
Un petit coup de mou dans votre rôle de parent ?
Vous la ressentez aussi, cette routine qui nous épuise, ce train-train quotidien qui nous lasse ? Tout va bien, on ne manque de rien, bébé est en bonne santé. Et pourtant, entre les couches, les biberons ou les tétées, les lessives, la préparation des repas, les horaires de l’école, et les obligations, on sent bien que cette routine nous endort. Alors on les aime fort, hein ! Tous : les petits, les grands, mon conjoint …. Et malgré cet amour puissant et ces multiples tâches inlassablement répétées, avec bébé calé sur la hanche dans un sling , on s’ennuie … et parfois même, on culpabilise de ne pas faire assez bien, de ne pas être assez bien …Alors qu’on arrête pas une minute ! Rassurez vous : Vous n’êtes pas la seule personne qui ressent cela Cela n’enlève rien à vos compétences parentales L’amour que vos portez à votre famille n’est pas remis en cause Vous pouvez vous rapprochez de groupe de paroles entre parents Et oui, je sais …On rêve toutes d’un peu d’aventure, de voyage, de grandes rencontres, de notre super travail épanouissant … Mais la maternité et le cocooning ont parfois ce petit côté enfermant, qui pourrait nous prendre au piège de la dévalorisation ! En effet, la société du faire, du faire vite et de le montrer à tout le monde, n’aide pas à mettre en valeur le travail de fond, invisible et répétitif d’un parent, et je dirais même, d’une maman … Les supers papas, je ne vous oublie pas, mais je suis sûre que vous serez d’accord avec moi pour dire que toutes ces tâches quotidiennes ne sont malheureusement pas encore assez partagées au sein des foyers, et sont bien trop souvent l’apanage, pas toujours choisi, des femmes. Ceci est d’autant plus vrai pendant les congés maternité, ou parental. Et c’est sûr que, ça n’aide pas non plus, de : De ne pas avoir le temps de s’habiller avant 15h, parce que bébé vous accapare D’avoir les yeux cernés pour ne pas avoir fait une nuit complète depuis des mois Porter votre survêtement de grossesse car vous ne trouver pas le temps d’acheter un nouveau pantalon Ne plus se rappeler de la dernière visite chez le coiffeur … Prendre sa douche sans faire de bruit à 23h quand tout le monde dort enfin Ne jamais avoir 10 minutes seule, même aux toilettes Et j’en oublie ! Alors, quand vous vous entendez marmonner pour la N-ième fois « je n’ai encore rien eu le temps faire, aujourd’hui », sachez que ce n’est pas vrai ! Je vous invite à lister de tout ce que vous accompli et réalisé dans la journée, croyez moi, vous serez positivement surprise du résultat ! Pensez à demander de l’aide dans votre entourage Appeler une personne ressource qui saura vous dire combien vous êtes fantastique Et quand vous commencez à douter de vos compétences parce que vous venez de battre le record de la 2000ème couches changée, n’oubliez pas que : Vous êtes la meilleure personne pour votre enfant Essayer de vous fixer des objectifs réalisables à délais courts et les voir se réaliser Et bien évidement : porter votre enfant peut vous aider (cf article toutes les fois où le portage m’a sauvé la vie) Mais enfanter et faire pousser un petit être, l’amour et l’éducation, ça prend du temps ! La nature fait les choses sans se presser, et pourtant tout est accompli. Lao tseu Et dans un système ou tout va très vite, où tout change tout le temps, on a parfois tendance à l’oublier. Essayons de cultiver les valeurs patience, persévérance, résignation et …humour, toujours ! « Vous êtes agacée de lancer une nouvelle machine de layette parce que bébé a décidé de redécorer tous ces pyjamas couleur vomito ? Dites vous que dans 15 ans, vous étendrez des chaussettes de foot ou des croptops à l’étendage ! » Et … On peut aussi regarder cette monotonie sous un angle positif. Car ce mode de vie, dense et ritualisé, nous permet de mener de front de nombreuses tâches. Un peu de recul nous permet de voir qu’on y arrive, vaille que vaille, jour après jour, sans faillir. Et finalement, quand on se rend compte que tout le monde n’a pas la chance de vivre ce petit ronron confortable, il devient beaucoup plus doux, voire précieux. La cuisine, c'est l'usineOù s'apprête la journéeOn fredonne, biberonneLe café veut bien passerLes tartines, les bottinesOn fait tout du même coupOn habille une ou deux fillesLa journée est entaméeMécanique qui s'appliqueDans les gestes du matinLes gestes qu'on connaît bienC'est rien, C'est le bonheur quotidien Anne Sylvestre

Toutes les fois où le portage m’a sauvé la vie !
Maman solo en ville, parents baroudeurs ou avec une famille nombreuse : Le portage facilite tout ! Pour moi, porter bébé c’est : Lui offrir du temps de sommeil, en me permettant de partager des temps de qualité avec ses frères et sœurs, et oui, pas de jalousie, on pense à tout le monde ! Cuisiner en temps et en heure pour que la fratrie ne se transforme pas en gang de petits monstres affamés. Avoir un rendez-vous téléphonique sans interférence (Vous savez, les 45 minutes interminables avec la Caf ou la sécu …) Passer du temps avec mes amis et éviter d’être isolé, la moitié de la soirée, dans la chambre de bébé. M’autoriser à une pause relax, incrusté au fond de mon fauteuil fétiche, sans m’endormir bien sûr Offrir à mon bébé, un espace de sécurité dans la foule et le protéger de stimuli de la rue : bruit, odeur, couleur (cf article portage face au monde) Si ça peut lui éviter de se faire pincer la joue par la petite Mamie relou « qu’est-ce qu’il est mignon ce poupon ! » M’accompagner pendant les longs aller-retours nocturnes dans le couloir de la maison, pour essayer de rendormir bébé après un cauchemar. Vous savez, quand on a tellement sommeil que les seules forces qui nous restent, on les emploie à bouger le bassin pour bercer bébé et fredonner une berceuse, qu’on espère efficace ! C’est plus économique que de faire le tour du pâté de maison en voiture, et j’ai même le luxe de rester en pyjama … « En fait, en portant mes enfants, j’ai tout fait » - Camille Avoir mes deux mains libres pour : Accompagner mon grand à l’école sans risquer un faire demi-tour « je ne veux pas aller à l’école » Composter le ticket bus et me tenir à la barre, tout en veillant sur la poussette ! Porter les sacs de courses et paquets de couches (même pas besoin de passer à la salle de sport !) Continuer mes loisirs, tout en passant du temps avec mon bébé. Aller à la pêche (si, si …) Me balader dans les sous-bois et ramasser des champignons, Randonner et accéder au sommet par les sentiers caillouteux. Jeux de société avec des amis, Lire, écrire, dessiner, Tricoter. Bénévolat à la bibliothèque ou au centre social de mon quartier. Économiser la différence de prix avec une poussette « haute-technologie-multifonction-super-plus », tout en permettant plein d’astuces sympa. Gagner de la place, et me permettre de me déplacer « léger » (en comparaison avec la poussette encombrante mentionnée ci-dessus) Dans les transports en commun : train, bus, avion Dans son appartement Dans le coffre de la voiture – exit la notice de pliage de poussette ultra complexe ! Faciliter Les passages d’obstacles Escaliers Ouvertures de portes Trottoirs Et même le passage aux toilettes au snack de la gare!

Trucs et astuces pour optimiser l’écharpe à 100 %
Selon les témoignages des parents utilisateurs Pas de panique, on vous accompagne ! Vous pouvez consulter nos tutos afin d’apprendre depuis chez vous ou vous rapprocher de nos monitrices de portage, pour un accompagnement plus personnalisé, c’est un vrai plus pour être encouragé, l’occasion de permettre aussi un temps d’échange avec d’autres parents. Et si vous doutez encore, voilà la liste des avantages de l’écharpe, que ne permet aucun autre système de portage. Elle rend service tout le temps et ses options sont infinies ! Imaginez une petite balade « en mode léger» et bébé va bien, il est détendu, tellement détendu qu’il vous livre un cadeau dans la couche : repliez l’écharpe sur elle-même, elle s’improvise matelas à langer ! Une petite sieste improvisée, elle tiendra chaud comme couverture, dans la voiture ou sur un petit coin d’herbe, quand les plus grand jouent au parc, pour bébé … … Ou ses parents, car elle peut aussi se transformer en plaid, à la sauvette, quand c’est maman qui a un petit coup de froid … Doudou à disposition, tissu tout doux avec l’odeur de maman ou papa, Et même pour allaiter en toute sécurité (cf lien tuto du nœud) Et quand bébé s’est enfin endormi dans son lit, on la roule en boule, et elle se transforme en oreiller pour la sieste des parents sur le canapé. Se servir du tissu en surplus après le nœud comme essuie-tout :Essuyer le front de maman après 3 heures de randonnée, alors que bébé roupille dans son dos Débarbouiller la frimousse de bébé après un gouter sauvage d’un biscuit au chocolat. Mais non, ce n’est pas si cracra ! Car un autre avantage important de l’écharpe, est qu’elle se lave très facilement ! Un petit tour en machine avec le linge de la famille, et hop, le tour est joué ! Et quand bébé grandi ? On peut alors recycler l’écharpe : La jeter sur une petite table et construire des cabanes enchantéesLa nouer sous une table pour faire un petit hamac : idéal pour un temps de lecture soloLa transformer en petit rideau de théâtre à marionnettes, Confectionner un couffin pour que votre enfant qui grandi, puisse à son tour jouer à la poupée Ou laisser libre court à votre créativité et carrément la re découper pour se fabriquer :Un tote bag, qui vous suivra partout, en souvenir des années-câlinou ! Des accessoires déco pour la chambre de votre petit bout.

La simplicité au cœur du portage
La naissance d’un bébé est un moment émotionnel et physique d’une intensité rare. Comment ne pas s’émerveiller et s’étonner d’avoir réussi à créer un petit être si parfait ? Il est enfin là, devant nous, dans nos bras. Si minuscule. Passé le tsunami de son arrivée, il n’est pourtant pas rare de brusquement se poser un milliard de questions. Le doute s’installe, pernicieux. Vais-je être à la hauteur ? Vais-je réussir à m’en occuper ? Quel jeune parent ne s’est pas senti d’un coup écrasé par la soudaine prise de conscience de la responsabilité qui lui incombe ? Responsabilité largement amplifiée par les injonctions à bien faire portées par l’ensemble de la société. Le portage est un excellent révélateur de tout ce qui peut se jouer autour de la parentalité en termes d’implication et de peur de mal faire. Tout le monde porte. Si si ! Lorsqu’on parle de portage, on imagine souvent un porte-bébé, mais en réalité le premier et principal portage du quotidien, c’est celui qui se pratique à bras ! Chaque parent en étant doté d’un ou 2 fonctionnels et chaque bébé devant bien à un moment ou un autre être manipulé, ne serait-ce que pour être changé, tout le monde le pratique… Ensuite effectivement certains outils ont été proposés, tout du long de l’évolution de l’espèce humaine, d’abord rudimentaires puis de plus en plus perfectionnés. Selon les cultures et les traditions, porter son enfant peut être encouragé, indispensable, ou au contraire mal perçu voire déconseillé. On va porter tantôt emmailloté, tantôt non, dans des positions plutôt droites ou plutôt regroupées, vertical ou horizontal, et j’en passe… Dès lors qu’on cherche des informations sur internet concernant le portage, c’est la panique ! Il faut porter physio, en écharpe, mais attention si le nœud est mal fait c’est mauvais pour bébé et si en plus il est habillé avec un pyjama à pieds, non vraiment ce n’est pas bon… Un porte-bébé non physio ? Mais quelle horreur ça va lui abîmer la colonne… Au milieu de tout ça n’oublions pas le fameux conseil de tatie Cunégonde qui rappelle que de son temps on s’embêtait pas avec tout ça et que quand même, on en est pas morts… et en plus ça va en faire un capricieux, un bébé à bras. Du coup on en fait quoi de babychou ? Et bien ça dépend… De lui déjà, en tout premier lieu. Parce que n’oublions pas que c’est quand même le principal intéressé ! Les bébés ont tous des besoins qui leur sont propres, certains vont aimer dès le début avoir leur petit espace et s’éclater sur leur tapis, d’autres au contraire ne s’apaiseront que portés constamment par leurs parents. Aucune des 2 situations n’est anormale, et surtout dans le cas où l’enfant a un besoin de portage plus intense que la moyenne, garder en tête que cela ne durera pas éternellement. On ne connaît pas d’ados de 15 ans en bonne santé toujours portés ni allaités. La naissance reste une étape éprouvante pour le nouveau-né qui arrive d’un milieu très contenant, où il évoluait en apesanteur dans un liquide filtrant la plupart des stimuli, et où il ne connaissait ni la faim, ni l’inconfort, ni la douleur. Certains ont besoin d’un peu plus de temps que d’autres pour s’acclimater et demandent à être un peu plus accompagnés. En moyenne on constate que vers 3 mois la plupart ont passé ce cap et commencent d’ailleurs à réclamer à aller au sol. Et le parent du coup ? A chacun aussi de trouver son équilibre dans sa relation avec bébé. Des fois il est plus facile de ne pas se poser de questions et de répondre aux besoins de l’enfant sans réfléchir, en sachant que ça passera. Des fois c’est plus compliqué à vivre et on négocie avec lui pour trouver un terrain d’entente, un compromis… Dans les 2 cas là encore il n’y a pas de règle. Pas de « mieux ». L’idéal restant toujours de faire ce qui nous correspond et d’observer son enfant. Et d’accepter que les besoins et les réponses peuvent varier selon les jours parce que nous ne sommes pas des machines (et tant pis pour les bons conseils de Tatie Cunégonde) ! Et avec quoi on porte ? Dans la continuité du reste, la souplesse est de mise. Aucune étude à ce jour n’a pu démontrer de risques accrus de blessures ou malformations relatifs à un type de portage dit « non physiologique » pratiqué avec un bébé n’ayant aucune pathologie déjà présente. On conseillera de s’orienter vers un portage physiologique pour des questions de confort, mais c’est tout. Le portage parfait n’existe que dans les livres, les seules règles à respecter sont celles de sécurité à savoir un bébé porté verticalement, les voies respiratoires dégagées, et qui ne risque pas de chuter. Ce sont du coup les premiers objectifs de portage à atteindre avec son bout de chou, le reste n’est qu’une question de confort. On rappellera que derrière une jolie photo, il y a parfois un certain nombre d’essais et des centaines d’autres clichés ratés ! Quant aux vêtements de bébé c’est une affaire de bon sens : des habits souples et confortables (qui se verrait faire une sieste en robe de mariée ou un cours de yoga en jean slim ? Personne ? Alors pareil pour bébé, exit la robe à froufrous et le petit pantalon étroit). Et si le pyjama commence à être trop court et tirer sur les pieds, il suffit d’en changer de taille. En bref, il convient de remettre de la simplicité dans l’équation.Bébé a besoin d’être porté ? Portons-le, autant que nécessaire pour que chacun y trouve son compte. Il préfère être posé ? Posons-le. L’outil nous convient et nous facilite la vie ? Tant qu’il respecte la sécurité ma foi tout est parfait. Être parent est sans doute la tâche la plus complexe de notre vie, celle qui cristallisera toute notre énergie, toutes nos pensées, et surtout toutes nos angoisses, pendant plusieurs (dizaines d’) années. Il est toujours facile de critiquer et juger la façon de faire des autres, et quoi que nous fassions avec nos enfants ce ne sera jamais assez bien ! Alors tant qu’à se planter, autant le faire de bon cœur avec quelque chose qui nous paraissait correct. Et accessoirement se construire avec des parents parfaits mais quelle pression pour nos enfants ! Le portage c’est avant tout le plaisir du contact avec son tout petit, la création d’un lien indestructible. Peu importent l’outil et la beauté du geste, personne ne décernera à quiconque de médaille s’il arrive à bien utiliser une écharpe ! Seuls comptent l’envie, les besoins, et que cela permette de faciliter le quotidien en limitant les pleurs.

Porter bébé en voyage
Vous rêvez d’aventure, de voyage, d’embarquer dans un van, pour un road trip tout autour de l’Europe… Mais votre famille vient de s’agrandir et vous ne savez pas trop comment concilier les deux. Et si le portage était une clé essentielle pour faire aboutir votre projet ? La quête de l’encombrement minimum Les jeunes parents le savent : le volume d’équipement à emporter lorsqu’on a un bébé est inversement proportionnel à sa taille ! Or que ce soit pour un petit Week-End ou pour un voyage plus long, la location du semi-remorque nécessaire à trimballer le « au cas où », ne fait généralement pas partie des plans. Commence alors la douloureuse étape du tri. Certains arbitrages sont simples mais d’autres s’avèrent plus épineux : la maxi poussette est top confort pour bébé mais elle prend la place de 3 valises. Comprendre : il va falloir faire sans mais il va falloir trouver comment, sans rogner sur le confort de chacun. C’est ici que le porte-bébé trouve son premier intérêt : Souple, compact et léger, il se glisse facilement entre deux sacs et ne prend quasiment pas de place. Souvenir d’un WE à la montagne avec 3 enfants et un chien dans la petite voiture pleine à craquer et où l’écharpe de portage était pliée en guise de couverture sur bébé et le sling en snood autour de mon cou (la poussette quant à elle ne rentrait pas !). Précisons que le gain de place n’est valable que si on s’oriente vers des porte-bébés physiologiques : les gros sacs de rando à armatures, en plus d’être très inconfortables, ne se plient pas vraiment et occupent eux aussi un volume dingue ! Un petit vent de liberté Qui ne s’est pas déjà retrouvé coincé devant un immense escalier, une rue pavée, ou une visite de monument où l’accès des poussettes est interdit ? Le porte-bébé vous permet d’affronter tous les obstacles imprévus de votre périple sans prise de tête. Bébé vous suit partout quelque soit la topographie du terrain ! Envie d’une petite virée improvisée dans les chemins à proximité ? Un clip et c’est parti ! Un lieu inaccessible à la poussette ? Pas de plan B à improviser sur le tas, ni de risque de vol de la poussette laissée dans l’espace dédié. Que ce soit pour une journée à la plage ou une visite, grâce au portage vous restez libres de vos déplacements et pouvez voyager partout sans risque d’être bloqués ! Affronter les transports en toute sérénité Une valise dans une main, la poussette à plier dans l’autre, le bébé qui pleure à gérer au milieu et la foule qui s’agace derrière (sans aider évidemment ce serait trop simple)… La situation vous parle ? C’est celle qui se présente souvent lorsqu’on essaye de prendre le train avec son bébé. On retrouve parfois aussi des difficultés lorsqu’on prend l’avion, entre la poussette trop grosse qui doit aller en soute ou qui prend la place d’un autre bagage à main et la sécurité et le temps d’attente avant embarquement à gérer. Installé en portage, votre enfant est sécurisé pendant les manutentions diverses, vous avez les mains libres pour gérer un éventuel aîné, et vous pouvez aussi vous faufiler dans les allées plus facilement s’il a besoin d’être bercé. Le bébé globe-trotteur Côté bébé aussi on retrouve plein d’avantages à voyager en portage ! Les changements d’environnements sont parfois plus difficiles à appréhender pour certains bouts de chou : hors de chez eux, ils peuvent être nerveux, angoissés, présenter plus de difficultés à s’endormir, et leurs rythme et repères sont chamboulés. C’est d’autant plus vrai que les lieux par lesquels on transite peuvent être bruyants et impressionnants (foule, bruit, lumières…). Lovés contre vous, ils sont rassurés et sécurisés et gèrent mieux les différents bouleversements. Les lieux touristiques étant souvent très prisés, il n’est pas rare de s’y retrouver en plein bain de foule. Dans une poussette l’enfant se retrouve à hauteur des genoux des gens, même en faisant attention il peut se faire bousculer, brûler par les cigarettes tenues vers le bas, et le spectacle des jambes qui se pressent autour d’eux n’est clairement pas des plus agréable. Calé sur vous, il sera moins oppressé par la foule, et pourra lui aussi profiter des visites et panoramas. Pour les plus grands, ils apprécieront aussi de pouvoir se reposer un peu lorsqu’ils sont fatigués. Le porte-bébé idéal du petit baroudeur en herbe Maintenant que les bases sont posées : quel système de portage glisse-t-on dans notre sac de voyageur ? Si on ne doit en choisir qu’un seul, un préformé est sans doute ce qui est le plus polyvalent car il allie à la fois le confort d’une bonne répartition de la charge au pratique indispensable aux installations d’urgence ou en extérieur. Il s’utilise facilement pour passer les sécurités des aéroports ou pour réinstaller bébé au milieu de l’allée du train à l’arrivée. Compact et léger, il présente également un très faible volume d’encombrement. Echarpe, sling et mei-tai restent des alliés de choix eux aussi mais devront souvent se combiner entre eux pour palier à toutes les situations. Etant très souples ils se glissent facilement au fond d’un sac ou entre deux valises et seront appréciables pour un côté plus cocooning avec un tout petit. Il ne reste plus qu’à vous souhaiter un bon voyage !
Les huiles essentiels sont-elles des perturbateurs endocriniens ?
On parle beaucoup de perturbateur endocrinien, mais qu’est qu’un perturbateur endocrinien ? Un perturbateur endocrinien est une substance qui est capable d’interférer avec notre système hormonal en induisant un effet néfaste sur la santé. Les périodes critiques de développement où la régulation hormonale est particulièrement importante (pendant la période fœtale, la petite enfance, la puberté ou l'adolescence, grossesse), l'exposition à des perturbateurs endocriniens peut être préoccupante. Une multitude de substances peuvent être perturbateur endocrinien, mais certains pesticides et composant de plastiques se sont avérés être des perturbateurs endocrinien, comme le bisphenol A par exemple qui est dorénavant interdit dans les biberons et les contenants alimentaires. Un programme d’identification des perturbateurs endocrinien est en cours au niveau national pour les règlementer. Les huiles essentielles suspectées d'être des perturbateurs endocriniens ? Dans les médias, une étude scientifique a été relayé plusieurs fois, où des chercheurs américains ont mis en évidence une perturbation endocrinienne après application de produits cosmétiques contenant de l’huile essentielle de lavande et de tea tree. Notamment 60 millions de consommateurs, a relayé cette étude suscitant de la crainte et de la méfiance auprès des consommateurs sur ces huiles essentielles sans réel fondement ! Depuis sa publication, cette étude a été citée des centaines de fois pour faire référence à l'activité œstrogénique ou perturbatrice endocrinienne des huiles essentielles de lavande ou de tea tree sans bénéficier de données supplémentaires. Cette étude a été critiquée par de nombreux auteurs sur plusieurs points et d’autres études ont montré que ces huiles essentielles ne perturberaient pas le système endocrinien. Le SCCS, Comité scientifique de la sécurité des consommateurs de la Commission européenne, a lui-même discrédité cette étude. Certains auteurs imputent les phtalates contenus dans les plastiques ou les pesticides pouvant avoir contribués à l'effet endocrinien noté par l’étude américaine. Et dans les produits Néobulle ? Chez Néobulle, nous portons une attention toute particulière que ce soit dans le choix des ingrédients que dans le choix de nos emballages. Nous sélectionnons des huiles essentielles de grande qualité et bio. Notre organisme de certification Bureau veritas procède régulièrement à des contrôles sur nos produits finis pour contrôler l’absence de pesticides. Nous sélectionnons des emballages exempts de phtalates pour les plastiques ou encore en verre et qui possèdent une bonne résistance chimique. Nous restons très attentifs à l’évolution des techniques et de la recherche scientifique sur ce domaine.
Comment se détendre pendant la grossesse ?
Sereine et détendue pendant ta grossesse Comme on sait que la grossesse est faite parfois d’interrogations, de petits moments de déprime ou d’émotions en montagnes russes, voici quelques conseils à suivre pour une grossesse sereine. Une seule règle : 0% culpabilisation et 100% plaisir ! On y va ? L’astuce “bien dans son corps” La sophrologie, le yoga prénatal, l’haptonomie ou même la piscine sont autant de techniques de préparation à l’accouchement qui apportent bien-être, sérénité et vitalité. Quel que soit le stade de la grossesse, n’oubliez pas qu’elles sont toujours accessibles. L’astuce “plume créative” Poser noir sur blanc vos émotions en tenant un journal de grossesse peut s’avérer très bénéfique. Notez les petits (ou grands) bonheurs du quotidien. Projetez-vous sur le futur avec bébé. Vos projets, vos envies. La grande aventure que vous vivez. Un joli cahier. Un crayon. Être positive. Tout est dit ! L’astuce “chouchou” Un petit tour chez l’esthéticienne ? Un rendez-vous manucure ? Une escale chez le coiffeur ? Comme c’est bon de se faire chouchouter. Profitez-en pour vous détendre et relâcher la pression. L’astuce “détente totale” Un massage de votre cher et tendre avec l’huile magique Bien Être de Néobulle, pour un pur moment de relaxation et de détente, qui vous comblera de plaisir. Plaisir que bébé ressentira aussi. La détente vue par Néobulle Nous avons créé toute une gamme Détente pour vous accompagner avec sérénité dans les moments de stress. Découvrez vos futures alliés relaxation ici

Semaine mondiale de l'allaitement
L'allaitement maternel, le point de départ de Néobulle ! En cette semaine mondiale, nous pouvons qu’encourager et soutenir les actions faites pour mieux informer et soutenir l'allaitement maternel ! Alors quel lien avec Néobulle ? Infirmière de profession et maman allaitante, je me suis rendu compte qu’il manquait de structure pour promouvoir l’allaitement. C’est comme une évidence, que j’ai créée en 2002, le réseau Reflait afin de soutenir l'allaitement maternel dans la Loire (42)Je proposais en parallèle des consultations d'allaitement au sein de maternités.Il y avait tant de demandes que je n'arrivais pas à répondre à toutes les mamans.Les mamans se sollicitait pour un soutien en allaitement mais aussi pour un soutien « tout court ». Voilà pourquoi j’ai eu l’idée de créer une association pour proposer des séances de massage bébé, des initiations au portage, des ateliers de chant prénatal, des discussions, du lien … Cela a permis aux mamans de se rencontrer (il n’y avait pas souvent de papa présent à l’époque 😉 ) et de se rassurer ensemble sur leur allaitement à travers l’échange et l’exemple. Pour répondre aux besoins des parents et des bébés rencontrés en ateliers, nous avons créé petit à petit des produits adaptés : écharpe, potions magiques en aromathérapie… et tout cela avec le souhait de les fabriquer en local !C'est ainsi que les produits Néobulle sont nés ! Alors oui, l'allaitement maternel est vraiment le point de départ de Néobulle !Au fur et à mesure, nous avons élaboré une gamme de soin naturel pour aider l’allaitement et les couples qui l’ont choisi. Ce qui reste important pour nous c'est de continuer à aider et accompagner au maximum les couples dans leur projet d’allaitement (quel qu’il soit… allaitement court, long, exclusif ou partiel).Car le problème n'est pas d'allaiter ou non, chacun est libre de ses choix selon ses convictions et sa propre histoire, mais nous nous devons, (la société, les pros de santé, les associations… et même les fabricants comme Neobulle) de soutenir ceux qui ont fait ce choix pour que l’allaitement soit une réussite et non un parcours du combattant ! Séverine Martial

Tout savoir sur le peau à peau
Il a longtemps été de tradition d’envelopper le bébé dans un linge avant de le remettre à sa maman après sa naissance. Mais cette tendance laisse place au peau à peau. La pratique consiste à déposer bébé, nu ou en couche, directement contre sa maman. Il n’est pas rare que le peau à peau soit proposé au papa lorsque la maman n’est pas en état de le pratiquer. On l’appelle aussi la méthode Kangourou. Alors, effet de mode ou pratique recommandée ? Et pourquoi pratiquer le peau à peau ? Comment est « né » le peau à peau ? C’est en Colombie, il y a 40 ans, que le Docteur Edgar Rey Sanabria imagine réchauffer les bébés prématurés en les posant, déshabillés, contre le torse nu de leurs parents. La pratique existe donc depuis longtemps. Elle n’est pourtant adoptée que depuis peu par les maternités françaises. Comment pratiquer le peau à peau ? Bébé doit, bien-sûr, d’abord, être dénudé. On lui laisse généralement sa couche. Son torse est posé sur celui du parent qui aura préalablement dénudé son buste. Sa tête doit être dégagée pour lui permettre de respirer sans contrainte. On le recouvre généralement d’un drap et d’une couverture pour qu’il n’ait pas froid. Le peau à peau peut se pratiquer assis mais également debout. Pour ce faire, on choisira une écharpe de portage en coton Oeko-Tex (un tissu exempt de polluants, métaux lourds et toxiques). Assimilée à un porte-bébé physiologique, elle s’adapte à toutes les morphologies et permet de garder bébé confortablement installé contre soi, en toute sécurité. Néobulle propose plusieurs modèles d’écharpes dont l’écharpe sans nœud My Sling Jersey. Pourquoi pratiquer le peau à peau ? Réguler le bébé Pratiqué juste après sa naissance, le peau à peau a l’avantage, nous l’avons dit, de réchauffer bébé. En effet, contre le torse de son parent, il régule sa température et, du même fait, stabilise son rythme cardiaque. A travers cette pratique, il régule également sa respiration. Le peau à peau participe même à augmenter son taux de glycémie ! Plus tard, la méthode kangourou est réputée pour apaiser les pleurs du bébé. Des études ont, en effet montré que les bébés pratiquant la méthode pleurent beaucoup moins que les bébés placés dans leur berceau. Rassurer bébé L'accouchement est une épreuve pour la maman… mais il l’est aussi pour bébé. Le passage du ventre de maman à l’air libre est la première grande aventure de sa vie ! Fini le confort d’un ventre chaud et douillet ! En naissant, bébé perd ses repères et a besoin d’être rassuré. C’est en cela que le premier peau à peau est important pour bébé. Il retrouve les battements du cœur de celle qui l’a porté pendant des mois, il entend la voix familière de maman ou, même, de papa. Et puis la chaleur du corps du parent participe à le rassurer ! Autant de « petits détails » qui lui permettent d’entrer avec plus de douceur dans sa nouvelle vie. Apaiser les parents Il n’y a pas que bébé qui est apaisé par le peau à peau ! Les parents qui le pratiquent ressentent également un apaisement. Dans la pratique de la méthode kangourou, on constate, en effet, une augmentation de l'ocytocine, l’hormone de « l’amour ». C’est une hormone qui a la capacité d’apaiser et de libérer des angoisses. Et c’est prouvé scientifiquement ! Le peau à peau réduit le stress parental ! Ce contact rapproché avec bébé favoriserait même la production d’endorphines, des hormones sécrétées par le cerveau qui sont connues pour créer une sensation d’euphorie. Faciliter l’allaitement Les hormones produites durant le peau à peau offrent donc une sensation de bien-être qui aide à renforcer le lien parent-enfant. L'ocytocine, en particulier, déjà produite par la maman durant toute sa grossesse, participe à la production du lait maternel. La montée de lait est ainsi favorisée après l'accouchement. Le peau à peau permet même, ensuite, d’entretenir la lactation. La pratique de la méthode kangourou dès la naissance favorise, enfin, l’instinct de bébé à trouver le sein de sa maman ! Développer le système immunitaire de l’enfant Le peau à peau a véritablement plus d’un tour dans son sac ! Il a également la capacité reconnue de développer le système immunitaire de bébé ! Et c’est important car c’est ce qui permettra de limiter le taux d’infection auquel il peut se trouver confronté. * Au-delà de la pratique menée juste après la naissance, le peau à peau conserve tous ses bénéfices pendant des mois ! Voilà pourquoi il est important de continuer à le pratiquer au retour de la maternité et jusqu’aux 12 mois de bébé. Une façon de continuer à entretenir des échanges apaisant parent-bébé ! Les premiers mois avec bébé n’en seront que plus doux !






