. Si les pleurs perdurent sur plusieurs semaines, après la rentrée, n’hésitez pas à demander un rendez-vous avec la maîtresse pour discuter des choses qui peuvent être mises en place pour faciliter la séparation. Faut-il que mon enfant sache s’habiller seul ? Pas nécessairement ! La maîtresse et l’ATSEM accompagnent les enfants pour mettre ou enlever leur manteau. L’important est qu’il participe selon ses capacités. C’est en pratiquant qu’il développera sa motricité fine et apprendra à s’habiller en autonomie. Optez pour des vêtements faciles à manipuler et confortables (baskets à scratchs, sweats à enfiler …). Mon enfant n’est pas continent, puis-je lui mettre une couche à l'école ? Non, il n’est pas possible de déposer votre enfant à l’école en couche. C’est valable pour les modèles classiques à scratchs comme pour les modèles panty. Cependant, vous pouvez opter pour des culottes d’apprentissage. Elles contiennent une partie rembourrée qui évite que votre enfant se retrouve trempé en cas d’accident. En conclusion La première rentrée scolaire est un mélange d’émotions pour toute la famille.Il est possible de préparer votre enfant en amont (affectivement et matériellement), de mettre en place une routine du matin rassurante et une communication bienveillante, pour l'aider à vivre cette étape avec confiance.Que ce soit le choix du sac à dos, l'accompagnement des pleurs, la préparation à la séparation, chaque détail compte pour faciliter la transition. Il y aura sûrement un écart entre ce que vous aviez projeté pour ce premier jour d'école et ... la réalité à l'instant T. Il est impossible de tout prévoir à l'avance. Mais souvenez-vous : vous faites au mieux, avec les ressources à votre disposition.

BébéPrévenir et apaiser les petits bobos de bébé : tous les conseils Néobulle !

Premiers bobos de bébé : les identifier et apaiser

Même si un nouveau-né est souvent en bonne santé, il n’est pas à l’abri de petits désagréments au fur et à mesure qu'il grandit. Acquisition du quatre pattes et de la marche, premières poussées dentaires, inconforts digestifs... Savoir identifier et soulager rapidement les bobos de bébé permet d’apaiser toute la famille.Sommaire Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Reconnaître les signes des coliques et d'inconfort digestif Les douleurs digestives sont fréquentes durant la première année de vie de bébé. Notamment les premières semaines, puis au moment de la diversification alimentaire. L'immaturité du système digestif du nouveau-né y est pour beaucoup : les choses se mettent en place petit à petit. Bébé se tortille, son visage se crispe, il pédale et pousse avec ses jambes ? Votre instinct vous souffle la réponse : ce sont bien les signes d'un inconfort digestif ! Gestes simples pour soulager bébé Voici quelques réflexes simples à intégrer dans votre quotidien pour soulager votre bébé : Réalisez de petits cercles dans le sens des aiguilles d’une montre avec l'huile Bio Calm’Bidou, dès la naissance.Appliquez-la après le change ou lors d'une phase d'éveil calme (évitez les crises de pleurs)Ramenez doucement les genoux de bébé contre son ventre pour faciliter l'évacuation des gaz.Réalisez un bain enveloppé en fin de journée pour l’aider à se détendre.💡 Astuce parent : En cas de doute ou si les symptômes persistent, demandez toujours l’avis de votre médecin. Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Sécuriser l’environnement de bébé Même les tout-petits peuvent parfois basculer et s'improviser cascadeurs en herbe! Par exemple lors de l'acquisition du quatre pattes ou de la marche. Sécurisez les pièces de votre logement (coins de table, tapis antidérapants…), mais n’oubliez pas : ces petits bobos de bébé font partie de la découverte du monde. Soulager bébé avec un soin adapté Gardez à portée de main l'huile Bio Badaboum. C’est le chouchou de nombreux parents : à base d’arnica et d’hélichryse, elle apaise bosses et bleus dès 3 mois. Grâce à son format roll-on, elle s’applique directement sur la peau, sans massage. Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Quand apparaissent les premières dents ? Les poussées dentaires débutent généralement entre 3 et 6 mois, mais chaque bébé évolue à son rythme. Certains naissent même avec une première dent !Ces poussées dentaires s’accompagnent souvent d’irritabilité, de salivation abondante, de rougeurs au niveau des joues et peuvent avoir un impact sur le sommeil de votre tout-petit (et... le vôtre!). Apaiser les premières poussées dentaires Même s'il n'existe aucune recette miracle pour apaiser entièrement les poussées dentaires, voici quelques gestes simples pour soulager en douceur votre bébé :Massez doucement ses gencives avec l'huile Bio Premières Dents dès 3 mois, composée d'une combinaison d'huiles végétales et d'huiles essentielles calmantes,Proposez un anneau de dentition réfrigéré pour un effet apaisant.Si votre bébé est diversifié, placez quelques glaçons de fruits ou de lait maternel dans une grignoteuse, Offrez une présence rassurante et des câlins pour aider votre bébé à traverser cette étape (spoiler : les sessions portage peuvent aider et favoriser la sécrétion d'ocytocine !)➡️ Pour en savoir plus sur les poussées dentaires, découvrez notre article dédié ! Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien Pas de panique : les petits bobos sans gravité Les ongles de bébé poussent vite et peuvent occasionner des griffures, tout comme les jeux ou les découvertes du quotidien. Si vous allaitez, vous avez peut-être déjà eu l'occasion de constater à quel point leurs petits ongles peuvent être redoutables !En été, la peau tendre des bébés a aussi tendance à régaler les moustiques.Au fil du développement moteur de votre bébé, il commence à ramper et faire du quatre pattes. C'est souvent une période sensible pour leurs genoux, qui s'égratignent facilement. Une solution douce et rapide Pour les petites coupures, égratignures, genoux griffés ou coudes abîmés, l'huile Bio P’tits Bobos est idéal. Son format roll-on le rend tellement pratique à appliquer, sur un bébé qui a la bougeotte, dès 3 mois !Formulée avec des huiles essentielles de ciste, de géranium rosat et de lavande fine, ce stick favorise la réparation cutanée et convient à toute la famille ! En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Les petits bobos font partie intégrante de la vie de bébé et du quotidien des parents. Qu’il s’agisse d'inconforts digestifs, de petites chutes, de poussées dentaires ou de griffures, apprendre à les identifier et à les soulager avec douceur permet d'apaiser toute la famille. En adoptant des gestes simples, en utilisant des produits adaptés et en offrant une présence rassurante, vous accompagnez votre enfant dans sa découverte du monde qui l'entoure.