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Accompagner un bébé qui souffre de reflux (1/2)

Accompagner un bébé qui souffre de reflux (1/2)

Le reflux gastro-oesophagien, au quotidien

Tous les parents ayant été confrontés à cette situation le savent : entre les pleurs, le sentiment d’impuissance, la fatigue engendrée, et sans parler des lessives à gogo, être parent d’un bébé qui souffre de reflux, c’est l’enfer ! Et malheureusement cette situation n’est pas rare puisqu’on estime que cette pathologie concerne 1 bébé sur 5, soit 20% des tout-petits.

Signaux évocateurs, coups de pouce pour soulager, astuces portage… On en parle au travers de 2 articles consacrés spécifiquement à cette thématique !

Régurgitations physiologique ou Reflux gastro-œsophagien (RGO) ?

En premier lieu quelques petites explications.

Le reflux gastro-œsophagien (RGO pour les intimes), c’est ce qu’on appelle plus communément les remontées acides. Mesdames pendant la grossesse, il est probable que vous ayez expérimenté ça, et si oui en général vous vous en souvenez. Parce que ça fait (très) mal. Cela correspond à une remontée d’une partie du contenu de l’estomac dans l’œsophage, lequel n’est absolument pas conçu pour supporter l’acidité du liquide en question. Cela génère donc des sensations très désagréables de brûlure, et peut à plus ou moins long terme occasionner une inflammation de la muqueuse de l’œsophage (œsophagite).

Il n’est pas rare de s’interroger sur la différence entre un reflux (pathologique) et des régurgitations (physiologique), d’autant qu’il est assez commun de s’entendre dire qu’un bébé qui régurgite c’est normal, et qu’un bébé qui pleure, c’est normal aussi. Certes ça peut être vrai dans une certaine mesure, mais les parents même d’un premier enfant se rendent bien compte quand l’intensité des pleurs de leur bébé n’est pas normale.

Les régurgitations physiologiques sont reliées à une immaturité du petit clapet à la base de l’œsophage. Après une tétée ou un biberon, le trop-plein ressort (souvent au même moment qu’on propose le rot), sans que choupinou ne paraisse le moins du monde gêné d’avoir retapissé tout votre t-shirt. D’ailleurs il vous fait un grand sourire !

Les régurgitations physiologiques ont donc lieu juste après le repas, le lait qui sort n’est pas du tout caillé – prédigéré. Et surtout votre bout de chou n’est pas ni gêné ni douloureux par ces dernières.

Dans le cas d’un RGO, les remontées sont moins liées aux repas, elles existent même lorsque l’estomac est « vide », et elles sont extrêmement acides. Dans les signaux qui peuvent y faire penser, on peut retrouver (de façon non exhaustive) :

  • Un bébé qui pleure énormément, est très agité, nerveux
  • Il supporte souvent difficilement la station allongée et vous devez le garder vertical un maximum de temps
  • Il lui arrive de régurgiter à distance des tétées du lait caillé
  • Il semble « mâchonner » souvent
  • Vous l’entendez régulièrement ravaler quelque chose (et il pleure ou se raidit souvent dans la foulée)
  • Il est extrêmement raide, très tendu, hypertonique et semble ne jamais se détendre
  • Il peut avoir une haleine « acide »
  • Il peut avoir une voix qui devient rauque, éraillée

Évidemment tous les bébés ne vont pas montrer les mêmes signaux, certains n’en présenteront que quelques-uns, d’autres la quasi-totalité…

A noter que le reflux n’est pas forcément associé à des renvois de lait, on parle alors de reflux « interne ».

A partir du moment où vous avez des doutes sur ce sujet, il est vivement conseillé d’en faire part au médecin ou pédiatre en charge du suivi médical de votre bébé, pour qu’il puisse établir (ou non si ce n’est pas ça) un diagnostic, et le cas échéant, proposer des traitements pour soulager votre tout-petit.

Soulager la douleur

La première difficulté qui se pose en général, c’est la douleur à laquelle votre bout de chou est confronté. Il pleure, beaucoup, de véritables hurlements qui vous laissent totalement impuissants à le soulager.

On abordera plus spécifiquement après l’alimentation, qui joue un rôle dans cette histoire, mais modifier ou améliorer cette dernière est bien souvent insuffisant pour vraiment limiter la casse.

C’est là que le médecin intervient. Pansements gastriques, anti-acides (inhibiteurs de la pompe à protons), il a plein de cordes à son arc et peut aider votre famille et soulager votre bébé.

Même si évidemment personne n’aime donner des médicaments à son tout-petit, une douleur importante pèse grandement dans la balance bénéfices-risques (et soyons honnêtes, quand on a une crise de migraine ou autre douleur… on prend aussi un antalgique. C’est du même ordre pour nos p’tits bouts).

Le reflux peut parfois impacter d’autres sphères de la santé de votre bébé en induisant notamment une plus grande fragilité sur le plan ORL, ou en provoquant de la toux.

Le premier réflexe à avoir donc, c’est de prendre un RDV pour aborder le sujet avec un professionnel de santé, ce qui n’empêche pas en parallèle de chercher d’autres leviers d’action, notamment au travers de l’alimentation.

Alimentation et reflux

Si l’alimentation du bébé est toujours sujette à débat et réflexions, c’est encore plus vrai dès lors que le bébé présente quelques particularités ! On entend souvent qu’en cas de reflux, il faut espacer les repas et épaissir le lait, or ce n’est pas forcément une très bonne idée !

En effet, les remontées les plus douloureuses ont lieu non pas lorsqu’il y a du lait dans l’estomac, mais lorsque celui-ci est « vide » ! On rappelle que dans ce cas pathologique, les remontées sont présentes même en dehors des repas, qu’il y ait du lait dans le ventre ou non. La présence de lait aide à tempérer un peu l’acidité et à rendre le reflux moins douloureux.

Dans le cas du lait épaissi, il s’avère souvent être un peu moins digeste, ce qui peut favoriser…. les reflux. En outre si bébé ne régurgite plus, le contenu de l’estomac remonte quand même toujours, juste moins haut, et au lieu de ne brûler qu’à la montée, il brûle aussi à la descente

On conseille donc plutôt de fractionner les repas en donnant des petites quantités à la fois mais plus souvent (d’autant que boire du lait soulage la douleur), pour aider à limiter l’acidité et éviter l’effet « grosse quantité d’un coup » qui est souvent moins digeste.

Si le bébé est allaité, il n’est pas question ni de le tirer pour l’épaissir, ni de stopper l’allaitement ! Le lait maternel est un véritable « médicament » en cas de reflux, ses propriétés cicatrisantes notamment aident grandement à limiter les occurrences d’œsophagite. Il est également très digeste. Ne pas hésiter à proposer autant de fois que bébé le réclame.

Si le bébé n’est pas allaité, quelques petites astuces peuvent aider à favoriser sa digestion :

  • Impérativement chauffer le lait. A « température ambiante », la préparation est très indigeste et demande au bébé énormément d’énergie pour réguler sa température interne après un repas perçu comme froid (18-20 degrés c’est assez froid comparativement à la température corporelle de 37), énergie qui n'est pas allouée à la digestion.
  • Proposer le biberon de façon physiologique : bébé semi-assis sur les genoux de son parent, biberon proposé horizontal. Il y aura de l’air sur le haut de la tétine, c’est normal et pas grave. Cette façon de donner permet au tout-petit d’être actif dans sa prise, de ne pas subir un flux trop important, et de plus facilement faire des pauses et ressentir sa satiété.
  • Ne pas hésiter à proposer « à la demande » comme au sein, avec des petites quantités plus fréquentes (évidemment pas toutes les 30mn non plus). Plus bébé aura faim et s’agacera, plus la prise du biberon sera chaotique et moins il gèrera correctement => reflux.

La vérité, c’est qu’il n’existe pas de solution magique unique côté alimentation. Charge à chaque parent de faire des tests et de trouver l’équilibre qui semble le mieux convenir à son bébé. Il y a souvent un petit ajustement dans le fractionnement, où on se rend compte par exemple que le bout de chou est plus confortable si on laisse 1h30 entre 2 tétées et que si on donne vraiment tout le temps comme il réclame ça ne le calme pas vraiment. A vous de voir ce qui est le plus adapté à votre famille (même si on est d’accord, ce n’est pas simple !).

A noter que dans certains cas, on peut retrouver derrière le reflux une allergie aux protéines de lait de vache (généralement non IGE-médiée), en présence d’autres signaux d’appel cela peut être à discuter avec le médecin pour évaluer la pertinence de tests et/ou éviction.

Si votre bébé semble subitement présenter des difficultés importantes à s’alimenter (sous-entendu : il a trop mal), c’est un motif de consultation urgente. N’hésitez pas à appeler le 15 pour obtenir des conseils.

Survivre au quotidien…

On est d’accord que dit comme ça, ce n’est pas très encourageant, mais les parents passés par là le savent et le confirmeront : le quotidien avec un « bébé RGO » comme on le lit parfois, c’est le mode survie !

Les pleurs importants sont extrêmement fatigants et difficiles à vivre pour les familles. C’est une pathologie qui devrait induire chez les professionnels de santé qui accompagnent le bébé une grande vigilance sur la santé (psychologique en particulier) des parents. C’est un facteur favorisant notamment les dépressions post-partum ou les syndromes du bébé secoué.

Une fois le contexte posé, qu’est-ce qu’on fait ?

On fait de son mieux.
Et comme on peut surtout.

Soulager la douleur est une priorité. Pour le reste, si la maison est en bazar et qu’on mange un peu plus de pâtes que d’habitude, ma foi ce n’est pas si grave. C’est le bon moment pour appeler à l’aide autour de vous : grands-parents, oncles et tantes, amis… Pouvoir laisser votre bébé 1h pour souffler dormir, ou déléguer un peu de ménage et de cuisine.

Vous pouvez aussi trouver de l’écoute et des ressources auprès des PMI ou de lieux d’accueil parents-enfants (LAEP).

D’une manière générale il faut bien intégrer que si votre enfant pleure, ce n’est aucunement de votre faute. Vous ne faites rien « mal », ce n’est pas lié à une incompétence X ou Y de votre part. Vous faites tout le nécessaire pour aider votre bout de chou (d’ailleurs vous êtes précisément en train de lire cet article !). Il s’agit bel et bien d’une pathologie.

On a donc fait le tour ici de ce qu’est le reflux, et de quelques ressources et clés pour le quotidien. Le portage physiologique s’avère également être une aide conséquente dans le quotidien, c’est à lire dans le 2nd article consacré à ce thème.

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Sécrétion d'ocytocine, détente, renforcement du lien d'attachement... N'hésitez pas à l'intégrer à votre routine du soir, par exemple en utilisant l'huile bio P'tits Câlins, qui apaise, nourrit et hydrate la peau.Les huiles essentielles : elles présentent de nombreuses vertus. Pour apaiser les enfants dès 3 ans, l'huile bio Dé-Stress, fabriquée en France, peut devenir votre meilleure alliée avant de partir à l'école !  La question de la continence : pas de panique ! Beaucoup de parents redoutent que leur enfant ne soit pas totalement propre avant la première rentrée scolaire. C'est une angoisse légitime. Mais, en vérité : chaque enfant évolue à son rythme, et il est fréquent que l’acquisition de la continence se poursuive au début de la rentrée maternelle.Les enseignants et ATSEM sont là pour :Aider les enfants en cas d’accidentProposer des passages (très) réguliers aux toilettesEncourager et féliciterL'effet de groupe favorise également cet apprentissage ! 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Ne vous attendez pas à un compte-rendu détaillé de la part de la maîtresse. Gardez en tête que votre enfant ne peut pas tout retenir et qu'il a accumulé de la fatigue durant la journée. Par exemple, demandez-lui simplement : "qu'est-ce que tu as le plus apprécié durant ta journée ?".Eviter de changer toute la routine familiale en même temps : conserver certains repères habituels pour ne pas perturber davantage ses journées favorisera une transition en douceur. FAQ – Première rentrée scolaire, les questions fréquentes que se posent les parents Mon enfant pleure tous les matins, que faire ? Les pleurs du matin sont fréquents. Ne culpabilisez pas. Rassurez-le sur le fait que vous reviendrez le chercher et adoptez un rituel de séparation constant. La plupart des enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent. Si les pleurs perdurent sur plusieurs semaines, après la rentrée, n’hésitez pas à demander un rendez-vous avec la maîtresse pour discuter des choses qui peuvent être mises en place pour faciliter la séparation. Faut-il que mon enfant sache s’habiller seul ? Pas nécessairement ! La maîtresse et l’ATSEM accompagnent les enfants pour mettre ou enlever leur manteau. L’important est qu’il participe selon ses capacités. C’est en pratiquant qu’il développera sa motricité fine et apprendra à s’habiller en autonomie. Optez pour des vêtements faciles à manipuler et confortables (baskets à scratchs, sweats à enfiler …). Mon enfant n’est pas continent, puis-je lui mettre une couche à l'école ? Non, il n’est pas possible de déposer votre enfant à l’école en couche. C’est valable pour les modèles classiques à scratchs comme pour les modèles panty. Cependant, vous pouvez opter pour des culottes d’apprentissage. Elles contiennent une partie rembourrée qui évite que votre enfant se retrouve trempé en cas d’accident. En conclusion La première rentrée scolaire est un mélange d’émotions pour toute la famille.Il est possible de préparer votre enfant en amont (affectivement et matériellement), de mettre en place une routine du matin rassurante et une communication bienveillante, pour l'aider à vivre cette étape avec confiance.Que ce soit le choix du sac à dos, l'accompagnement des pleurs, la préparation à la séparation, chaque détail compte pour faciliter la transition. Il y aura sûrement un écart entre ce que vous aviez projeté pour ce premier jour d'école et ... la réalité à l'instant T. Il est impossible de tout prévoir à l'avance. Mais souvenez-vous : vous faites au mieux, avec les ressources à votre disposition.

BébéPrévenir et apaiser les petits bobos de bébé : tous les conseils Néobulle !

Premiers bobos de bébé : les identifier et apaiser

Même si un nouveau-né est souvent en bonne santé, il n’est pas à l’abri de petits désagréments au fur et à mesure qu'il grandit. Acquisition du quatre pattes et de la marche, premières poussées dentaires, inconforts digestifs... Savoir identifier et soulager rapidement les bobos de bébé permet d’apaiser toute la famille.Sommaire Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Reconnaître les signes des coliques et d'inconfort digestif Les douleurs digestives sont fréquentes durant la première année de vie de bébé. Notamment les premières semaines, puis au moment de la diversification alimentaire. L'immaturité du système digestif du nouveau-né y est pour beaucoup : les choses se mettent en place petit à petit. Bébé se tortille, son visage se crispe, il pédale et pousse avec ses jambes ? Votre instinct vous souffle la réponse : ce sont bien les signes d'un inconfort digestif ! Gestes simples pour soulager bébé Voici quelques réflexes simples à intégrer dans votre quotidien pour soulager votre bébé : Réalisez de petits cercles dans le sens des aiguilles d’une montre avec l'huile Bio Calm’Bidou, dès la naissance.Appliquez-la après le change ou lors d'une phase d'éveil calme (évitez les crises de pleurs)Ramenez doucement les genoux de bébé contre son ventre pour faciliter l'évacuation des gaz.Réalisez un bain enveloppé en fin de journée pour l’aider à se détendre.💡 Astuce parent : En cas de doute ou si les symptômes persistent, demandez toujours l’avis de votre médecin. Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Sécuriser l’environnement de bébé Même les tout-petits peuvent parfois basculer et s'improviser cascadeurs en herbe! Par exemple lors de l'acquisition du quatre pattes ou de la marche. Sécurisez les pièces de votre logement (coins de table, tapis antidérapants…), mais n’oubliez pas : ces petits bobos de bébé font partie de la découverte du monde. Soulager bébé avec un soin adapté Gardez à portée de main l'huile Bio Badaboum. C’est le chouchou de nombreux parents : à base d’arnica et d’hélichryse, elle apaise bosses et bleus dès 3 mois. Grâce à son format roll-on, elle s’applique directement sur la peau, sans massage. Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Quand apparaissent les premières dents ? Les poussées dentaires débutent généralement entre 3 et 6 mois, mais chaque bébé évolue à son rythme. Certains naissent même avec une première dent !Ces poussées dentaires s’accompagnent souvent d’irritabilité, de salivation abondante, de rougeurs au niveau des joues et peuvent avoir un impact sur le sommeil de votre tout-petit (et... le vôtre!). Apaiser les premières poussées dentaires Même s'il n'existe aucune recette miracle pour apaiser entièrement les poussées dentaires, voici quelques gestes simples pour soulager en douceur votre bébé :Massez doucement ses gencives avec l'huile Bio Premières Dents dès 3 mois, composée d'une combinaison d'huiles végétales et d'huiles essentielles calmantes,Proposez un anneau de dentition réfrigéré pour un effet apaisant.Si votre bébé est diversifié, placez quelques glaçons de fruits ou de lait maternel dans une grignoteuse, Offrez une présence rassurante et des câlins pour aider votre bébé à traverser cette étape (spoiler : les sessions portage peuvent aider et favoriser la sécrétion d'ocytocine !)➡️ Pour en savoir plus sur les poussées dentaires, découvrez notre article dédié ! Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien Pas de panique : les petits bobos sans gravité Les ongles de bébé poussent vite et peuvent occasionner des griffures, tout comme les jeux ou les découvertes du quotidien. Si vous allaitez, vous avez peut-être déjà eu l'occasion de constater à quel point leurs petits ongles peuvent être redoutables !En été, la peau tendre des bébés a aussi tendance à régaler les moustiques.Au fil du développement moteur de votre bébé, il commence à ramper et faire du quatre pattes. C'est souvent une période sensible pour leurs genoux, qui s'égratignent facilement. Une solution douce et rapide Pour les petites coupures, égratignures, genoux griffés ou coudes abîmés, l'huile Bio P’tits Bobos est idéal. Son format roll-on le rend tellement pratique à appliquer, sur un bébé qui a la bougeotte, dès 3 mois !Formulée avec des huiles essentielles de ciste, de géranium rosat et de lavande fine, ce stick favorise la réparation cutanée et convient à toute la famille ! En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Les petits bobos font partie intégrante de la vie de bébé et du quotidien des parents. Qu’il s’agisse d'inconforts digestifs, de petites chutes, de poussées dentaires ou de griffures, apprendre à les identifier et à les soulager avec douceur permet d'apaiser toute la famille. En adoptant des gestes simples, en utilisant des produits adaptés et en offrant une présence rassurante, vous accompagnez votre enfant dans sa découverte du monde qui l'entoure. 

Bébéles soins essentiels du nouveau né : photo d'un bébé sur la table à langer

Quels sont les soins essentiels du nouveau né ? Tous nos conseils et produits

L’arrivée d’un nouveau-né est un moment unique et émouvant. Pour accueillir bébé dans les meilleures conditions, il est essentiel de connaître les gestes de soins à adopter et de s’équiper avec des produits adaptés. Dans cet article, nous vous guidons pas à pas à travers les soins essentiels du nouveau-né, tout en vous proposant des solutions douces, naturelles et efficaces signées Néobulle.SommairePourquoi les soins du nouveau-né sont-ils si importants ?Quels sont les soins essentiels du nouveau-né ?Favoriser la création du lien et la sécurité affectiveFAQ : Soins essentiels du nouveau-néEn résumé : des soins qui riment avec douceur et simplicité Pourquoi les soins du nouveau-né sont-ils si importants ? Les premiers jours et premières semaines de vie sont marqués par une période d’adaptation pour le bébé. Après 9 mois, il quitte le milieu intra-utérin et découvre le monde extérieur. Jusqu'alors, il était à l'abri, dans son sac utérin. Le placenta faisait office de véritable filtre. À la naissance, le nouveau-né entre en contact avec les micro-organismes omniprésents dans notre environnement. Petit à petit, il va développer son immunité.Au quotidien, ce sont les adultes qui l'entourent qui prennent soin de lui. On parle de "donneurs de soin" (ou "caregiver") selon la théorie du lien d'attachement développée par John Bowlby. Lors de ces soins, les adultes interagissent avec l'enfant, qui est entièrement dépendant d'eux durant ses premières années de vie. Donald Winnicott, figure majeure de la psychanalyse de l'enfant, écrivait ainsi "un bébé seul, ça n'existe pas".Prendre soin d’un nouveau-né nourrit son besoin de lien social et renforce le lien affectif. Ces gestes, souvent banalisés, ont un impact bien au-delà de l’hygiène. À travers eux, les parents deviennent de véritables figures d'attachement. Ils participent à renforcer le sentiment de sécurité de l'enfant. S'il est exposé à une situation stressante, s'il ressent de la détresse, il saura qu'il peut se tourner vers ses figures d'attachement, tel un bateau qui cherche la lumière d'un phare en pleine tempête. Quels sont les soins essentiels du nouveau-né ? Les soins du quotidien : toilette et change Pour la toilette quotidienne (visage, plis de l'aine et du cou, siège), privilégiez des lingettes lavables. Pratiques et économiques, elles sont souvent plus faciles à utiliser que des carrés de coton qui s'effilochent. Une dizaine suffit, à laver avec le linge du reste de la famille ! Privilégiez des lingettes avec une face douce et une face absorbante.Concernant les produits de change, il est essentiel d'utiliser des produits adaptés Le liniment, par exemple, protège la peau sensible de bébé contre l'humidité, le frottement des couches et les agressions du climat. Véritable potion magique qui s'utilise sans rinçage, le liniment de Néobulle apaise et répare dès les premières rougeurs, dès la naissance. Un indispensable à avoir à portée de main !  Le moment du bain : douceur et complicité Le bain, bien qu’il ne soit pas forcément quotidien, fait partie, chez certaines familles, d'un moment fort de la routine hebdomadaire. On peut distinguer :le bain d'hygiène, qui a pour objectif de nettoyer sa peau fragile,du bain détente, durant lequel il n'est pas indispensable d'utiliser du savon. Durant les premières semaines, et jusqu'à environ 2 mois, n'hésitez pas à privilégier la technique du bain enveloppé. Il suffit d'emmailloter bébé avec un lange, avant de l'immerger dans l'eau, dont vous aurez préalablement vérifié la température (entre 37,5°C et 38°C). Le rituel du coucher : instaurer une routine apaisante Le sommeil est une préoccupation majeure des jeunes parents. Et pour cause, le sommeil du bébé est bien différent de celui des adultes. Au cours d'un long processus, qui s'étale sur plusieurs années, ses cycles vont évoluer, il va apprendre à différencier le jour et la nuit et à se rendormir sereinement. Mais au début, les réveils nocturnes sont fréquents et il a encore besoin de la présence de ses parents pour se rendormir en se sentant en sécurité.Mettre en place une routine douce peut faciliter l’endormissement. Cette routine s'apparente en effet à un "donneur de temps" qui aide le bébé à se repérer et à appréhender ce qui va suivre. Un massage avec une huile adaptée, comme l’huile Bio Douce Nuit, dès 3 mois, contribue à détendre bébé avant le coucher. Voici un enchaînement simple à reproduire :Positionner la main en C et lisser la jambe du bébé, de l'aine aux orteilsAvec la pulpe de vos pouces, lisser le dessous de son pied, du talon vers les orteilsAvec les pouces, lisser le dessus du pied, des orteils vers la cheville.La main en C, englober toute la jambe de bébé et lisser la jambe jusqu'à l'aineRépétez chaque mouvement 5 à 6 fois. Le massage est un merveilleux moyen pour tisser du lien avec votre bébé et permettre à toute la famille de sécréter de l'ocytocine !Il est également possible de masser le ventre, les bras, le dos ou encore le visage (seule zone où il n'est pas recommandé d'utiliser de l'huile). Apaisement assuré, pour se préparer au sommeil. 👉 Découvrez comment créer un environnement favorable au sommeil grâce à notre article sur les huiles essentielles à diffuser pour favoriser l’endormissement des tout-petits. Favoriser la création du lien et la sécurité affective Le peau à peau : un soin à part entière Dès les premières heures, le peau à peau joue un rôle fondamental. Il aide votre tout-petit à réguler sa température, stabilise le rythme cardiaque, favorise la sécrétion d'ocytocine et donc la mise en place de l’allaitement. Cette proximité répond également à un besoin fondamental du nouveau-né, qui n'a pas conscience d'exister en tant qu'individu à part entière. C'est un petit mammifère, programmé pour se sentir en sécurité lorsqu'il est contre ses parents. En suite de couches, mais aussi au retour de maternité, n'hésitez pas à inclure des sessions peau à peau dans votre routine quotidienne.L’Écharpe peau à peau est un excellent outil pour le pratiquer confortablement, que ce soit en maternité ou à la maison. Conçue avec des professionnels de néonatologie, son tissu doux et extensible enveloppe le bébé contre le torse du parent, créant un cocon apaisant. Ce moment partagé aide à construire les bases d’une relation solide et sécurisante. Les vertus thérapeutiques du portage physiologique Vous cherchez une solution pour apaiser bébé au quotidien ? La pratique du portage peut, sans aucun doute, répondre à vos besoins. En plus de libérer les bras fatigués des jeunes parents, porter votre bébé permet de : Réduire la fréquence des remontées acides en cas de reflux gastro-œsophagien,Limiter le risque de plagiocéphalie,Favoriser l'évacuation des gaz et donc limiter l'inconfort digestif,Réduire les pleurs de votre bébé,L'aider à réguler sa température et ses fonctions vitales (respiration, rythme cardiaque)Répondre à son besoin de contenance et de proximité FAQ : Soins essentiels du nouveau-né Quels sont les premiers soins du bébé à la maternité ? À la naissance, les premiers soins varient selon le protocole et le lieu (maternité, maison de naissance, domicile…). Mais, dans la majorité des cas, le bébé est séché, couvert d’une couverture et rapidement placé en peau à peau. Les soins comprennent en général le clampage du cordon, la vérification de ses réflexes archaïques, l’évaluation de son score APGAR, la prise des mensurations (poids et taille). Selon le terme auquel votre bébé naît, sa peau peut être plus ou moins recouverte d’une substance blanchâtre. Pas d’inquiétude, il s’agit du vernix caséosa. De plus en plus de familles font le choix de préserver ce vernix en retardant le moment du premier bain, afin que la peau du bébé l’absorbe et bénéficie de ses propriétés nutritives et protectrices. Comment savoir si je m'y prends bien pour réaliser les soins du quotidien de mon bébé ? On ne naît pas parent ; on le devient. En tâtonnant, en essayant, en faisant de son mieux au quotidien. Rares sont les adultes qui ont déjà eu l’occasion de véritablement manipuler un nouveau-né d’à peine quelques heures ! Nous passons tous par la case « première fois ». Souvent, le fait de manipuler un bébé au moment des soins peut le faire râler un petit peu.  Pour lui aussi, c’est tout nouveau. Les professionnels présents au moment de la naissance et des suites de couche vous transmettront chaque geste, et c’est en les pratiquant que vous deviendrez de plus en plus à l’aise et confiant.  Mon bébé pleure au moment du bain, comment l'apaiser ? La naissance s’accompagne de nombreux bouleversements pour le bébé. Il passe d’un environnement aquatique, chauffé à 37°C, à un environnement terrestre, avec de nombreuses variations de température. Sa peau est également sensible au toucher (on évite donc les effleurages et chatouilles les premiers mois). Veillez à ce que l’eau du bain se situe entre 37,5°C et 38°C. Pour répondre au besoin de contenance de votre tout-petit, n’hésitez pas à l’emmailloter avant le bain. Il sentira les limites du lange, qui lui rappelleront celles des parois utérines, et s’apaisera. Enfin, il n’est pas nécessaire de laver votre bébé tous les jours ; vous le nettoyez déjà fréquemment au moment des changements de couche. Quels produits favoriser pour réaliser les soins essentiels du bébé ? Choisissez des produits sans parfum de synthèse, sans alcool ni conservateurs agressifs. Néobulle propose une gamme complète de soins d’origine naturelle, dont les ingrédients sont issus de l’Agriculture Biologique, formulés en France spécifiquement pour respecter la peau sensible des nouveau-nés. En résumé : des soins qui riment avec douceur et simplicité Les soins essentiels du nouveau-né ne relèvent pas que de la technique : ils sont une invitation à ralentir et à s’émerveiller de chaque instant partagé avec bébé. À travers eux, vous renforcez également le lien affectif qui vous unit à votre enfant. Il ne s'agit pas juste de "nettoyer" votre tout-petit (même si parfois, on se retrouve face à une couche qui déborde de tous les côtés!) ; ce sont aussi de précieux moments d'interactions, de communication, de complicité. Si le sujet vous intéresse, Céline Alvarez explique de manière simple comment, dès la naissance, le cerveau de l’enfant est façonné par ses expériences sensorielles, affectives et relationnelles : c'est ce qu'on appelle la plasticité cérébrale. Un concept qui permet de prendre conscience d'à quel point les soins quotidiens participent au développement global de l'enfant.