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La simplicité au cœur du portage

La simplicité au cœur du portage

La naissance d’un bébé est un moment émotionnel et physique d’une intensité rare. Comment ne pas s’émerveiller et s’étonner d’avoir réussi à créer un petit être si parfait ?

Il est enfin là, devant nous, dans nos bras. Si minuscule. Passé le tsunami de son arrivée, il n’est pourtant pas rare de brusquement se poser un milliard de questions. Le doute s’installe, pernicieux. Vais-je être à la hauteur ? Vais-je réussir à m’en occuper ?

Quel jeune parent ne s’est pas senti d’un coup écrasé par la soudaine prise de conscience de la responsabilité qui lui incombe ? Responsabilité largement amplifiée par les injonctions à bien faire portées par l’ensemble de la société.

Le portage est un excellent révélateur de tout ce qui peut se jouer autour de la parentalité en termes d’implication et de peur de mal faire.

Tout le monde porte.

Si si !

Lorsqu’on parle de portage, on imagine souvent un porte-bébé, mais en réalité le premier et principal portage du quotidien, c’est celui qui se pratique à bras ! Chaque parent en étant doté d’un ou 2 fonctionnels et chaque bébé devant bien à un moment ou un autre être manipulé, ne serait-ce que pour être changé, tout le monde le pratique…

Ensuite effectivement certains outils ont été proposés, tout du long de l’évolution de l’espèce humaine, d’abord rudimentaires puis de plus en plus perfectionnés. Selon les cultures et les traditions, porter son enfant peut être encouragé, indispensable, ou au contraire mal perçu voire déconseillé. On va porter tantôt emmailloté, tantôt non, dans des positions plutôt droites ou plutôt regroupées, vertical ou horizontal, et j’en passe…

Dès lors qu’on cherche des informations sur internet concernant le portage, c’est la panique !

Il faut porter physio, en écharpe, mais attention si le nœud est mal fait c’est mauvais pour bébé et si en plus il est habillé avec un pyjama à pieds, non vraiment ce n’est pas bon… Un porte-bébé non physio ? Mais quelle horreur ça va lui abîmer la colonne…

Au milieu de tout ça n’oublions pas le fameux conseil de tatie Cunégonde qui rappelle que de son temps on s’embêtait pas avec tout ça et que quand même, on en est pas morts… et en plus ça va en faire un capricieux, un bébé à bras.

Du coup on en fait quoi de babychou ?

Et bien ça dépendDe lui déjà, en tout premier lieu. Parce que n’oublions pas que c’est quand même le principal intéressé ! Les bébés ont tous des besoins qui leur sont propres, certains vont aimer dès le début avoir leur petit espace et s’éclater sur leur tapis, d’autres au contraire ne s’apaiseront que portés constamment par leurs parents.

Aucune des 2 situations n’est anormale, et surtout dans le cas où l’enfant a un besoin de portage plus intense que la moyenne, garder en tête que cela ne durera pas éternellement.

On ne connaît pas d’ados de 15 ans en bonne santé toujours portés ni allaités. La naissance reste une étape éprouvante pour le nouveau-né qui arrive d’un milieu très contenant, où il évoluait en apesanteur dans un liquide filtrant la plupart des stimuli, et où il ne connaissait ni la faim, ni l’inconfort, ni la douleur. Certains ont besoin d’un peu plus de temps que d’autres pour s’acclimater et demandent à être un peu plus accompagnés. En moyenne on constate que vers 3 mois la plupart ont passé ce cap et commencent d’ailleurs à réclamer à aller au sol.

Et le parent du coup ?

A chacun aussi de trouver son équilibre dans sa relation avec bébé. Des fois il est plus facile de ne pas se poser de questions et de répondre aux besoins de l’enfant sans réfléchir, en sachant que ça passera. Des fois c’est plus compliqué à vivre et on négocie avec lui pour trouver un terrain d’entente, un compromis… Dans les 2 cas là encore il n’y a pas de règle. Pas de « mieux ». L’idéal restant toujours de faire ce qui nous correspond et d’observer son enfant. Et d’accepter que les besoins et les réponses peuvent varier selon les jours parce que nous ne sommes pas des machines (et tant pis pour les bons conseils de Tatie Cunégonde) !

Et avec quoi on porte ?

Dans la continuité du reste, la souplesse est de mise. Aucune étude à ce jour n’a pu démontrer de risques accrus de blessures ou malformations relatifs à un type de portage dit « non physiologique » pratiqué avec un bébé n’ayant aucune pathologie déjà présente. On conseillera de s’orienter vers un portage physiologique pour des questions de confort, mais c’est tout.

Le portage parfait n’existe que dans les livres, les seules règles à respecter sont celles de sécurité à savoir un bébé porté verticalement, les voies respiratoires dégagées, et qui ne risque pas de chuter. Ce sont du coup les premiers objectifs de portage à atteindre avec son bout de chou, le reste n’est qu’une question de confort. On rappellera que derrière une jolie photo, il y a parfois un certain nombre d’essais et des centaines d’autres clichés ratés !

Quant aux vêtements de bébé c’est une affaire de bon sens : des habits souples et confortables (qui se verrait faire une sieste en robe de mariée ou un cours de yoga en jean slim ? Personne ? Alors pareil pour bébé, exit la robe à froufrous et le petit pantalon étroit). Et si le pyjama commence à être trop court et tirer sur les pieds, il suffit d’en changer de taille.

En bref,

il convient de remettre de la simplicité dans l’équation.Bébé a besoin d’être porté ? Portons-le, autant que nécessaire pour que chacun y trouve son compte.

Il préfère être posé ? Posons-le.

L’outil nous convient et nous facilite la vie ? Tant qu’il respecte la sécurité ma foi tout est parfait.

Être parent est sans doute la tâche la plus complexe de notre vie, celle qui cristallisera toute notre énergie, toutes nos pensées, et surtout toutes nos angoisses, pendant plusieurs (dizaines d’) années. Il est toujours facile de critiquer et juger la façon de faire des autres, et quoi que nous fassions avec nos enfants ce ne sera jamais assez bien ! Alors tant qu’à se planter, autant le faire de bon cœur avec quelque chose qui nous paraissait correct. Et accessoirement se construire avec des parents parfaits mais quelle pression pour nos enfants !

Un bébé porté en sling "rose abélia" il sourit et est confortablement blotti contre sa maman.

Le portage c’est avant tout le plaisir du contact avec son tout petit, la création d’un lien indestructible. Peu importent l’outil et la beauté du geste, personne ne décernera à quiconque de médaille s’il arrive à bien utiliser une écharpe ! Seuls comptent l’envie, les besoins, et que cela permette de faciliter le quotidien en limitant les pleurs.

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Mettre en place des donneurs de temps lui sera d'une aide précieuse pour faciliter l'apprentissage de ces repères spatio-temporels. Par exemple  :Un semainier très simple, qui distingue grâce à deux couleurs différentes les temps passés à l'école de ceux passés à la maison,Un tableau de routine du matin, pour rassurer l'enfant et lui permettre d'appréhender l'heure du départ pour l'école,Un réveil qui distingue le jour et la nuit, pour faciliter les moments du coucher et du réveil Gérer le moment de la séparation Les pleurs du matin : un phénomène fréquent durant la première rentrée scolaire Soyons honnête : les pleurs sont fréquents durant les semaines qui suivent la première rentrée scolaire. On vous souhaite sincèrement d'y échapper mais... l'entrée en maternelle s'accompagne de tout un flot d'émotions.Vivre cette séparation, découvrir cet environnement nouveau, rencontrer des camarades inconnus jusqu'alors, c'est un énorme cap à passer. D'autant plus que l'effet de groupe joue aussi. Votre enfant a beau être enthousiaste, la veille de sa première rentrée, le jour J s'il est entouré d'autres enfants qui pleurent, il aura probablement du mal à retenir ses larmes. Cela ne traduit pas un mal-être à l’école, ni une mauvaise préparation de votre part, pas d'inquiétude. Souvent, les enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent.Rassurez-vous : les enseignants et ATSEM sont habitués à accompagner cette étape d’adaptation. Dire au revoir sans s’éterniser La métaphore du sparadrap illustre plutôt bien ce temps délicat de la séparation du matin. Parfois, le fait de dire au revoir sans s'éterniser facilite la transition.Soyez à l'écoute des émotions de votre enfant et de son ressenti, bien sûr. Mais n'hésitez pas à créer un rituel court et identifiable, que vous-mêmes et votre enfant pourra s'approprier pour se sécuriser :L’amener jusqu’à la porte ou en classeDes activités libres sont souvent mises en place par la maîtresse, invitez votre enfant à choisir celle qui lui plaît le plus, Un petit câlin réconfortantUne phrase rassurante (« Je t'aime, passe une belle journée, je reviens te chercher après la sieste »)Pour certains enfants, voir leurs parents rester trop longtemps rend en effet la séparation plus difficile. Accompagner les émotions de son enfant La première rentrée scolaire (et les suivantes) est très souvent chargée d'émotion. C'est la fin d'un chapitre, le début d'un autre. Un nouvel environnement, de nouveaux interlocuteurs. Comme le phare en pleine tempête guide les bateaux égarés, n'hésitez pas à accompagner votre enfant dans la verbalisation de ses émotions. Voici plusieurs ressources qui peuvent être précieuses pour adoucir les angoisses de la séparation : Dessiner un coeur sur la main de votre enfant : astuce bien connue des jeunes parents, dites à votre enfant que ce coeur est chargé de bisous, que s'il en ressent le besoin, il peut le regarder. Que c'est la preuve que vous pensez à lui, toute la journée, et que vous l'aimez de tout votre coeur. La pratique du portage : certains parents redoutent de "trop" porter leur enfant, au risque de leur donner des mauvaises habitudes et de rendre la séparation plus compliquée. Mais c'est tout le contraire : le portage participe à la création d'un lien d'attachement sécure. Un enfant avec un lien d'attachement sécure se sent donc en confiance pour explorer le monde qui l'entoure. Son instinct lui souffle qu'en cas de détresse, donc parent sera toujours là pour l'apaiser.La pratique du massage : les massages présentent de nombreux bienfaits pour les bébés, comme les adultes. Sécrétion d'ocytocine, détente, renforcement du lien d'attachement... N'hésitez pas à l'intégrer à votre routine du soir, par exemple en utilisant l'huile bio P'tits Câlins, qui apaise, nourrit et hydrate la peau.Les huiles essentielles : elles présentent de nombreuses vertus. Pour apaiser les enfants dès 3 ans, l'huile bio Dé-Stress, fabriquée en France, peut devenir votre meilleure alliée avant de partir à l'école !  La question de la continence : pas de panique ! Beaucoup de parents redoutent que leur enfant ne soit pas totalement propre avant la première rentrée scolaire. C'est une angoisse légitime. Mais, en vérité : chaque enfant évolue à son rythme, et il est fréquent que l’acquisition de la continence se poursuive au début de la rentrée maternelle.Les enseignants et ATSEM sont là pour :Aider les enfants en cas d’accidentProposer des passages (très) réguliers aux toilettesEncourager et féliciterL'effet de groupe favorise également cet apprentissage ! Faites confiance à votre enfant. Là encore, certains albums jeunesse aborde cette thématique en douceur.💡 Glissez dans le sac à dos un change complet et une petite pochette pour les vêtements humides. Il existe des culottes d'apprentissage rembourrées pour une transition en douceur. Les 3 erreurs à éviter pour une première rentrée scolaire sereine! Lors de la première rentrée scolaire, l’envie de bien faire est naturelle… mais certains réflexes peuvent, sans qu’on s’en rende compte, augmenter le stress de l’enfant. En gardant en tête que cette étape est avant tout une période d’adaptation, il est plus facile d'adopter des bons réflexes en amont :Inutile de se mettre la pression sur la continence : promis, la continence en journée viendra avec le temps, lâchez prise sur le sujet.Cibler vos questions, le soir : certains parents aimeraient se transformer en petite souris pour observer ce que fait leur enfant durant la journée. Ne vous attendez pas à un compte-rendu détaillé de la part de la maîtresse. Gardez en tête que votre enfant ne peut pas tout retenir et qu'il a accumulé de la fatigue durant la journée. Par exemple, demandez-lui simplement : "qu'est-ce que tu as le plus apprécié durant ta journée ?".Eviter de changer toute la routine familiale en même temps : conserver certains repères habituels pour ne pas perturber davantage ses journées favorisera une transition en douceur. FAQ – Première rentrée scolaire, les questions fréquentes que se posent les parents Mon enfant pleure tous les matins, que faire ? Les pleurs du matin sont fréquents. Ne culpabilisez pas. Rassurez-le sur le fait que vous reviendrez le chercher et adoptez un rituel de séparation constant. La plupart des enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent. Si les pleurs perdurent sur plusieurs semaines, après la rentrée, n’hésitez pas à demander un rendez-vous avec la maîtresse pour discuter des choses qui peuvent être mises en place pour faciliter la séparation. Faut-il que mon enfant sache s’habiller seul ? Pas nécessairement ! La maîtresse et l’ATSEM accompagnent les enfants pour mettre ou enlever leur manteau. L’important est qu’il participe selon ses capacités. C’est en pratiquant qu’il développera sa motricité fine et apprendra à s’habiller en autonomie. Optez pour des vêtements faciles à manipuler et confortables (baskets à scratchs, sweats à enfiler …). Mon enfant n’est pas continent, puis-je lui mettre une couche à l'école ? Non, il n’est pas possible de déposer votre enfant à l’école en couche. C’est valable pour les modèles classiques à scratchs comme pour les modèles panty. Cependant, vous pouvez opter pour des culottes d’apprentissage. Elles contiennent une partie rembourrée qui évite que votre enfant se retrouve trempé en cas d’accident. En conclusion La première rentrée scolaire est un mélange d’émotions pour toute la famille.Il est possible de préparer votre enfant en amont (affectivement et matériellement), de mettre en place une routine du matin rassurante et une communication bienveillante, pour l'aider à vivre cette étape avec confiance.Que ce soit le choix du sac à dos, l'accompagnement des pleurs, la préparation à la séparation, chaque détail compte pour faciliter la transition. Il y aura sûrement un écart entre ce que vous aviez projeté pour ce premier jour d'école et ... la réalité à l'instant T. Il est impossible de tout prévoir à l'avance. Mais souvenez-vous : vous faites au mieux, avec les ressources à votre disposition.

BébéPrévenir et apaiser les petits bobos de bébé : tous les conseils Néobulle !

Premiers bobos de bébé : les identifier et apaiser

Même si un nouveau-né est souvent en bonne santé, il n’est pas à l’abri de petits désagréments au fur et à mesure qu'il grandit. Acquisition du quatre pattes et de la marche, premières poussées dentaires, inconforts digestifs... Savoir identifier et soulager rapidement les bobos de bébé permet d’apaiser toute la famille.Sommaire Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Reconnaître les signes des coliques et d'inconfort digestif Les douleurs digestives sont fréquentes durant la première année de vie de bébé. Notamment les premières semaines, puis au moment de la diversification alimentaire. L'immaturité du système digestif du nouveau-né y est pour beaucoup : les choses se mettent en place petit à petit. Bébé se tortille, son visage se crispe, il pédale et pousse avec ses jambes ? Votre instinct vous souffle la réponse : ce sont bien les signes d'un inconfort digestif ! Gestes simples pour soulager bébé Voici quelques réflexes simples à intégrer dans votre quotidien pour soulager votre bébé : Réalisez de petits cercles dans le sens des aiguilles d’une montre avec l'huile Bio Calm’Bidou, dès la naissance.Appliquez-la après le change ou lors d'une phase d'éveil calme (évitez les crises de pleurs)Ramenez doucement les genoux de bébé contre son ventre pour faciliter l'évacuation des gaz.Réalisez un bain enveloppé en fin de journée pour l’aider à se détendre.💡 Astuce parent : En cas de doute ou si les symptômes persistent, demandez toujours l’avis de votre médecin. Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Sécuriser l’environnement de bébé Même les tout-petits peuvent parfois basculer et s'improviser cascadeurs en herbe! Par exemple lors de l'acquisition du quatre pattes ou de la marche. Sécurisez les pièces de votre logement (coins de table, tapis antidérapants…), mais n’oubliez pas : ces petits bobos de bébé font partie de la découverte du monde. Soulager bébé avec un soin adapté Gardez à portée de main l'huile Bio Badaboum. C’est le chouchou de nombreux parents : à base d’arnica et d’hélichryse, elle apaise bosses et bleus dès 3 mois. Grâce à son format roll-on, elle s’applique directement sur la peau, sans massage. Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Quand apparaissent les premières dents ? Les poussées dentaires débutent généralement entre 3 et 6 mois, mais chaque bébé évolue à son rythme. Certains naissent même avec une première dent !Ces poussées dentaires s’accompagnent souvent d’irritabilité, de salivation abondante, de rougeurs au niveau des joues et peuvent avoir un impact sur le sommeil de votre tout-petit (et... le vôtre!). Apaiser les premières poussées dentaires Même s'il n'existe aucune recette miracle pour apaiser entièrement les poussées dentaires, voici quelques gestes simples pour soulager en douceur votre bébé :Massez doucement ses gencives avec l'huile Bio Premières Dents dès 3 mois, composée d'une combinaison d'huiles végétales et d'huiles essentielles calmantes,Proposez un anneau de dentition réfrigéré pour un effet apaisant.Si votre bébé est diversifié, placez quelques glaçons de fruits ou de lait maternel dans une grignoteuse, Offrez une présence rassurante et des câlins pour aider votre bébé à traverser cette étape (spoiler : les sessions portage peuvent aider et favoriser la sécrétion d'ocytocine !)➡️ Pour en savoir plus sur les poussées dentaires, découvrez notre article dédié ! Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien Pas de panique : les petits bobos sans gravité Les ongles de bébé poussent vite et peuvent occasionner des griffures, tout comme les jeux ou les découvertes du quotidien. Si vous allaitez, vous avez peut-être déjà eu l'occasion de constater à quel point leurs petits ongles peuvent être redoutables !En été, la peau tendre des bébés a aussi tendance à régaler les moustiques.Au fil du développement moteur de votre bébé, il commence à ramper et faire du quatre pattes. C'est souvent une période sensible pour leurs genoux, qui s'égratignent facilement. Une solution douce et rapide Pour les petites coupures, égratignures, genoux griffés ou coudes abîmés, l'huile Bio P’tits Bobos est idéal. Son format roll-on le rend tellement pratique à appliquer, sur un bébé qui a la bougeotte, dès 3 mois !Formulée avec des huiles essentielles de ciste, de géranium rosat et de lavande fine, ce stick favorise la réparation cutanée et convient à toute la famille ! En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Les petits bobos font partie intégrante de la vie de bébé et du quotidien des parents. Qu’il s’agisse d'inconforts digestifs, de petites chutes, de poussées dentaires ou de griffures, apprendre à les identifier et à les soulager avec douceur permet d'apaiser toute la famille. En adoptant des gestes simples, en utilisant des produits adaptés et en offrant une présence rassurante, vous accompagnez votre enfant dans sa découverte du monde qui l'entoure. 

Bébéles soins essentiels du nouveau né : photo d'un bébé sur la table à langer

Quels sont les soins essentiels du nouveau né ? Tous nos conseils et produits

L’arrivée d’un nouveau-né est un moment unique et émouvant. Pour accueillir bébé dans les meilleures conditions, il est essentiel de connaître les gestes de soins à adopter et de s’équiper avec des produits adaptés. Dans cet article, nous vous guidons pas à pas à travers les soins essentiels du nouveau-né, tout en vous proposant des solutions douces, naturelles et efficaces signées Néobulle.SommairePourquoi les soins du nouveau-né sont-ils si importants ?Quels sont les soins essentiels du nouveau-né ?Favoriser la création du lien et la sécurité affectiveFAQ : Soins essentiels du nouveau-néEn résumé : des soins qui riment avec douceur et simplicité Pourquoi les soins du nouveau-né sont-ils si importants ? Les premiers jours et premières semaines de vie sont marqués par une période d’adaptation pour le bébé. Après 9 mois, il quitte le milieu intra-utérin et découvre le monde extérieur. Jusqu'alors, il était à l'abri, dans son sac utérin. Le placenta faisait office de véritable filtre. À la naissance, le nouveau-né entre en contact avec les micro-organismes omniprésents dans notre environnement. Petit à petit, il va développer son immunité.Au quotidien, ce sont les adultes qui l'entourent qui prennent soin de lui. On parle de "donneurs de soin" (ou "caregiver") selon la théorie du lien d'attachement développée par John Bowlby. Lors de ces soins, les adultes interagissent avec l'enfant, qui est entièrement dépendant d'eux durant ses premières années de vie. Donald Winnicott, figure majeure de la psychanalyse de l'enfant, écrivait ainsi "un bébé seul, ça n'existe pas".Prendre soin d’un nouveau-né nourrit son besoin de lien social et renforce le lien affectif. Ces gestes, souvent banalisés, ont un impact bien au-delà de l’hygiène. À travers eux, les parents deviennent de véritables figures d'attachement. Ils participent à renforcer le sentiment de sécurité de l'enfant. S'il est exposé à une situation stressante, s'il ressent de la détresse, il saura qu'il peut se tourner vers ses figures d'attachement, tel un bateau qui cherche la lumière d'un phare en pleine tempête. Quels sont les soins essentiels du nouveau-né ? Les soins du quotidien : toilette et change Pour la toilette quotidienne (visage, plis de l'aine et du cou, siège), privilégiez des lingettes lavables. Pratiques et économiques, elles sont souvent plus faciles à utiliser que des carrés de coton qui s'effilochent. Une dizaine suffit, à laver avec le linge du reste de la famille ! Privilégiez des lingettes avec une face douce et une face absorbante.Concernant les produits de change, il est essentiel d'utiliser des produits adaptés Le liniment, par exemple, protège la peau sensible de bébé contre l'humidité, le frottement des couches et les agressions du climat. Véritable potion magique qui s'utilise sans rinçage, le liniment de Néobulle apaise et répare dès les premières rougeurs, dès la naissance. Un indispensable à avoir à portée de main !  Le moment du bain : douceur et complicité Le bain, bien qu’il ne soit pas forcément quotidien, fait partie, chez certaines familles, d'un moment fort de la routine hebdomadaire. On peut distinguer :le bain d'hygiène, qui a pour objectif de nettoyer sa peau fragile,du bain détente, durant lequel il n'est pas indispensable d'utiliser du savon. Durant les premières semaines, et jusqu'à environ 2 mois, n'hésitez pas à privilégier la technique du bain enveloppé. Il suffit d'emmailloter bébé avec un lange, avant de l'immerger dans l'eau, dont vous aurez préalablement vérifié la température (entre 37,5°C et 38°C). Le rituel du coucher : instaurer une routine apaisante Le sommeil est une préoccupation majeure des jeunes parents. Et pour cause, le sommeil du bébé est bien différent de celui des adultes. 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Un massage avec une huile adaptée, comme l’huile Bio Douce Nuit, dès 3 mois, contribue à détendre bébé avant le coucher. Voici un enchaînement simple à reproduire :Positionner la main en C et lisser la jambe du bébé, de l'aine aux orteilsAvec la pulpe de vos pouces, lisser le dessous de son pied, du talon vers les orteilsAvec les pouces, lisser le dessus du pied, des orteils vers la cheville.La main en C, englober toute la jambe de bébé et lisser la jambe jusqu'à l'aineRépétez chaque mouvement 5 à 6 fois. Le massage est un merveilleux moyen pour tisser du lien avec votre bébé et permettre à toute la famille de sécréter de l'ocytocine !Il est également possible de masser le ventre, les bras, le dos ou encore le visage (seule zone où il n'est pas recommandé d'utiliser de l'huile). Apaisement assuré, pour se préparer au sommeil. 👉 Découvrez comment créer un environnement favorable au sommeil grâce à notre article sur les huiles essentielles à diffuser pour favoriser l’endormissement des tout-petits. Favoriser la création du lien et la sécurité affective Le peau à peau : un soin à part entière Dès les premières heures, le peau à peau joue un rôle fondamental. Il aide votre tout-petit à réguler sa température, stabilise le rythme cardiaque, favorise la sécrétion d'ocytocine et donc la mise en place de l’allaitement. Cette proximité répond également à un besoin fondamental du nouveau-né, qui n'a pas conscience d'exister en tant qu'individu à part entière. C'est un petit mammifère, programmé pour se sentir en sécurité lorsqu'il est contre ses parents. En suite de couches, mais aussi au retour de maternité, n'hésitez pas à inclure des sessions peau à peau dans votre routine quotidienne.L’Écharpe peau à peau est un excellent outil pour le pratiquer confortablement, que ce soit en maternité ou à la maison. Conçue avec des professionnels de néonatologie, son tissu doux et extensible enveloppe le bébé contre le torse du parent, créant un cocon apaisant. Ce moment partagé aide à construire les bases d’une relation solide et sécurisante. Les vertus thérapeutiques du portage physiologique Vous cherchez une solution pour apaiser bébé au quotidien ? La pratique du portage peut, sans aucun doute, répondre à vos besoins. En plus de libérer les bras fatigués des jeunes parents, porter votre bébé permet de : Réduire la fréquence des remontées acides en cas de reflux gastro-œsophagien,Limiter le risque de plagiocéphalie,Favoriser l'évacuation des gaz et donc limiter l'inconfort digestif,Réduire les pleurs de votre bébé,L'aider à réguler sa température et ses fonctions vitales (respiration, rythme cardiaque)Répondre à son besoin de contenance et de proximité FAQ : Soins essentiels du nouveau-né Quels sont les premiers soins du bébé à la maternité ? À la naissance, les premiers soins varient selon le protocole et le lieu (maternité, maison de naissance, domicile…). Mais, dans la majorité des cas, le bébé est séché, couvert d’une couverture et rapidement placé en peau à peau. Les soins comprennent en général le clampage du cordon, la vérification de ses réflexes archaïques, l’évaluation de son score APGAR, la prise des mensurations (poids et taille). Selon le terme auquel votre bébé naît, sa peau peut être plus ou moins recouverte d’une substance blanchâtre. Pas d’inquiétude, il s’agit du vernix caséosa. De plus en plus de familles font le choix de préserver ce vernix en retardant le moment du premier bain, afin que la peau du bébé l’absorbe et bénéficie de ses propriétés nutritives et protectrices. Comment savoir si je m'y prends bien pour réaliser les soins du quotidien de mon bébé ? On ne naît pas parent ; on le devient. En tâtonnant, en essayant, en faisant de son mieux au quotidien. Rares sont les adultes qui ont déjà eu l’occasion de véritablement manipuler un nouveau-né d’à peine quelques heures ! Nous passons tous par la case « première fois ». Souvent, le fait de manipuler un bébé au moment des soins peut le faire râler un petit peu.  Pour lui aussi, c’est tout nouveau. Les professionnels présents au moment de la naissance et des suites de couche vous transmettront chaque geste, et c’est en les pratiquant que vous deviendrez de plus en plus à l’aise et confiant.  Mon bébé pleure au moment du bain, comment l'apaiser ? La naissance s’accompagne de nombreux bouleversements pour le bébé. Il passe d’un environnement aquatique, chauffé à 37°C, à un environnement terrestre, avec de nombreuses variations de température. Sa peau est également sensible au toucher (on évite donc les effleurages et chatouilles les premiers mois). Veillez à ce que l’eau du bain se situe entre 37,5°C et 38°C. Pour répondre au besoin de contenance de votre tout-petit, n’hésitez pas à l’emmailloter avant le bain. Il sentira les limites du lange, qui lui rappelleront celles des parois utérines, et s’apaisera. Enfin, il n’est pas nécessaire de laver votre bébé tous les jours ; vous le nettoyez déjà fréquemment au moment des changements de couche. Quels produits favoriser pour réaliser les soins essentiels du bébé ? Choisissez des produits sans parfum de synthèse, sans alcool ni conservateurs agressifs. Néobulle propose une gamme complète de soins d’origine naturelle, dont les ingrédients sont issus de l’Agriculture Biologique, formulés en France spécifiquement pour respecter la peau sensible des nouveau-nés. En résumé : des soins qui riment avec douceur et simplicité Les soins essentiels du nouveau-né ne relèvent pas que de la technique : ils sont une invitation à ralentir et à s’émerveiller de chaque instant partagé avec bébé. À travers eux, vous renforcez également le lien affectif qui vous unit à votre enfant. Il ne s'agit pas juste de "nettoyer" votre tout-petit (même si parfois, on se retrouve face à une couche qui déborde de tous les côtés!) ; ce sont aussi de précieux moments d'interactions, de communication, de complicité. Si le sujet vous intéresse, Céline Alvarez explique de manière simple comment, dès la naissance, le cerveau de l’enfant est façonné par ses expériences sensorielles, affectives et relationnelles : c'est ce qu'on appelle la plasticité cérébrale. Un concept qui permet de prendre conscience d'à quel point les soins quotidiens participent au développement global de l'enfant.