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Comment protéger bébé des virus hivernaux

Comment protéger bébé des virus hivernaux

ATCHOUM !!!

Nez qui coule, toux, fièvre… Il faut se rendre à l’évidence : votre bout de chou est malade. L’hiver s’installe et avec lui son cortège de petits virus pas toujours très sympathiques…  Est-ce pour autant une fatalité ? Heureusement non ! Même si malheureusement on ne peut pas tout empêcher, quelques petits gestes simples peuvent aider à limiter les infections et préserver un minimum la santé de votre tout-petit. On en parle ?

« Il va attraper la mort ! », ou la vérité sur les virus hivernaux

Vous l’avez tous entendue, cette cinglante petite remarque :
« Couvre-le, il va prendre froid ! »
ou sa célèbre variante :
« Ferme son manteau il va attraper la mort ! »

Il y a Tata Jeannine horrifiée que babychou ne porte pas de chaussettes sur le carrelage froid, les passants offusqués que le bonnet ne couvre pas suffisamment ses oreilles, et en plus le temps n’arrête pas de changer, un coup il fait froid, un coup il fait chaud… Y’a plus de saison, ma bonne dame… Evidemment c’est à cause de ça qu’il est tombé malade n’est-ce pas ?

Eh bien non !

« Tomber malade » comme on dit ne nécessite qu’une seule chose : le contact avec un élément pathogène (un virus ou une bactérie en l’occurrence).

Votre bambin pourrait aller faire de la luge en couche-culotte dans la neige, s’il n’y croisait pas de « microbe », il n’aurait pas de rhume !

La vérité sur les virus hivernaux, c’est qu’ils n’ont absolument rien à voir avec la façon dont on habille nos enfants, qui relève plus de leur confort (ce qui n’est pas accessoire pour autant). Pour se préserver des maladies, il convient donc surtout de s’intéresser aux modes de propagations des pathogènes et agir sur ces derniers !

Protéger son bébé : les précautions entre individus

La toute première précaution à prendre, celle dont on ne devrait même pas parler tellement elle est évidente : sauf nécessité, on ne visite pas un tout-petit si on est soi-même malade !

« Mais ça va c’est juste un tout petit rhume » chez un adulte en bonne santé, peut se transformer aisément en une bronchiolite aux conséquences plus lourdes chez un nourrisson fragile.

Pour des virus à diffusion par aérosol (dans l’air), comme ceux causant le rhume, la grippe, la bronchiolite ou le covid 19, dans les bons gestes à adopter pour limiter la transmission, on retrouvera :

  • Le port d’un masque au moindre symptôme (et recommandé en systématique pour visiter un nouveau-né ou toute personne fragile)
  • Aération de la pièce pour limiter la concentration virale dans l’air

Les adultes en contact régulier avec un bébé sont également invités à se faire vacciner contre la grippe et le covid !

NB : autre pathologie en recrudescence actuellement (et pas que hivernale), la coqueluche ! Un rappel du vaccin est vivement recommandé pendant la grossesse (entre le 5ème et le 8ème mois), cela permet au fœtus de développer des anticorps qui le protègeront à la naissance, le temps que les premiers vaccins lui soient administrés à 2 mois. Les autres adultes en contact régulier avec le nouveau-né sont invités également à faire le rappel.

Pour les affections manuportées comme la gastro-entérite, les précautions d’usage incluent :

  • Un lavage de main fréquent avec du savon ou une solution hydro-alcoolique
  • Une désinfection régulière des surfaces à risque (toilettes, plan de travail, poignées de porte…)

D’une manière plus générale, certains endroits sont plus propices que d’autres à la prolifération épidémique. Sauf nécessité, il est généralement conseillé d’éviter les lieux bondés et non aérés tels que les centres commerciaux ou les transports en commun en heure de pointe.

Protéger son bébé des virus de l’hiver : renforcer son immunité

Autre protection possible et non des moindres : aider à renforcer le système immunitaire de votre enfant !

Si bébé est allaité, le lait maternel contient plein d’anticorps ciblés contre les organismes pathogènes auxquels sa mère est exposée. Ainsi même un allaitement mixte, même juste une tétée par jour, peut participer à ce que sont corps se défende plus efficacement.

A noter que, contrairement à certaines idées reçues, en cas de maladie de la mère, il ne faut surtout pas interrompre l’allaitement maternel ! Les virus ne sont pas transmis par le lait maternel (les anticorps en revanche oui !), et les traitements totalement incompatibles avec la poursuite de l’allaitement sont en réalité plus rares qu’on ne le croit. En cas de doute, la compatibilité peut être évaluée sur le site du CRAT (centre de référence sur les agents tératogènes, géré par l’AP-HP et l’ANSM).

Certains vaccins peuvent également être proposés pour limiter les risques de développer des pathologies potentiellement graves chez les plus jeunes. C’est le cas notamment pour la gastro-entérite à rotavirus (la souche la plus virulente), et depuis peu, pour la bronchiolite ! N’hésitez pas à en parler au médecin qui suit votre enfant pour en évaluer la pertinence pour lui.

En parallèle de tout cela, l’aromathérapie peut accompagner en douceur les changements de saison et soutenir les organismes dès les premiers frimas. Pour les plus jeunes (dès 3 mois) on peut par exemple proposer une petite cure d’huile Atchoum en massage sous la plante des pieds, et dès 3 ans l’huile Bouclier peut prendre le relais !

Oups, bébé est quand même malade, que faire ?

Malgré toutes vos précautions, c’est difficile de passer complètement au travers de toutes les épidémies, surtout s’il y a des aînés qui vont à l’école ou à la crèche (ou si votre bébé est lui-même gardé en collectivité) !

Pour tout ce qui concerne les troubles ORL, les conseils de base restent assez classiques :

  • Mouchages fréquents*
  • Humidifier l’air de la chambre à coucher (avec un vrai humidificateur, laisser le linge à sécher dedans ne suffit pas, d’autant qu’il peut avoir tendance à recapter l’humidité dégagée une fois sec !)
  • Fractionner les prises alimentaires, surtout si votre tout-petit est très encombré et peine à s’alimenter

* il est conseillé d’utiliser une pipette de sérum physiologique par narine pour un vrai nettoyage efficace. Pour plus de confort pour votre bébé, vous pouvez la tiédir un peu au préalable. Il existe des seringues destinées au nettoyage du nez vendues en pharmacie et qui sont très pratiques.
Petit tip utile : installer bébé à plat ventre avec la tête tournée sur le côté. C’est ainsi plus facile pour le maintenir et le sérum s’écoule plus facilement sans passer dans la gorge.

Pour les troubles gastriques, c’est la déshydratation qui peut être problématique, il faut donc veiller à ce que bébé reçoive un maximum de liquides. Ne pas hésiter à lui donner du soluté de réhydratation si les vomissements et la diarrhées étaient trop importants.

Les petits plus Néobulle, pour apporter réconfort et bien-être en période de maladie :

Quand consulter si mon bébé est malade ?

Si l’état général de votre bébé est très altéré, en cas de fièvre persistant plus de 3 jours ou en cas d’inquiétude, il peut être utile de prendre un avis chez le médecin qui suit votre bout de chou pour connaître la conduite à tenir. Si besoin, le 15 peut également vous conseiller ou vous adresser à un centre de consultation de garde.

Malgré certaines craintes, une forte fièvre n’est pas forcément un signal inquiétant nécessitant une consultation urgente ! Observez votre enfant et sa tolérance à cette dernière, découvrez-le, hydratez-le, et proposez-lui un peu de paracétamol si nécessaire.

Bébé est amorphe ? Il ne mange plus (le lait compte comme un aliment) ? Sa coloration vous semble bizarre ? Il paraît en difficulté lorsqu’il respire (tirage) ? Il est préférable de vous rendre aux urgences pour qu’un médecin évalue son état de santé rapidement. Une fièvre chez un nourrisson de moins de 3 mois est également un motif d’adressage aux urgences.

Pour aller plus loin sur le sujet, le livre « Urgences or not Urgences », rédigé par un médecin urgentiste, est une mine d’informations et peut aider à connaître les bons gestes à adopter dans les situations les plus courantes.

Ca y est vous êtes prêts pour l’hiver ! Quelques tisanes et paquets de mouchoirs dans vos placards, et les virus n’auront qu’à bien se tenir… 

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Première rentrée scolaire : comment la vivre sereinement ?

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Cette transition demande une période d’adaptation, autant pour l’enfant que pour les parents. La rentrée en maternelle marque aussi le début de nouvelles habitudes : une routine du matin instaurée par la maîtresse, la découverte du centre de loisir, la cantine, la cours de récréation...  Préparer son enfant à la première rentrée scolaire Parler de l'école en amont Pour rassurer votre enfant, parlez-lui de l’école plusieurs semaines avant le premier jour.Expliquez ce qui va se passer :Qui sera là pour l’accueillir (sa maîtresse et l’ATSEM)Ce qu’il fera dans la journée (activités, jeux, sieste, repas)À quel moment il rentrera à la maisonComment se passent les moments clés (arrivée, récréation, départ)Les livres pour enfants sur la rentrée maternelle sont un excellent support pour mettre des mots simples sur ce nouveau rythme.💡Astuce : durant l'été, amusez vous à créer une frise toute simple, pour aider votre enfant à se repérer d'un point de vue temporelle. La frise servira de support visuel au fil de l'été pour répondre à la question "combien de dodo avant la rentrée ?". Visiter l'école avant la première rentrée scolaire Si cela est possible, organisez une visite de l'école maternelle de votre enfant avant la première rentrée scolaire. Voir la classe, la cour et les toilettes permet à l’enfant de se familiariser avec les lieux.Cette découverte visuelle réduit l’angoisse et facilite l’adaptation le jour J. Certaines écoles proposent même une petite rencontre collective avec les futurs camarades, ce qui est idéal pour créer un premier lien social avant la séparation du jour J.💡Astuce : prenez des photos des endroits clefs, que vous pourrez montrer à votre enfant durant l'été. Préparer les affaires scolaires en famille Lors de la première rentrée scolaire, la liste des fournitures est très réduite. Il y a cependant quelques indispensables :Un petit sac à dos facile à ouvrir par l’enfantDes affaires scolaires simples : boîte de mouchoirs, change complet, doudou si besoinUne gourde anti-fuite étiquetée à son nom💡 Astuce : laissez votre enfant choisir son sac à dos pour qu’il se l’approprie. Cela renforcera sûrement son enthousiasme pour la rentrée, d'avoir un sac à dos  "comme ceux des grands" !  Instaurer une routine du matin La semaine précédant la rentrée en maternelle, commencez à instaurer une routine du matin similaire à celle de l’école : lever à heure fixe, habillage, petit-déjeuner, brossage de dents. Cela favorisera une transition en douceur en prévision du premier jour d'école.En petite section, les enfants de 3 ans n'ont pas encore la capacité de se repérer dans le temps. Hier, demain, la semaine prochaine, dans une heure .. voici autant de concepts qui lui sont étrangers, à ce stade. Mettre en place des donneurs de temps lui sera d'une aide précieuse pour faciliter l'apprentissage de ces repères spatio-temporels. Par exemple  :Un semainier très simple, qui distingue grâce à deux couleurs différentes les temps passés à l'école de ceux passés à la maison,Un tableau de routine du matin, pour rassurer l'enfant et lui permettre d'appréhender l'heure du départ pour l'école,Un réveil qui distingue le jour et la nuit, pour faciliter les moments du coucher et du réveil Gérer le moment de la séparation Les pleurs du matin : un phénomène fréquent durant la première rentrée scolaire Soyons honnête : les pleurs sont fréquents durant les semaines qui suivent la première rentrée scolaire. On vous souhaite sincèrement d'y échapper mais... l'entrée en maternelle s'accompagne de tout un flot d'émotions.Vivre cette séparation, découvrir cet environnement nouveau, rencontrer des camarades inconnus jusqu'alors, c'est un énorme cap à passer. D'autant plus que l'effet de groupe joue aussi. Votre enfant a beau être enthousiaste, la veille de sa première rentrée, le jour J s'il est entouré d'autres enfants qui pleurent, il aura probablement du mal à retenir ses larmes. Cela ne traduit pas un mal-être à l’école, ni une mauvaise préparation de votre part, pas d'inquiétude. Souvent, les enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent.Rassurez-vous : les enseignants et ATSEM sont habitués à accompagner cette étape d’adaptation. Dire au revoir sans s’éterniser La métaphore du sparadrap illustre plutôt bien ce temps délicat de la séparation du matin. Parfois, le fait de dire au revoir sans s'éterniser facilite la transition.Soyez à l'écoute des émotions de votre enfant et de son ressenti, bien sûr. Mais n'hésitez pas à créer un rituel court et identifiable, que vous-mêmes et votre enfant pourra s'approprier pour se sécuriser :L’amener jusqu’à la porte ou en classeDes activités libres sont souvent mises en place par la maîtresse, invitez votre enfant à choisir celle qui lui plaît le plus, Un petit câlin réconfortantUne phrase rassurante (« Je t'aime, passe une belle journée, je reviens te chercher après la sieste »)Pour certains enfants, voir leurs parents rester trop longtemps rend en effet la séparation plus difficile. Accompagner les émotions de son enfant La première rentrée scolaire (et les suivantes) est très souvent chargée d'émotion. C'est la fin d'un chapitre, le début d'un autre. Un nouvel environnement, de nouveaux interlocuteurs. Comme le phare en pleine tempête guide les bateaux égarés, n'hésitez pas à accompagner votre enfant dans la verbalisation de ses émotions. Voici plusieurs ressources qui peuvent être précieuses pour adoucir les angoisses de la séparation : Dessiner un coeur sur la main de votre enfant : astuce bien connue des jeunes parents, dites à votre enfant que ce coeur est chargé de bisous, que s'il en ressent le besoin, il peut le regarder. Que c'est la preuve que vous pensez à lui, toute la journée, et que vous l'aimez de tout votre coeur. La pratique du portage : certains parents redoutent de "trop" porter leur enfant, au risque de leur donner des mauvaises habitudes et de rendre la séparation plus compliquée. Mais c'est tout le contraire : le portage participe à la création d'un lien d'attachement sécure. Un enfant avec un lien d'attachement sécure se sent donc en confiance pour explorer le monde qui l'entoure. Son instinct lui souffle qu'en cas de détresse, donc parent sera toujours là pour l'apaiser.La pratique du massage : les massages présentent de nombreux bienfaits pour les bébés, comme les adultes. Sécrétion d'ocytocine, détente, renforcement du lien d'attachement... N'hésitez pas à l'intégrer à votre routine du soir, par exemple en utilisant l'huile bio P'tits Câlins, qui apaise, nourrit et hydrate la peau.Les huiles essentielles : elles présentent de nombreuses vertus. Pour apaiser les enfants dès 3 ans, l'huile bio Dé-Stress, fabriquée en France, peut devenir votre meilleure alliée avant de partir à l'école !  La question de la continence : pas de panique ! Beaucoup de parents redoutent que leur enfant ne soit pas totalement propre avant la première rentrée scolaire. C'est une angoisse légitime. Mais, en vérité : chaque enfant évolue à son rythme, et il est fréquent que l’acquisition de la continence se poursuive au début de la rentrée maternelle.Les enseignants et ATSEM sont là pour :Aider les enfants en cas d’accidentProposer des passages (très) réguliers aux toilettesEncourager et féliciterL'effet de groupe favorise également cet apprentissage ! Faites confiance à votre enfant. Là encore, certains albums jeunesse aborde cette thématique en douceur.💡 Glissez dans le sac à dos un change complet et une petite pochette pour les vêtements humides. Il existe des culottes d'apprentissage rembourrées pour une transition en douceur. Les 3 erreurs à éviter pour une première rentrée scolaire sereine! Lors de la première rentrée scolaire, l’envie de bien faire est naturelle… mais certains réflexes peuvent, sans qu’on s’en rende compte, augmenter le stress de l’enfant. En gardant en tête que cette étape est avant tout une période d’adaptation, il est plus facile d'adopter des bons réflexes en amont :Inutile de se mettre la pression sur la continence : promis, la continence en journée viendra avec le temps, lâchez prise sur le sujet.Cibler vos questions, le soir : certains parents aimeraient se transformer en petite souris pour observer ce que fait leur enfant durant la journée. Ne vous attendez pas à un compte-rendu détaillé de la part de la maîtresse. Gardez en tête que votre enfant ne peut pas tout retenir et qu'il a accumulé de la fatigue durant la journée. Par exemple, demandez-lui simplement : "qu'est-ce que tu as le plus apprécié durant ta journée ?".Eviter de changer toute la routine familiale en même temps : conserver certains repères habituels pour ne pas perturber davantage ses journées favorisera une transition en douceur. FAQ – Première rentrée scolaire, les questions fréquentes que se posent les parents Mon enfant pleure tous les matins, que faire ? Les pleurs du matin sont fréquents. Ne culpabilisez pas. Rassurez-le sur le fait que vous reviendrez le chercher et adoptez un rituel de séparation constant. La plupart des enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent. Si les pleurs perdurent sur plusieurs semaines, après la rentrée, n’hésitez pas à demander un rendez-vous avec la maîtresse pour discuter des choses qui peuvent être mises en place pour faciliter la séparation. Faut-il que mon enfant sache s’habiller seul ? Pas nécessairement ! La maîtresse et l’ATSEM accompagnent les enfants pour mettre ou enlever leur manteau. L’important est qu’il participe selon ses capacités. C’est en pratiquant qu’il développera sa motricité fine et apprendra à s’habiller en autonomie. Optez pour des vêtements faciles à manipuler et confortables (baskets à scratchs, sweats à enfiler …). Mon enfant n’est pas continent, puis-je lui mettre une couche à l'école ? Non, il n’est pas possible de déposer votre enfant à l’école en couche. C’est valable pour les modèles classiques à scratchs comme pour les modèles panty. Cependant, vous pouvez opter pour des culottes d’apprentissage. Elles contiennent une partie rembourrée qui évite que votre enfant se retrouve trempé en cas d’accident. En conclusion La première rentrée scolaire est un mélange d’émotions pour toute la famille.Il est possible de préparer votre enfant en amont (affectivement et matériellement), de mettre en place une routine du matin rassurante et une communication bienveillante, pour l'aider à vivre cette étape avec confiance.Que ce soit le choix du sac à dos, l'accompagnement des pleurs, la préparation à la séparation, chaque détail compte pour faciliter la transition. Il y aura sûrement un écart entre ce que vous aviez projeté pour ce premier jour d'école et ... la réalité à l'instant T. Il est impossible de tout prévoir à l'avance. Mais souvenez-vous : vous faites au mieux, avec les ressources à votre disposition.

BébéPrévenir et apaiser les petits bobos de bébé : tous les conseils Néobulle !

Premiers bobos de bébé : les identifier et apaiser

Même si un nouveau-né est souvent en bonne santé, il n’est pas à l’abri de petits désagréments au fur et à mesure qu'il grandit. Acquisition du quatre pattes et de la marche, premières poussées dentaires, inconforts digestifs... Savoir identifier et soulager rapidement les bobos de bébé permet d’apaiser toute la famille.Sommaire Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Reconnaître les signes des coliques et d'inconfort digestif Les douleurs digestives sont fréquentes durant la première année de vie de bébé. Notamment les premières semaines, puis au moment de la diversification alimentaire. L'immaturité du système digestif du nouveau-né y est pour beaucoup : les choses se mettent en place petit à petit. Bébé se tortille, son visage se crispe, il pédale et pousse avec ses jambes ? Votre instinct vous souffle la réponse : ce sont bien les signes d'un inconfort digestif ! Gestes simples pour soulager bébé Voici quelques réflexes simples à intégrer dans votre quotidien pour soulager votre bébé : Réalisez de petits cercles dans le sens des aiguilles d’une montre avec l'huile Bio Calm’Bidou, dès la naissance.Appliquez-la après le change ou lors d'une phase d'éveil calme (évitez les crises de pleurs)Ramenez doucement les genoux de bébé contre son ventre pour faciliter l'évacuation des gaz.Réalisez un bain enveloppé en fin de journée pour l’aider à se détendre.💡 Astuce parent : En cas de doute ou si les symptômes persistent, demandez toujours l’avis de votre médecin. Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Sécuriser l’environnement de bébé Même les tout-petits peuvent parfois basculer et s'improviser cascadeurs en herbe! Par exemple lors de l'acquisition du quatre pattes ou de la marche. Sécurisez les pièces de votre logement (coins de table, tapis antidérapants…), mais n’oubliez pas : ces petits bobos de bébé font partie de la découverte du monde. Soulager bébé avec un soin adapté Gardez à portée de main l'huile Bio Badaboum. C’est le chouchou de nombreux parents : à base d’arnica et d’hélichryse, elle apaise bosses et bleus dès 3 mois. Grâce à son format roll-on, elle s’applique directement sur la peau, sans massage. Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Quand apparaissent les premières dents ? Les poussées dentaires débutent généralement entre 3 et 6 mois, mais chaque bébé évolue à son rythme. Certains naissent même avec une première dent !Ces poussées dentaires s’accompagnent souvent d’irritabilité, de salivation abondante, de rougeurs au niveau des joues et peuvent avoir un impact sur le sommeil de votre tout-petit (et... le vôtre!). Apaiser les premières poussées dentaires Même s'il n'existe aucune recette miracle pour apaiser entièrement les poussées dentaires, voici quelques gestes simples pour soulager en douceur votre bébé :Massez doucement ses gencives avec l'huile Bio Premières Dents dès 3 mois, composée d'une combinaison d'huiles végétales et d'huiles essentielles calmantes,Proposez un anneau de dentition réfrigéré pour un effet apaisant.Si votre bébé est diversifié, placez quelques glaçons de fruits ou de lait maternel dans une grignoteuse, Offrez une présence rassurante et des câlins pour aider votre bébé à traverser cette étape (spoiler : les sessions portage peuvent aider et favoriser la sécrétion d'ocytocine !)➡️ Pour en savoir plus sur les poussées dentaires, découvrez notre article dédié ! Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien Pas de panique : les petits bobos sans gravité Les ongles de bébé poussent vite et peuvent occasionner des griffures, tout comme les jeux ou les découvertes du quotidien. Si vous allaitez, vous avez peut-être déjà eu l'occasion de constater à quel point leurs petits ongles peuvent être redoutables !En été, la peau tendre des bébés a aussi tendance à régaler les moustiques.Au fil du développement moteur de votre bébé, il commence à ramper et faire du quatre pattes. C'est souvent une période sensible pour leurs genoux, qui s'égratignent facilement. Une solution douce et rapide Pour les petites coupures, égratignures, genoux griffés ou coudes abîmés, l'huile Bio P’tits Bobos est idéal. Son format roll-on le rend tellement pratique à appliquer, sur un bébé qui a la bougeotte, dès 3 mois !Formulée avec des huiles essentielles de ciste, de géranium rosat et de lavande fine, ce stick favorise la réparation cutanée et convient à toute la famille ! En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Les petits bobos font partie intégrante de la vie de bébé et du quotidien des parents. Qu’il s’agisse d'inconforts digestifs, de petites chutes, de poussées dentaires ou de griffures, apprendre à les identifier et à les soulager avec douceur permet d'apaiser toute la famille. En adoptant des gestes simples, en utilisant des produits adaptés et en offrant une présence rassurante, vous accompagnez votre enfant dans sa découverte du monde qui l'entoure.