
Bien couvrir bébé en portage l'hiver
Winter is coming… On a beau vous avoir expliqué dans l'article sur "Comment protéger bébé des virus hivernaux" qu’un mauvais habillage ne rendrait pas votre bout de chou malade, vous avez quand même peur qu’il ait froid.Est-il assez couvert ? Ou au contraire pas trop ? Comment s’assurer que votre bébé a suffisamment chaud dans son porte-bébé l'hiver ? On fait le point ensemble ? Pourquoi porter l’hiver ? Si, d’une manière générale, porter s’avère plutôt pratique au quotidien, c’est encore plus vrai lorsque l’hiver s’amorce. Qui dit hiver dit froid et intempéries… Ha les joies de la poussette et de son habillage pluie à l’installation obscure, qui nous laisse complètement perplexes (et trempés !) : on ne sait jamais dans quel sens ça va ce machin-là ! Et de toute façon, à l’exception de quelques modèles, ladite poussette nécessitant 2 mains pour être manœuvrée, elle exclut l’utilisation d’un parapluie pour s’abriter soi-même. Ça vous parle ?D’une manière plus générale, plus votre bébé est loin de vous, plus il est plus difficile d’évaluer son confort. En le portant, il est à votre contact et il est plus simple de vous assurer qu’il a bien assez chaud régulièrement ainsi que de savoir comment le vêtir.Enfin certaines activités sont tout bonnement incompatibles avec l’utilisation d’une poussette. Vous partez en WE à la montagne ? Les roulettes et la neige ne font pas bon ménage, par exemple. Couvrir bébé dans son système de portage… Pour que son bébé ait bien chaud, on pourrait être tenté de l’emmitoufler dans une combinaison ou des vêtements épais et un gros manteau. C’est d’ailleurs le premier réflexe que la plupart des gens auront pour protéger leur tout-petit du froid.De façon totalement contre-intuitive, c’est justement l’inverse de ce qui est recommandé.Pourquoi ?L'épaisseur des vêtements altère le bon ajustement des porte-bébés, rendant le portage inconfortable et potentiellement moins sécuritaire.Elle peut également comprimer les articulations et entraver la bonne circulation sanguine dans les jambes, ainsi que gêner la respiration.Elle éloigne votre bébé de votre corps, ce qui empêche les mécanismes de thermorégulation de fonctionner et de moduler la chaleur en fonction de ses besoins : il souffrira plus facilement du froid.On rajoute que si vous installez votre porte-bébé par-dessus votre manteau, en plus d’être très mal à l’aise et de vous sentir particulièrement engoncé dans votre veste, les boutons ou décorations de cette dernière pourraient blesser votre bout de chou. Dans un porte-bébé, on conseille donc plutôt d’habiller son bébé normalement, comme en intérieur. Le système de portage compte comme une épaisseur de vêtement (si hors portage votre bébé avait un petit gilet par exemple, l’écharpe de portage remplacera le gilet). Votre tout-petit profite ainsi de la thermorégulation de votre propre corps, cela l’aide à rester bien au chaud contre vous.On conseille en parallèle de couvrir ce qui dépasse du porte-bébé et qui est plus susceptible de se refroidir : un bonnet pour la tête, des jambières et des chaussons pour les jambes. Les mains sont généralement calées entre lui et vous et bébé n’apprécierait guère de ne plus pouvoir les porter à sa bouche à sa guise, alors on les laisse tranquilles ! … et s’envelopper dans une couverture douillette Une fois votre petit bout habillé (normalement donc) et installé dans son porte-bébé, le porteur peut enfiler son manteau habituel et envelopper son bébé dans une couverture de portage toute douce ! La couverture de portage permet de préserver la chaleur naturellement dégagée par votre corps et celui de votre bébé, comme dans une bulle. Aucun risque de souffrir du froid ! Notre couverture possédant également une épaisseur de softshell coupe-vent et déperlant, elle évite que l’air glacial ne s’infiltre dans les vêtements et n’occasionne une sensation désagréable.Véritable indispensable de l’hiver, elle s’adapte à vos besoins du quotidien. Vous rentrez dans un magasin ? Il suffit de la détacher pour découvrir votre bout de chou et éviter qu’il n’ait trop chaud le temps des courses.Universelle, elle se fixe à tous les porte-bébés et peut être utilisée aussi bien par maman que par papa.Il fait VRAIMENT froid ? Si les températures venaient à être très très négatives, autour de -10°C, -15°C voire encore moins, n’hésitez pas à miser sur des vêtements en laine mérinos, ou en mélange laine et soie. Très fins et souples, ils thermorégulent et peuvent compléter agréablement les tenues hivernales de vos bouts de chou. Rassurez-vous la laine mérinos n’a rien à voir avec la laine de notre enfance : elle est douce et ne pique pas ! Que surveiller en portage l’hiver ? Malgré ces petits conseils vous avez quelques craintes ? Pas de panique ! On vous fait une petite check-list des points à surveiller pendant la balade :Voies respiratoires bien dégagées : même s’il fait froid, bien respirer c’est toujours une priorité ! On résiste à la tentation de remonter les manteaux et couvertures derrière la tête des tout-petits, pas plus haut que la nuque et leur visage doit rester visible.Si la balade se prolonge, faire bouger régulièrement les extrémités et éventuellement les masser un peu, pour bien activer la circulation sanguine.Il fait un froid de canard ? Peut-être vaut-il mieux écourter la randonnée ! N’oubliez-pas que si vous vous réchauffez lorsque vous marchez parce que vous êtes actifs, votre bébé lui est passif dans son système de portage et est susceptible de se refroidir si les conditions extérieures sont trop mauvaises. Et en dehors du portage, comment couvrir bébé ? Le saviez-vous ? Il n’y a pas qu’en portage que les vêtements épais sont proscrits, c’est le cas également dans les sièges-autos !Pour être bien protégé en cas de choc, votre bébé a besoin d'être fermement maintenu dans le siège, les sangles doivent donc être relativement serrées sur lui (il ne faut pas pouvoir les pincer). S’il porte un manteau ou une combinaison, les lanières seront ajustées non pas sur son corps mais sur le rembourrage. En cas d’accident celui-ci s’aplatira, les sangles ne pouvant plus jouer leur rôle, bébé risquera alors d’être éjecté.Accessoirement dans une voiture il y a du chauffage, passées les premières minutes après le départ, il y fait généralement bon et la combinaison n’y est plus vraiment nécessaire !Là encore la couverture 3-en-1 est un bon atout : posée au fond du siège, elle dispose d’un orifice prévu pour faire passer l’accroche des sangles, ce qui permettra d’attacher votre tout-petit, puis si nécessaire de la rabattre sur lui le temps que la température ne monte suffisamment dans l’habitacle pour pouvoir le découvrir.Dans une poussette, à vous de choisir entre couverture/chancelière et combinaison ! La combinaison présente l’inconvénient d’entraver considérablement les mouvements de votre enfant, la chancelière est quant à elle un peu moins couvrante. Si vous avez les 2, n’hésitez pas à tester pour voir ce que votre petit bout préfère. Le froid peut arriver, vous êtes prêt à l’affronter !!!

Prendre les transports avec son bébé
Que l’on vive en ville ou à la campagne, il arrive forcément un moment où la question se pose de prendre les transports avec son bébé. Cela peut être un bus ou un métro quotidien, mais également un trajet en train ou en avion plus exceptionnel !Quelles sont les petites astuces à connaître pour que tout se passe au mieux ? On vous dit tout ! Le portage dans les transports en commun Si vous êtes amenés à prendre le bus, le métro ou le tramway, on vous invite à ranger votre poussette et à lui préférer le porte-bébé !Entre les escaliers, les accès parfois un peu délicats et l’espace intérieur réduit, vous apprécierez de voyager léger !Les transports peuvent être assez sollicitant pour les tout-petits qui sont parfois vite impressionnés par les bruits et par la foule. Être contre vous les rassure et leur permet d’observer ce nouvel environnement à leur guise tout en profitant de plein de câlins.Le petit bonus appréciable notamment en période hivernale : si vous êtes réticents à ce que des inconnus touchent votre bébé sans votre autorisation préalable (à fortiori sans s’être lavé les mains ET dans des transports en commun), il est probable que la situation se présente moins avec votre bébé en portage qu’en poussette ! Votre petit coeur étant lové contre vous, il leur faut pénétrer votre espace corporel pour l’atteindre, ce qui constitue un frein pour la plupart des gens. Porter son bébé dans le train Dans le train aussi, on vous encourage vivement à préférer le système de portage à la poussette ! C’est bien plus facile pour circuler dans la gare tout en tirant les valises, ça permet de grimper dans le wagon facilement, et ça évite le casse-tête du rangement de la poussette dans les espaces déjà pleins (sans parler des risques de vol).Parfois si le voyage est un peu long, votre bout de chou peut avoir du mal à trouver son sommeil, le portage peut permettre de vous « promener » un peu entre les différentes voitures et parvenir à l’accompagner dans son endormissement. Dans le porte-bébé, votre bambin peut aussi apprécier de se lover et de se sentir « protégé » de tous les stimuli qui l’entourent et peuvent parfois l’agacer un peu. Porter son bébé à l’aéroport Prendre l’avion avec son bébé, c’est toute une expédition ! Les parents baroudeurs le savent, voyager léger, c’est tellement plus pratique, et pour cela rien de tel qu’on bon porte-bébé qui accompagnera fidèlement toutes vos aventures, même les plus folles !Et la toute première d’entre elles, c’est le passage des portiques de sécurité de l’aéroport… Enlever les chaussures, le manteau, la ceinture, et tout ce qu’on a dans les poches, tout en tenant son bébé qui lui-même ne doit rien porter de sensible… Une véritable épreuve de Kho-Lanta !Munis de votre porte-bébé, l’opération se révèlera moins acrobatique. On vous conseille un système qui se retire facilement, comme un sling ou un préformé, ce qui vous permettra d’installer ou désinstaller votre bout de chou à volonté selon les nécessités du moment. Il vous sera en outre également très utile pour gérer sereinement l’embarquement puis la descente de l’avion qui peuvent être assez sensibles avec des tout-petits mais aussi des plus grands parfois difficiles à canaliser ! Occuper bébé dans les transports Pour que le trajet avec bébé se déroule au mieux, il est vivement conseillé de prévoir de quoi l’occuper !Lorsqu’il s’agit d’un petit trajet du quotidien, un jouet basique est généralement suffisant :HochetLivre à lire si vous arrivez à obtenir une place assise dans le carPetite bouteille sensorielle facile à transporter Un enfant qui a faim étant par nature un enfant ronchon, avoir un paquet de biscuits et une bouteille d’eau dans son sac s’avère généralement une bonne idée lorsqu’on sent que le trajet devient compliqué. Cela permet également de palier les imprévus tels qu’un métro en panne ou autre incident occasionnant des retards importants qui diffèrent d’autant l’heure usuelle du repas !Si on parle d’un voyage plus long, en train ou en avion, vous pouvez miser sur des nouveautés pour distraire votre bout de chou ! Prévoyez un sac exprès, et remplissez-le de plein de petits jeux achetés exprès pour l’occasion, que vous sortirez au fur et à mesure du trajet (pas tous d’un coup !).Que ce soit lors d’un petit ou d’un long déplacement, pour le confort de tous (le vôtre certes mais aussi celui des autres passagers), on vous recommande vivement d’éviter les jeux sonores à pile et autres instruments de musique ! Ajuster la tenue dans les transports Lorsqu’on se déplace on aime être à l’aise dans ses vêtements : c’est pareil pour nos bébés !En ville l’hiver, en extérieur, on se protège du froid et de l’humidité emmitouflés dans nos manteaux. Puis on rentre dans le bus où il y a du monde et où le chauffage est en route, et naturellement on se découvre un peu.Pensez à faire de même avec votre p’tit bout ! Retirez son bonnet et découvrez-le légèrement pour qu’il n’ait pas trop chaud.Vous voilà parés à prendre les transports avec votre bébé, quel sera votre prochain trajet ?

La check-list du porteur urbain
Vous voici partis à l’assaut de la ville, votre bébé lové dans son porte-bébé et votre sac en bandoulière ! Y’a-t-il quelque chose à penser pour que l’aventure se passe bien ? On vous a préparé une petite liste à cocher pour que vous n’ayez plus qu’à profiter ! Un porte-bébé en bon état et bien réglé Parce que le confort c’est la base ! En ville les besoins de portage sont très variés, on peut avoir besoin de porter aussi bien pour des petits temps que pour des trajets plus longs, et ce sont souvent des besoins très récurrents.Les bons réglages du système de portage sont les garants de votre assiduité future : tout pratique qu’il soit, personne n’utilise au long court un outil qui lui occasionne des douleurs ! Astuce Néobulle : Nous conseillons de vérifier une fois par semaine environ que les réglages de votre porte-bébé sont bien toujours ajustés à la croissance de votre bout de chou (et oui, ils grandissent vite !). N’hésitez pas au passage à contrôler le bon état de votre matériel. Des tenues confortables pour porter Dans la catégorie confort, on retrouve aussi les vêtements !Que ce soit pour votre petit cœur ou pour vous, prévoyez une tenue dans laquelle vous êtes à l’aise pour bouger…Des vêtements souples, à la bonne taille, qui ne compriment pas le corps, ne cisaillent pas et ne remontent pas avec les mouvements sont à privilégier lorsque vous prévoyez un trajet en portage avec votre bébé.Entre les escaliers, les trottoirs et les travaux, le terrain n’est pas toujours bien stable pour marcher aussi on vous invite à prévoir des chaussures pratiques : exit les chaussures à talons et autres escarpins, préférez-leurs converses, sneakers et autres baskets !On pensera également aux classiques saisonniers :Un bonnet et des chaussons pour l’hiverUn chapeau et des lunettes de soleil pour l’étéAstuce Néobulle : Attention aux décorations présentes sur certains vêtements pour adultes (perles, fermeture éclair…), qui peuvent parfois irriter ou blesser votre bambin. Les essentiels de bébé ! Que font-ils en 3ème place de cette liste et non en 1ère ? Un instant d’égarement sans doute…On parle bien sûr du doudou et de la tétine !A n’oublier SOUS AUCUN PRETEXTE !Genre JAMAIS !Genre si ça vous arrive, faites demi-tour, même si vous risquez d’être très en retard au travail ensuite.On vous invite à les prendre en 1ers, à vérifier en cours de préparatifs que vous les avez bien mis, puis avant de passer la porte, puis quand même au cas où avant de sortir de l’immeuble (on ne sait jamais !). Astuce Néobulle : Prévoir un jeu de secours dans le sac à langer. De quoi parer à toutes les urgences, même hors portage La loi de Murphy parentale est ainsi faite : quelque soit la durée d’un déplacement, la couche débordera toujours PILE le jour où vous n’aurez pas prévu de quoi changer votre bébé.Conjurez le mauvais sort en ayant toujours sur vous une couche, du coton, un flacon de p’tite lotion et un body propre dans votre sac à langer. Oui, même pour une petite sortie !Astuce Néobulle : Pensez à vérifier régulièrement que le body de secours est bien toujours à la bonne taille ! A manger et à boire ! Tant que votre bout de chou est allaité, c’est assez simple de gérer les sorties puisque les seins sont toujours prêts à fournir repas et boissons à volonté.Lorsque ce n’est pas ou plus le cas, on vous conseille de toujours prévoir un biberon d’avance dans le sac (ou pour les plus grands, un paquet de biscuits et une petite bouteille d’eau), afin de palier le petit creux qui ne manquera pas de survenir durant le trajet en métro. Astuce Néobulle : La nourriture d’avance est toujours utile à prévoir en cas d’incident durant les trajets (rame immobilisée par exemple), même plus tard avec des enfants plus grands ! On peut utiliser ce petit « sac d’urgence » également en voiture et le compléter par une couverture de survie l’hiver. Un lange accroché au porte-bébé Toutes les modes ne sont pas bonnes à suivre, le parfum « lait caillé » en vogue chez les nouveaux parents par exemple en fait partie. Surtout une fois le chemin du travail repris !Le rush matinal, une tétée ou un bib dans la précipitation, et voilà que votre bout de chou profite des 10mn de marche entre votre maison et la crèche pour vous gratifier d’un magnifique renvoi d’une partie de son lait… sur votre chemise propre ? Et non ! Car prévoyant, vous aviez attaché un lange à votre porte-bébé, et sentant le rot "humide" venir vous aviez eu le temps de protéger vos vêtements !Bravo les super parents !Astuce Néobulle : On n’a jamais trop de langes… N’hésitez pas à en semer un peu partout chez vous, dans le sac à langer, la voiture, sur le porte-bébé, etc… Une activité adaptée lorsqu’on porte son bébé Que ce soit à la ville ou à la campagne, il reste essentiel d’adapter son quotidien et ses loisirs à la présence de son enfant, notamment lorsqu’on le porte.Si vous pouvez tout à fait reprendre un peu de marche à pied ou autres activités physiques un peu douces avec votre enfant en porte-bébé, des pratiques plus soutenues telles que le jogging seront évidemment à éviter ! Astuce Néobulle : On trouve désormais des cours de danse en portage ! N’hésitez pas à chercher autour de vous si cette activité est proposée ? Se déplacer en ville : quand le porte-bébé est proscrit ! Parfois on voit des porte-bébés en ville à des endroits où on ne devrait pas les trouver !Petit rappel à la fois de sécurité ET de législation : sur la route, lors d’un transport à bord d’un véhicule, le code de la route stipule que les bébés doivent être installés dans des sièges homologués, ce que les porte-bébés ne sont pas.Sont soumis au code de la route : les voitures, mais aussi les vélos !Il est donc non seulement très déconseillé, mais également interdit par la loi, d’utiliser un système de portage pour transporter un enfant dans une voiture, ou sur un vélo (ou une trottinette électrique d’ailleurs…).Astuce Néobulle : Si vous devez vous déplacer à vélo avec votre enfant, nous vous invitons à opter pour un siège adapté et à vous faire conseiller à ce sujet en magasin spécialisé… Ou à marcher à pieds à côté de votre vélo le temps de poser bébé chez son mode de garde !

10 Bonnes raisons de porter en ville
Vous attendez un enfant (ou vous venez d’en avoir un), vous habitez en ville, et vous ne savez pas encore trop comment organiser vos déplacements avec votre bout de chou ? Entre la Team-Poussette et la Team-Portage votre cœur balance ? Même si fort heureusement rien ne vous empêche d’avoir les 2, on vous donne 10 bonnes raisons d’opter pour un porte-bébé pour arpenter les rues de votre cité ! Raison de porter n°1 – Les trottoirs trop étroits Certains trottoirs sont plus étroits que d’autres, parfois même en tant que piéton le passage est un peu petit alors s’il faut y ajouter une poussette, cela peut parfois devenir un peu acrobatique !Votre tout-petit lové contre vous, vous êtes libre comme l’air et vous pouvez vous faufiler partout sans risquer de finir sur la route. Raison de porter n°2 – Les escaliers et rues pavées Les revêtements des sols ne sont pas toujours très lisses, surtout lorsqu’on se rapproche des centres-villes : ruelles pavées, escaliers, tout cela n’est pas spécialement adapté aux poussettes !Porté sur vous, votre bébé ne risque pas d’être secoué par les aspérités du terrain et vous pourrez franchir les marches sans vous poser de questions.Bonus : si vous partez en visite dans une ville inconnue, le portage vous assure de pouvoir aller partout sans difficulté ! Raison de porter n°3 – Les transports en commun Prendre le métro avec une poussette, c’est déjà réussir à ATTEINDRE le quai du métro… Espérer qu’il y ait un ascenseur, espérer qu’il fonctionne, passer le portique (toujours trop étroit), le tout au milieu d’autres usagers souvent un peu trop nombreux et rarement ravis de constater la présence de l’engin qui va mobiliser de précieux cm2 de place dans la rame.En bus ou en tramway il n’y a pas de portique, mais les allées sont étroites aussi et la place à l’intérieur limitée.En porte-bébé pas de contrainte !Bonus : les transports peuvent parfois un peu impressionner les tout-petits avec le brouhaha de la foule et les bips et annonces dans les véhicules. Être contre vous leur permet de se sécuriser et de ne pas être trop perturbé par l’environnement. Raison de porter n°4 – Les balades dans les espaces verts Quel bonheur d’aller découvrir les arbres et les fleurs du parc à proximité de chez vous avec votre bébé contre vous !À votre hauteur il peut tout observer, vous pouvez alors partager plein de choses avec lui, lui montrer une feuille ou vous émerveiller ensemble d’un oiseau qui s’envole... Raison de porter n°5 – Les trajets à l’école Si vous avez un aîné à amener à l’école, il est probable que la poussette y soit interdite ! Les couloirs menant aux classes étant déjà bien encombrés, nombre de structures ont fait le choix de demander aux parents de laisser les poussettes à l’entrée.Utiliser un système de portage vous permettra d’accompagner sereinement votre plus grand dans sa classe sans devoir tenir le petit dans l’encombrant (et lourd) cosy, voire juste vos bras (ce qui, clairement, n’est pas des plus pratiques quand votre bambin a besoin d’aide pour mettre ses chaussons ou retirer son manteau). Raison de porter n°6 – Les escapades au parc de jeux Qui dit aînés, dit aussi sorties au square pour se défouler et s’amuser ! À vous les tobogans, balançoires et autres tourniquets et parties de cache-cache et Mölkky !Quoi de plus chouette que de faire participer votre plus jeune à ces bons moments en l’ayant contre vous en porte-bébé ? C’est également le meilleur moyen d’être disponible pour tous vos enfants en même temps, sécuriser la montée à l’échelle de l’un tout profitant de la sieste apaisée sur votre buste de l’autre. Raison de porter n°7 – Les travaux Une zone en travaux, un trottoir au bitume fraîchement cassé et encore sous forme de cailloux, et pas toujours la possibilité de contourner facilement la zone ?Hop bébé calé en portage et c’est parti ! Pas d’autres précautions à prendre que d’éviter les chaussures à talons et de faire attention à où on met les pieds. Raison de porter n°8 – Faire le marché Slalomer au marché avec une poussette est un exercice d’adresse et d’agilité ! Du monde, des stands parfois serrés, pas toujours beaucoup d’espace pour circuler… et du bruit qui peut impressionner un peu votre bébé. Dans une poussette canne il ne verra en outre que les genoux des gens, ce qui n’est pas des plus agréable pour lui.Juché dans son système de portage votre enfant pourra aussi vous aider à choisir les fruits et les légumes, et faire son plus beau sourire au maraîcher pour lui soutirer une fraise à déguster directement sur place (heureusement nos porte-bébés passent tous en machine et sont faciles à nettoyer !).Astuce : transportez facilement vos courses en utilisant un caddie ! Raison de porter n°9 – Les intempéries Se balader en zone urbaine en poussette c’est une chose. Se balader en zone urbaine SOUS LA PLUIE en poussette, on passe à un autre niveau, car cela induit 2 choses :l’utilisation de l’habillage pluie, qui une fois rentré chez vous dégouline partout dans votre entréeselon le modèle de poussette, devoir choisir entre la pousser (avec vos 2 mains) OU s’abriter soi-même sous un parapluieEn portage c’est plus facile : tout le monde sous le même parapluie ! Raison de porter n°10 – Le plaisir de profiter de bébé ! Dernière raison et sans doute la meilleure : porter votre bébé en ville c’est surtout profiter de son contact, le bercer avec vos mouvements et partager plein de doux moments et de belles aventures au quotidien avec lui ! Et vous, c’est quoi votre bonne raison de porter bébé en ville ?

Quel système de portage utiliser pour un court trajet ?
On parle souvent du choix des systèmes de portage pour des randonnées et des balades… Mais un peu moins lorsqu’il s’agit de porter sur des plus courtes distances. Et pourtant, c’est aussi un vrai sujet ! Et oui… Courses rapides, trajets école/nounou/crèche et autres petits déplacements ponctuent le quotidien des parents. Alors pour quel porte-bébé opter ? Peut-on utiliser le même que pour des randonnées ? On vous dit tout ! Quel est mon besoin principal pour porter mon bébé ? Pour bien choisir un système de portage, c’est un peu comme quand on veut acheter une paire de chaussures ou des vêtements : il faut être au clair avec son besoin principal, histoire d’éviter de se retrouver en esparpins sur la plage. Le plus souvent, lorsqu’on souhaite porter sur des courtes distances, on va retrouver les critères suivants : Praticité : il faut que le porte-bébé soit facile et pratique à mettre en place en toutes circonstances (y compris en pleine rue)Installations / désinstallations rapides: il faut que le porte-bébé puisse être enfilé (ou retiré) très vite, potentiellement dans une salle d’attente ou sur un parkingPas de pans qui traînent au sol : il faut que le porte-bébé puisse être installé en pleine rue, en sortant de la voiture par exempleCes critères ne sont évidemment pas exhaustifs mais permettent déjà de cerner un petit peu la situation globale.Dans le quotidien, contrairement à pendant une balade où une fois bien réglé et ajusté on ne touche plus à rien pour un long moment, il faut imaginer que le porte-bébé va être très souvent mis et enlevé, parfois un peu « à la volée » (pour ne pas dire « complètement n’importe comment » !), il faut donc vraiment opter pour un modèle qui ne soit pas « prise de tête » et qui vous facilite vraiment le quotidien ! S’il est trop long à installer (comprendre : potentiellement plus que le temps de trajet en question), cela peut vite s’avérer frustrant et décourageant.On retrouvera ensuite plusieurs configurations qui dépendent un peu de vos modes de vie et de si vous avez d’autres systèmes de portage pour compléter ou non. Je veux juste un modèle pour porter mon bébé durant mes petits trajets urbains Si vous souhaitez uniquement un modèle pour des petits déplacements : le sling est votre ami !C’est LE porte-bébé nomade par excellence. Mis en place en bandoulière sur une épaule, il se préinstalle et peut être gardé sur soi par exemple en voiture pendant que bébé est dans son siège auto, prêt pour l’installation dès l’arrivée à destination. Il se règle et se dérègle facilement d’une main : les tensions sont autobloquées dans les anneaux et ne nécessitent pas de nœud à fin.Comme il est assez compact, il se glisse aisément dans le sac à langer pour rester par exemple à la crèche dans le sac de bébé pendant la journée.En proposant un portage décentré, le sling permet de montrer plein de choses à son bout de chou et de partager plein de beaux moments avec lui. Le portage décentré est également appréciable lorsqu’on a un plus grand à gérer car il libère un peu plus d’espace devant ! Au niveau « expert » : le sling est le seul système de portage qui ne nécessite pas de poser son bébé pour pouvoir être installé ! Bonus ? Les plus habiles d’entre vous parviendrons également à allaiter leur tout-petit en marchant (pas trop vite !).Inconvénient : le portage sur une seule épaule ne destine pas le sling à des portages longue durée, pour lesquels il s’avèrera vite inconfortable ! Je veux aussi pouvoir aller en randonnée avec ! Envie de combiner les besoins inhérents aussi bien à des petits et à des grands déplacements ? Pourquoi ne pas opter pour un porte-bébé préformé ? La gamme Néo est la solution idéale pour les parents qui aiment alterner entre métros et terrasses de café, et grands espaces. Installés en 2 clips, les préformés se fondent dans le quotidien et apportent à la fois confort et liberté.A l’instar du sling, le préformé peut rester simplement clipsé à la taille en attendant d’accueillir votre enfant, et même ainsi, il ne traîne pas au sol et ne se salit pas, ce qui est d’autant plus appréciable lorsqu’il pleut !Au niveau « expert » bébé fera les courses avec vous dans votre dos et vous montrera tous les légumes et fruits qu’il voudra mettre dans le panier !Inconvénient : lorsqu’on change de porteur, il y a quelques réglages (rapides !) à refaire. Mon bambin marche Lorsque l’enfant marche, les besoins évoluent et souvent le portage devient de moins en moins nécessaire… Ce d’autant plus que les bambins adorent explorer l’environnement par eux-mêmes et jouer aux super-héros dès lors qu’ils trouvent un joli bâton !Néanmoins, même les super-héros les plus endurants ont le droit d’être fatigués et d’avoir besoin d’un super-parent pour les secourir et les porter lors d’un trajet un peu plus pénible que d’ordinaire.C’est évidemment lorsque vous n’avez plus de porte-bébé de back-up avec vous que cette situation se profile.Nous recommandons à tous les parents d’avoir à disposition dans leur sac un support au portage à bras de type Hop-là ! Ultra-compact, le hop-là tient dans un sac à mains, il a pour vocation à soutenir les fesses de votre bout de chou et à soulager vos bras. Il ne se substitue pas à un vrai porte-bébé mais peut vous sauver la mise dans bon nombre de situations du quotidien et s’avère un allié de choix dans plein de petits trajets avec un « petit-grand » ! Et les autres systèmes de portage ? Quid des autres systèmes de portage ? Nous n’avons effectivement pas mentionné écharpes et mei-tai dans cet article. En effet, ces derniers étant un peu plus longs à installer (pour l’écharpe notamment) et/ou présentant des longueurs de matière importantes, ils se prêtent un peu moins à des utilisations express’ qu’un sling ou un préformé, et à choisir ce n’est pas ceux que nous conseillerions pour ces usages spécifiques. Pour autant, si vous les avez déjà en votre possession, n’hésitez pas à faire des tests dans plein de configurations différentes pour voir par vous-même et dans votre quotidien s’ils vous conviennent, avant d’envisager d’autres achats !Comme toujours dans le portage, il n’y a pas une seule vérité et c’est à chacun de faire en fonction de son ressenti.Vous voilà armés pour vos petits déplacements avec bébés ! Alors, pour quel porte-bébé allez-vous opter ?

Néobulle, une entreprise engagée pour la nature : le portage (article 2/3)
Après avoir évoqué dans notre précédent article les gestes écoresponsables de notre entreprise concernant les produits de soin, on continue ici avec nos solutions de portage ! 1 – Encore du local ! Comme pour le soin, il est essentiel pour nous que nos gammes de portage soient confectionnées en local ! Le tisserand à qui nous confions le tissage des textiles que nous utilisons pour fabriquer nos porte-bébés se situe à 20km de Néobulle. Ces textiles sont spécifiquement et exclusivement réalisés pour nous. Tout est ensuite directement coupé puis cousu dans l’atelier intégré à notre bâtiment. Les teinturiers qui ont en charge de teindre les fils et textiles sont également proches de l’entreprise. L’absence de multiples intermédiaires très éloignés géographiquement nous permet de limiter considérablement l’empreinte carbone de nos systèmes de portage. 2 – Des produits respectueux Il est essentiel pour nous que les systèmes de portage destinés à accueillir vos bouts de chou préservent leur santé et l’environnement. Tous nos tissus sont ainsi réalisés à partir de fils de coton bio certifiés, garantie d’une culture du coton la plus respectueuse que possible de l’environnement. Les teintures employées sont également exemptes de produits toxiques, ce qui n’est pas un détail quand on sait que les bébés adorent mâchouiller leurs porte-bébés ! Notre fournisseur de fils teints est très engagé dans l’écologie et utilise des procédés uniques de teinture peu gourmands en eau, couplés à une station de retraitement de l’eau. D’une manière générale les entreprises avec lesquelles nous travaillons sont très contrôlées ! 3 – Rien ne se perd !!!! La confection de nos porte-bébés est pensée pour optimiser au maximum le textile. Nous cherchons notamment à limiter les chutes inutilisées en réfléchissant tous les détails de la découpe. Nous avons également depuis peu une machine de coupe qui nous permet d’aller encore plus loin dans cette démarche. Les chutes de tissu malgré tout inévitables ne sont pas jetées mais revalorisées : Les salariés de l’entreprise peuvent en récupérer pour leurs projets personnels Nous en donnons aussi par exemple à des écoles de design Les restes sont recyclés en isolants pour le bâtiment 4 – Le choix des emballages Les emballages de nos porte-bébés remplissent eux aussi des critères rigoureux : Les boîtes sont en carton issu de forêts durables PEFC Les encres utilisées sont végétales Nous n’ajoutons pas de sachets en plastique pour conditionner les systèmes de portage Les notices qui accompagnent nos systèmes de portage sont pensées pour vous apporter toutes les informations nécessaires au bons usages et entretien de votre matériel, sans superflu. Outre la composante écologique de ce choix, c’est aussi une façon de vous aider lors de vos premières installations et ainsi éviter de vous « noyer » dans trop de détails techniques pas forcément utiles ! Besoins d’infos supplémentaires ? N’hésitez pas à aller consulter notre site et notre chaîne youtube. A noter que la présence physique d’une notice fait partie des obligations légales et qu’il n’est de fait pas possible de simplement la dématérialiser ! En plus donc de contribuer à faire vivre plusieurs petites entreprises françaises (notre quarantaine de salariés, mais également par ricochet tous nos sous-traitants qui sont également des petites structures), choisir Néobulle c’est aussi la garantie de proposer à votre bébé des textiles sains pour lui et pour la planète. RDV dans le prochain article pour regarder d’un peu plus près toutes les actions mises en place en parallèle par les « Néobulliens » !

Les essentiels de la randonnée en famille
Vive les vacances ! Ha l’air frais de la campagne, les petits sentiers bordés de fleurs et de fraises des bois, les beaux panoramas… Vous avez hâte de partager votre passion pour la randonnée avec bébé, et on vous comprend ! Mais prévoir les affaires de bébé c’est parfois un vrai casse-tête, et si on vous aidait à ne rien oublier avant le départ ? 1 – Un porte-bébé Avez-vous déjà imaginé prendre une poussette sur un sentier escarpé ? Oubliez tout de suite cette idée saugrenue ! Certains ont testé (sisi on en a déjà vu chez Néobulle !), et franchement, c’est non. Le porte-bébé est de très loin l’accessoire INDISPENSABLE de tous les parents randonneurs, que leur enfant marche ou non d’ailleurs (parce que même bons marcheurs, les bambins se fatiguent vite, et les porter à bras en plus des sacs ce n’est pas des plus pratique). Envie d’en savoir plus sur comment choisir votre porte-bébé idéal ? C’est par ici ! Sinon sachez que notre nouvelle version du Néo+ a été spécialement pensée pour accompagner les aventures familiales, avec plein de petits détails (reposes-pouces, boucles pour fixer des accessoires…) qui font la différence ! 2 – De quoi se protéger Difficile (impossible) de s’assurer qu’on restera bien à l’ombre sur tout le trajet… Impératif donc de prévoir de quoi protéger bébé du soleil : Un chapeau, idéalement qui couvre la nuque Des lunettes de soleil adaptées à sa taille et avec une bonne protection (catégorie 3 mini) Des vêtements confortables et légers mais couvrants (qui ont le mérite de protéger aussi des insectes !) Selon l’âge de votre enfant, pensez également à la crème solaire (indice 50 et à appliquer toutes les 2 à 3h). Et parce que parfois le temps se gâte et/ou se rafraîchit sans prévenir, un petit gilet et un vêtement imperméable peuvent compléter l’équipement ! 3 – De quoi s’hydrater C’est une évidence mais on le rappelle quand même ! Toujours avoir de l’eau en abondance sur soi, autant pour les adultes que pour les enfants. Prévoyez ultra large, et rajoutez encore 1 ou 2L de sécurité à ces estimations généreuses, vous aurez ainsi la bonne quantité ! Les enfants ne se rendent pas toujours compte qu’ils ont soif aussi n’hésitez pas à faire des pauses fréquentes pour leur proposer quelques gorgées d’eau. A noter qu’un enfant fatigué et grognon est peut-être simplement légèrement déshydraté ! Si votre bébé est encore allaité exclusivement, pas besoin d’eau (qui est moins hydratante que votre lait !), mais des petites tétées. 4 – De quoi soigner les petits bobos Même s’il n’est pas nécessaire d’emporter la maison complète, il est toujours conseillé d’avoir le minimum syndical sur soi pour soigner les petits tracas les plus courants : Un désinfectant et quelques compresses, pour nettoyer les égratignures Nos 2 sticks d’urgence badaboum et p’tits bobos, pour aider à résorber les petites blessures et contusions Des pansements Un antalgique adapté aux âges de tous les membres de la famille et facile à administrer (99% de chance que ce soit inutile mais pour le coup ça prend peu de place et on est content de l’avoir quand on en a besoin !) Un tire-tique Notre stick adoupik pour soulager les piqûres d’insectes et la chute dans les orties ! 5 – A manger ! La rando l’estomac vide, de base, c’est déjà une mauvaise idée… Avec des petits, cela devient plus que critique ! Si d’habitude choupinou picore péniblement le contenu de son assiette, soyez assurés que le grand air va lui ouvrir l’appétit et qu’il y a fort à parier qu’il se transforme en estomac sans fond. Ce n’est donc pas le moment ni d’oublier les goûters, ni de lésiner sur les quantités ! Misez sur tout ce qui apporte de l’énergie mais reste digeste : fruits secs, barre de céréales… Un petit coup de mou ? Un « convoi » qui peine à avancer pour cause de fatigue ? C’est le bon moment de rebooster les troupes avec un petit en-cas ! 6 – De quoi changer bébé Quelques couches, quelques lingettes et un body de rechange… Le B.A.BA de toutes les sorties avec bébé ! On vous conseille d’y ajouter aussi un petit sac qui fera office de poubelle, et que vous pourrez jeter à votre retour. Rien de pire que de se retrouver avec la couche sale qui déborde dans les mains et rien pour la stocker le temps de finir la balade ! 6 – Et comment on transporte tout ça ? Une fois l’enfant sanglé dans son porte-bébé, comment est-ce qu’on transporte tout ça facilement et sans se transformer en Sherpa ? Grâce à nos 2 nouveaux accessoires pardi ! Du change aux vêtements en passant par la pharmacie, le lange en vadrouille permettra de stocker tout ce qui concerne bébé. Fixé directement sur le porte-bébé néo+ V2 sa charge se répartit parfaitement et il encombre très peu le porteur, tout en évitant d’accumuler XXX sacs et sangles qui s’entremêlent. Côté repas le bib en vadrouille comme son nom l’indique peut permettre de garder l’eau du bib au chaud… mais pas que ! Il peut tout aussi bien servir à conserver une petite bouteille d’eau ou le repas de bébé à la bonne température. Lui aussi se fixe directement sur le néo+ V2, ou à défaut sur le passant de votre short… Vous voilà prêts à partir à l’aventure avec bébé !

Accompagner un bébé qui souffre de reflux (2/2)
Article 2 : Porter un bébé souffrant de reflux Après avoir évoqué le quotidien avec un enfant souffrant de RGO dans le premier article de cette thématique, l’article qui suit va lui être consacré aux spécificités de portage que le reflux induit. Entre théorie et pratique… Dans les conseils fréquents concernant l’accompagnement de bébé ayant un reflux, on retrouve le fait de garder bébé vertical au maximum, et le portage. Sur le papier, le portage c’est idéal car cela apaise les bébés stressés, favorise l’endormissement, propose une posture verticale, libère les bras du parents, et j’en passe… Ca, c’est la théorie. En pratique c’est une autre paire de manches ! Les bébés souffrant de reflux ont un besoin VISCERAL d’être porté, mais bien souvent NE LE SUPPORTENT PAS ! Ils veulent qu’on les prenne, qu’on les cocoone et les rassure… Mais ne tolèrent pas le contact. En outre étant extrêmement raides, les installations sont plus complexes (pour ne pas dire parfois carrément acrobatiques). Vous l’aurez compris avec ces quelques lignes, la pratique dans la vraie vie n’a rien d’évident ! Le cercle vicieux de l’hyperextension La première difficulté en portage, c’est l’hyperextension, et les difficultés de manipulations qu’elle induit ! Attention, le RGO n’a pas le monopole de l’hyperextension, il y a plein d’autres facteurs pouvant favoriser cette dernière (comme un torticolis par exemple). On en parle ici dans le contexte de l’accompagnement d’un bébé souffrant de reflux car c’est une des difficultés majeures qu’on peut rencontrer, mais les conseils qui suivent s’appliquent quelle que soit la cause initiale. Les bébés qui souffrent de reflux sont décrits généralement comme des bébés très toniques… C’est ce qui ressort souvent de l’hyperextension, et cela n’a rien à voir avec une éventuelle « avance » sur le plan du développement psychomoteur. La posture normale (au sens de la norme) d’un tout petit est une posture souple et regroupée, avec le dos plutôt arrondi (cf position physiologique). Lorsque l’hyperextension s’invite, le bébé devient très raide, il adopte des postures droites (voire carrément « cambrées »), dans le jargon du portage on entend parfois parler de « bébé piquet ». On pourrait penser que ces postures « jetées en arrière » sont antalgiques pour le tout-petit, qu’elles soulagent un peu sa douleur en libérant l’estomac et limitant l’occurrence des remontées, mais en fait non, c’est même tout le contraire ! Ce sont en réalité des positions « réflexes » face à la douleur. Pour faire simple, on confond cause et conséquence, le bébé ne se cambre pas pour avoir moins mal, il se cambre PARCE QU’il a mal. Comme on imagine (à tort donc) qu’en restant tout droit notre bout de chou aura moins mal, on va naturellement le laisser s’installer ainsi, voire l’y encourager. Cela induit 2 choses : 1/ une digestion plus compliquée (si vous restiez vous-même en position cambrée après un repas, vous verriez que ce n’est pas des plus aidants pour le digérer correctement), elle-même vectrice si vous avez bien suivi…. de remontées acides 2/ une habitude posturale doublée d’une contracture trop prononcée des muscles dorsaux, qui vont empêcher votre tout-petit de revenir vers des postures plus regroupées (un peu comme s’il avait un élastique trop tendu tiré dans le dos) Et voilà le cercle vicieux. La posture en hyperextension est également problématique sur d’autres plans qu’on ne détaillera pas ici. Mais me direz-vous, c’est bien gentil, mais que fait-on pour pallier cela et corriger le tir ? Accompagner l’enroulement au quotidien La première chose à faire, c’est de traiter la douleur (cf 1er article de la série consacré au reflux). Ensuite au quotidien, on va veiller à « travailler » en douceur les « bonnes » postures, tout en limitant au maximum tous les gestes susceptibles de réinduire des hyperextensions (et vous allez voir qu’ils sont nombreux !). Ainsi on évitera tout ce qui stimulera votre bout de chou « vers l’arrière », comme par exemple : Un mobile au-dessus de sa tête (préférez une installation plutôt vers ses pieds) Des jouets derrière sa tête A bras on veillera aussi à éviter tout ce qui pourrait l’encourager à se cambrer, notamment en utilisant l’avant-bras plutôt que la main pour le porter. En effet, lorsqu’on utilise la main, ou si on place l’avant-bras trop derrière les fesses, cela créée une pression qui ramène son bassin vers l’avant au lieu de l’inviter à s’asseoir. En somme c’est comme si on lui disait « jette toi en arrière », et à cet âge, eh bien ils écoutent ce qu’on dit ! C’est à voir comme une véritable rééducation, autant de la gestuelle du parent que de la posture globale de l’enfant. NB : en position physiologique l’estomac n’est pas sensé être comprimé, si bébé n’est pas « tassé » ou « affaissé », son estomac reste libre. Et le portage dans tout ça ? Le portage on y vient. On a vu que ce dernier pouvait être plus délicat à mettre en place du fait des postures raides du tout-petit. L’autre aspect complexe, c’est la tolérance du bébé, surtout lorsque la douleur n’est pas encore soulagée. Comme pour tout ce qui va toucher aux besoins un peu spécifiques, il est difficile de tirer des généralités et il va vous falloir faire plusieurs tests pour trouver l’outil qui conviendra le mieux à votre bout de chou, et vous armer d’un peu de patience ! Les conseils qui suivent sont ceux qui semblent être adéquats pour une majorité de bébés souffrant de reflux, mais ne constituent malheureusement pas une baguette magique marchant à tous les coups ! Choisir et ajuster son système Le choix du système doit tenir compte à la fois des besoins du tout-petit, mais également de l’aisance du porteur. Côté bébé on va généralement préférer des systèmes très stables et pas trop contenants. Côté porteur on préfèrera des systèmes qui peuvent s’installer « facilement » même avec un bébé qui hurle et se raidit (on se comprend…) Vous l’aurez compris, l’écharpe de portage (a fortiori extensible) n’est clairement pas le choix numéro 1 ! Elle peut être mal supportée par votre bout de chou (trop serrée, enveloppante), et nécessite une excellente maîtrise pour être installée lorsqu’il est en crise. Les systèmes type mei-tai ou préformés sont souvent mieux tolérés car moins contenants, et ils présentent l’immense avantage d’avoir de la matière entre les jambes. Comprendre : lorsque choupinou est raide comme un piquet, hurle et gesticule, il reste possible de l’installer dans le porte-bébé même pour un néophyte… L’installation sera complètement ratée selon les critères usuels de la physiologie, mais il sera en sécurité !!!! Et cela vous permettra de rapidement marcher et le bercer pour l’apaiser, sans trop solliciter votre corps. Une fois plus serein, il sera toujours temps de reprendre les réglages… Le sling est également un système qui dans certains cas fonctionne bien, notamment car il permet une installation très progressive mieux supportée par les enfants. Si vous utilisez un sling ou une écharpe, une bonne astuce consiste à démarrer les ajustements par la lisière du bas, et non celle du haut comme on le fait usuellement. Vous l’aurez sans doute remarqué mais souvent ce sont les réglages et passages de matière vers la nuque et les épaules qui déclenchent les pleurs : en commençant à serrer vers le bassin, cela permettra à votre petit bout de s’habituer en douceur. N’hésitez pas à faire des pauses après chaque réglage, et à marcher et bercer votre bébé pour bien qu’il se détende avant de procéder au réglage suivant. Accepter l’imperfection Dernier point mais pas le moindre : malgré tout ce qui a été vu au travers de ces 2 articles, il est plus que probable que votre tout petit n’adopte pas des positions très « conventionnelles » dans son système de portage. Oubliez la boule de bébé, avec les genoux bien remonté et le dos bien arrondi… Parfois quand on arrive à obtenir un angle de 90° (ou quasi) entre le fémur et le dos, on est hyper contents et on sait qu’on arrivera difficilement à mieux ! Et à vrai dire, ce n’est pas grave ! Ce qui compte c’est avant tout que les besoins de votre bout de chou soient respectés, et que vous-même puissiez souffler un peu aussi et/ou vaquer à quelques occupations les mains libres… Les voies respiratoires sont dégagées ? Il n’est pas à risque de chuter ? Alors tout est parfait. Il ne vous reste plus qu’à mettre tout ceci en application ! N’hésitez pas également à vous faire accompagner par une monitrice de portage pour vous faire aider et ajuster les portages à votre situation spécifique. Courage et gardez le cap ! Vous êtes les meilleurs parents que possible pour votre bébé, le reflux n’est heureusement pas éternel et entre vos bons soins et sa croissance, les choses finiront par être plus faciles.

Accompagner un bébé qui souffre de reflux (1/2)
Le reflux gastro-oesophagien, au quotidien Tous les parents ayant été confrontés à cette situation le savent : entre les pleurs, le sentiment d’impuissance, la fatigue engendrée, et sans parler des lessives à gogo, être parent d’un bébé qui souffre de reflux, c’est l’enfer ! Et malheureusement cette situation n’est pas rare puisqu’on estime que cette pathologie concerne 1 bébé sur 5, soit 20% des tout-petits. Signaux évocateurs, coups de pouce pour soulager, astuces portage… On en parle au travers de 2 articles consacrés spécifiquement à cette thématique ! Régurgitations physiologique ou Reflux gastro-œsophagien (RGO) ? En premier lieu quelques petites explications. Le reflux gastro-œsophagien (RGO pour les intimes), c’est ce qu’on appelle plus communément les remontées acides. Mesdames pendant la grossesse, il est probable que vous ayez expérimenté ça, et si oui en général vous vous en souvenez. Parce que ça fait (très) mal. Cela correspond à une remontée d’une partie du contenu de l’estomac dans l’œsophage, lequel n’est absolument pas conçu pour supporter l’acidité du liquide en question. Cela génère donc des sensations très désagréables de brûlure, et peut à plus ou moins long terme occasionner une inflammation de la muqueuse de l’œsophage (œsophagite). Il n’est pas rare de s’interroger sur la différence entre un reflux (pathologique) et des régurgitations (physiologique), d’autant qu’il est assez commun de s’entendre dire qu’un bébé qui régurgite c’est normal, et qu’un bébé qui pleure, c’est normal aussi. Certes ça peut être vrai dans une certaine mesure, mais les parents même d’un premier enfant se rendent bien compte quand l’intensité des pleurs de leur bébé n’est pas normale. Les régurgitations physiologiques sont reliées à une immaturité du petit clapet à la base de l’œsophage. Après une tétée ou un biberon, le trop-plein ressort (souvent au même moment qu’on propose le rot), sans que choupinou ne paraisse le moins du monde gêné d’avoir retapissé tout votre t-shirt. D’ailleurs il vous fait un grand sourire ! Les régurgitations physiologiques ont donc lieu juste après le repas, le lait qui sort n’est pas du tout caillé – prédigéré. Et surtout votre bout de chou n’est pas ni gêné ni douloureux par ces dernières. Dans le cas d’un RGO, les remontées sont moins liées aux repas, elles existent même lorsque l’estomac est « vide », et elles sont extrêmement acides. Dans les signaux qui peuvent y faire penser, on peut retrouver (de façon non exhaustive) : Un bébé qui pleure énormément, est très agité, nerveux… Il supporte souvent difficilement la station allongée et vous devez le garder vertical un maximum de temps Il lui arrive de régurgiter à distance des tétées du lait caillé Il semble « mâchonner » souvent Vous l’entendez régulièrement ravaler quelque chose (et il pleure ou se raidit souvent dans la foulée) Il est extrêmement raide, très tendu, hypertonique et semble ne jamais se détendre Il peut avoir une haleine « acide » Il peut avoir une voix qui devient rauque, éraillée Évidemment tous les bébés ne vont pas montrer les mêmes signaux, certains n’en présenteront que quelques-uns, d’autres la quasi-totalité… A noter que le reflux n’est pas forcément associé à des renvois de lait, on parle alors de reflux « interne ». A partir du moment où vous avez des doutes sur ce sujet, il est vivement conseillé d’en faire part au médecin ou pédiatre en charge du suivi médical de votre bébé, pour qu’il puisse établir (ou non si ce n’est pas ça) un diagnostic, et le cas échéant, proposer des traitements pour soulager votre tout-petit. Soulager la douleur La première difficulté qui se pose en général, c’est la douleur à laquelle votre bout de chou est confronté. Il pleure, beaucoup, de véritables hurlements qui vous laissent totalement impuissants à le soulager. On abordera plus spécifiquement après l’alimentation, qui joue un rôle dans cette histoire, mais modifier ou améliorer cette dernière est bien souvent insuffisant pour vraiment limiter la casse. C’est là que le médecin intervient. Pansements gastriques, anti-acides (inhibiteurs de la pompe à protons), il a plein de cordes à son arc et peut aider votre famille et soulager votre bébé. Même si évidemment personne n’aime donner des médicaments à son tout-petit, une douleur importante pèse grandement dans la balance bénéfices-risques (et soyons honnêtes, quand on a une crise de migraine ou autre douleur… on prend aussi un antalgique. C’est du même ordre pour nos p’tits bouts). Le reflux peut parfois impacter d’autres sphères de la santé de votre bébé en induisant notamment une plus grande fragilité sur le plan ORL, ou en provoquant de la toux. Le premier réflexe à avoir donc, c’est de prendre un RDV pour aborder le sujet avec un professionnel de santé, ce qui n’empêche pas en parallèle de chercher d’autres leviers d’action, notamment au travers de l’alimentation. Alimentation et reflux Si l’alimentation du bébé est toujours sujette à débat et réflexions, c’est encore plus vrai dès lors que le bébé présente quelques particularités ! On entend souvent qu’en cas de reflux, il faut espacer les repas et épaissir le lait, or ce n’est pas forcément une très bonne idée ! En effet, les remontées les plus douloureuses ont lieu non pas lorsqu’il y a du lait dans l’estomac, mais lorsque celui-ci est « vide » ! On rappelle que dans ce cas pathologique, les remontées sont présentes même en dehors des repas, qu’il y ait du lait dans le ventre ou non. La présence de lait aide à tempérer un peu l’acidité et à rendre le reflux moins douloureux. Dans le cas du lait épaissi, il s’avère souvent être un peu moins digeste, ce qui peut favoriser…. les reflux. En outre si bébé ne régurgite plus, le contenu de l’estomac remonte quand même toujours, juste moins haut, et au lieu de ne brûler qu’à la montée, il brûle aussi à la descente… On conseille donc plutôt de fractionner les repas en donnant des petites quantités à la fois mais plus souvent (d’autant que boire du lait soulage la douleur), pour aider à limiter l’acidité et éviter l’effet « grosse quantité d’un coup » qui est souvent moins digeste. Si le bébé est allaité, il n’est pas question ni de le tirer pour l’épaissir, ni de stopper l’allaitement ! Le lait maternel est un véritable « médicament » en cas de reflux, ses propriétés cicatrisantes notamment aident grandement à limiter les occurrences d’œsophagite. Il est également très digeste. Ne pas hésiter à proposer autant de fois que bébé le réclame. Si le bébé n’est pas allaité, quelques petites astuces peuvent aider à favoriser sa digestion : Impérativement chauffer le lait. A « température ambiante », la préparation est très indigeste et demande au bébé énormément d’énergie pour réguler sa température interne après un repas perçu comme froid (18-20 degrés c’est assez froid comparativement à la température corporelle de 37), énergie qui n'est pas allouée à la digestion. Proposer le biberon de façon physiologique : bébé semi-assis sur les genoux de son parent, biberon proposé horizontal. Il y aura de l’air sur le haut de la tétine, c’est normal et pas grave. Cette façon de donner permet au tout-petit d’être actif dans sa prise, de ne pas subir un flux trop important, et de plus facilement faire des pauses et ressentir sa satiété. Ne pas hésiter à proposer « à la demande » comme au sein, avec des petites quantités plus fréquentes (évidemment pas toutes les 30mn non plus). Plus bébé aura faim et s’agacera, plus la prise du biberon sera chaotique et moins il gèrera correctement => reflux. La vérité, c’est qu’il n’existe pas de solution magique unique côté alimentation. Charge à chaque parent de faire des tests et de trouver l’équilibre qui semble le mieux convenir à son bébé. Il y a souvent un petit ajustement dans le fractionnement, où on se rend compte par exemple que le bout de chou est plus confortable si on laisse 1h30 entre 2 tétées et que si on donne vraiment tout le temps comme il réclame ça ne le calme pas vraiment. A vous de voir ce qui est le plus adapté à votre famille (même si on est d’accord, ce n’est pas simple !). A noter que dans certains cas, on peut retrouver derrière le reflux une allergie aux protéines de lait de vache (généralement non IGE-médiée), en présence d’autres signaux d’appel cela peut être à discuter avec le médecin pour évaluer la pertinence de tests et/ou éviction. Si votre bébé semble subitement présenter des difficultés importantes à s’alimenter (sous-entendu : il a trop mal), c’est un motif de consultation urgente. N’hésitez pas à appeler le 15 pour obtenir des conseils. Survivre au quotidien… On est d’accord que dit comme ça, ce n’est pas très encourageant, mais les parents passés par là le savent et le confirmeront : le quotidien avec un « bébé RGO » comme on le lit parfois, c’est le mode survie ! Les pleurs importants sont extrêmement fatigants et difficiles à vivre pour les familles. C’est une pathologie qui devrait induire chez les professionnels de santé qui accompagnent le bébé une grande vigilance sur la santé (psychologique en particulier) des parents. C’est un facteur favorisant notamment les dépressions post-partum ou les syndromes du bébé secoué. Une fois le contexte posé, qu’est-ce qu’on fait ? On fait de son mieux.Et comme on peut surtout. Soulager la douleur est une priorité. Pour le reste, si la maison est en bazar et qu’on mange un peu plus de pâtes que d’habitude, ma foi ce n’est pas si grave. C’est le bon moment pour appeler à l’aide autour de vous : grands-parents, oncles et tantes, amis… Pouvoir laisser votre bébé 1h pour souffler dormir, ou déléguer un peu de ménage et de cuisine. Vous pouvez aussi trouver de l’écoute et des ressources auprès des PMI ou de lieux d’accueil parents-enfants (LAEP). D’une manière générale il faut bien intégrer que si votre enfant pleure, ce n’est aucunement de votre faute. Vous ne faites rien « mal », ce n’est pas lié à une incompétence X ou Y de votre part. Vous faites tout le nécessaire pour aider votre bout de chou (d’ailleurs vous êtes précisément en train de lire cet article !). Il s’agit bel et bien d’une pathologie. On a donc fait le tour ici de ce qu’est le reflux, et de quelques ressources et clés pour le quotidien. Le portage physiologique s’avère également être une aide conséquente dans le quotidien, c’est à lire dans le 2nd article consacré à ce thème.






