Le Journal Néobulle

Conseils de portage, routines de soins, vie de parent… Retrouvez ici tous nos articles pour vous accompagner au naturel, dès la naissance.

Bébé10 idées d'activités "chill" avec bébé
Bébé

10 idées d'activités "chill" avec bébé

L’automne s’installe… Les températures se font plus fraîches, les journées plus courtes et la météo plus instable et humide… C’est le moment de l’année où on aime ressortir ses gros pulls moelleux, s’enfouir sous un plaid avec un mug de cacao chaud et se détendre. Bébé est arrivé depuis votre dernier automne à chiller sous la couette en amoureux ? Qu’à cela ne tienne ! On vous donne 10 idées d’activités relaxation en famille. Idée « chill » n°1 : Des massages en famille Une noisette d’huile P’tits Câlins et c’est parti pour une petite séance de massages en famille !Avec les plus jeunes on peut cibler le petit ventre tortillé ou s’amuser à chatouiller un peu les pieds…Pour les plus grands, pourquoi ne pas en faire un rituel ? Imprimez des cartes représentant différentes zones du corps. Chaque dimanche, on en tire une au sort pour voir ce qu’on va masser !Rien de tel pour faire le plein de douceur et évacuer toutes les tensions de la semaine… Aviez-vous remarqué que l’huile p’tits câlins sentait bon la frangipane ? Idée « chill » n°2 : Une balade en forêt Même si la fraîcheur s’installe, le soleil est parfois encore de la partie, illuminant de ses rayons le flamboiement des arbres.Bébé calé dans son porte-bébé, la couverture de portage pour se tenir bien au chaud, et hop, en route pour une petite balade en forêt pour aller admirer les belles couleurs de l’automne.Si vous avez des plus grands, ils adoreront aussi faire des bouquets de feuilles mortes et en faire ensuite des beaux dessins à offrir à tout le reste de la famille ! Idée « chill » n°3 : Faire des crêpes ou un bon gâteau Même si votre bébé est encore un peu jeune pour y goûter (il faut attendre qu’il soit capable de gérer les morceaux), rien ne vous empêche d’en préparer !Dès qu’il est en âge de pouvoir y être installé, n’hésitez pas à mettre votre tout-petit dans sa chaise haute à côté de vous pendant la préparation pour qu’il puisse observer les différentes étapes. Les enfants adorent vous imiter : donnez-lui un saladier en plastique et une cuiller en bois dans les mains pour faire « comme maman/papa », extase garantie !Pour les plus grands, casser les œufs, verser la farine dans le bol ou touiller la pâte sont des activités généralement très appréciées. Prévoir des habits qui se lavent facilement (ou encore mieux : un tablier !) pour éviter que le stress des tâches ne gâche le moment. Idée « chill » n°4 : Aller au musée Une ambiance calme, l’occasion d’apprendre plein de choses, et un lieu abrité des intempéries… Que demander de plus ?On n’y pense pas toujours mais c’est une sortie originale et l’occasion d’attiser la curiosité naturelle des plus jeunes et de leur faire découvrir de nouveaux univers.Le saviez-vous ? Tous les musées et monuments nationaux sont gratuits pour les enseignants et les moins de 25 ans tout le temps, et pour tous chaque premiers dimanches du mois ! Idée « chill » n°5 : Prendre un bain avec bébé On parle beaucoup des vertus du peau à peau, mais avez-vous déjà essayé de prendre un bain avec votre bébé ?Contre vous dans l’eau, il retrouve certains réflexes et certaines sensations connus in utero, maxi détente assurée !Attention, la sortie de la baignoire peut s’avérer un peu acrobatique ! On vous conseille de toujours avoir votre conjoint.e à proximité pour assurer la logistique serviette de toilette. Idée « chill » n°6 : Un atelier de découverte sensorielle Des tissus de textures différentes, des bacs avec de la farine ou des pois chiches, des petits pots remplis d’épices aux odeurs bien caractéristiques… Parfois il n’est pas nécessaire d’investir dans des jeux très onéreux, il suffit d’ouvrir les placards pour improviser des ateliers riches en apprentissages pour vos bébés !Goût, vue, ouïe, odorat, toucher… Choisissez votre thème, trouvez quelques accessoires les plus variés que possibles en lien avec, installez-vous confortablement avec votre bout de chou et au choix selon son âge : laissez-le explorer l’atelier librement ou proposez-lui vous les différentes sensations. La découverte sensorielle peut être proposée dès les premières semaines de vie, mais il faut l’adapter à l’âge de votre tout-petit. Plus votre bébé est jeune, plus les éléments doivent être différenciés et plus le temps de l’activité doit être court car c’est très stimulant et fatigant. On vous invite à être assez attentifs aux réactions de votre loustic et à stopper la séance lorsque vous sentez qu’il commence à s’énerver, même si cela vous a semblé « rapide » (quelques minutes peuvent suffire à un bébé de quelques semaines par exemple) ! Idée « chill » n°7 : Ecouter des musiques douces La musique adoucit les mœurs dit-on, et à raison.Amis mélomanes, c’est le moment de faire découvrir vos playlists favorites à vos enfants !Quelle team serez-vous ?Plutôt musique classique, jazz, bols tibétains, bruits de la nature… Pour une ambiance apaisante…Ou percussions, pop, rock, métal… pour danser, s’éclater et se défouler !Laissez libre cours à toutes vos envies et faites vous plaisir !Si vous jouez vous-même d’un instrument vos bambins seront également ravis de vous voir et entendre répéter… de quoi susciter une vocation chez eux plus tard, qui sait ? Idée « chill » n°8 : Aller à l’aquarium S’il y a un aquarium proche de chez vous, c’est une sortie qui peut valoir le détour avec votre petit bout !L’ambiance y est généralement douce et apaisante, notamment grâce aux lumières réduites bleutées. Depuis son porte-bébé, votre bébé pourra observer les poissons évoluer dans les différents bassins. Idée « chill » n°9 : Lire des contes Sobre, basique, efficace : la lecture !!!Voyager, découvrir le monde, l’univers, sans quitter son canapé ? Grâce aux livres tout est possible. Dès ses premières semaines de vie, votre bout de chou peut vous écouter lui raconter des histoires, vous pouvez lui montrer des livres d’images et lui donner le goût pour les contes et les aventures sur papier.Votre enfant se découvre un féroce appétit de lecture ? N’hésitez pas à arpenter les bibliothèques pour faire le plein de nouveautés sans vous ruiner. Idée « chill » n°10 : Faire la sieste Quand on a un bébé, le sommeil est devenu une denrée aussi rare que précieuse. Votre bout de chou s’est assoupi dans son berceau ? Vite, votre lit chaud et douillet vous appelle pour un petit somme réconfortant et récupérateur !On est pas bien là, enroulé dans le cocon moelleux de son édredon, à se laisser paisiblement emporter dans les bras de Morphée, bercé par la respiration apaisée de son petit cœur ? Fermez les yeux, PROFITEZ ! Vous voilà armés pour affronter les week-ends de l’hiver ! Quelle activité allez-vous expérimenter ?

BébéQuel système de portage utiliser pour un court trajet ?

Quel système de portage utiliser pour un court trajet ?

On parle souvent du choix des systèmes de portage pour des randonnées et des balades… Mais un peu moins lorsqu’il s’agit de porter sur des plus courtes distances. Et pourtant, c’est aussi un vrai sujet ! Et oui… Courses rapides, trajets école/nounou/crèche et autres petits déplacements ponctuent le quotidien des parents. Alors pour quel porte-bébé opter ? Peut-on utiliser le même que pour des randonnées ? On vous dit tout ! Quel est mon besoin principal pour porter mon bébé ? Pour bien choisir un système de portage, c’est un peu comme quand on veut acheter une paire de chaussures ou des vêtements : il faut être au clair avec son besoin principal, histoire d’éviter de se retrouver en esparpins sur la plage.  Le plus souvent, lorsqu’on souhaite porter sur des courtes distances, on va retrouver les critères suivants :  Praticité : il faut que le porte-bébé soit facile et pratique à mettre en place en toutes circonstances (y compris en pleine rue)Installations / désinstallations rapides: il faut que le porte-bébé puisse être enfilé (ou retiré) très vite, potentiellement dans une salle d’attente ou sur un parkingPas de pans qui traînent au sol : il faut que le porte-bébé puisse être installé en pleine rue, en sortant de la voiture par exempleCes critères ne sont évidemment pas exhaustifs mais permettent déjà de cerner un petit peu la situation globale.Dans le quotidien, contrairement à pendant une balade où une fois bien réglé et ajusté on ne touche plus à rien pour un long moment, il faut imaginer que le porte-bébé va être très souvent mis et enlevé, parfois un peu « à la volée » (pour ne pas dire « complètement n’importe comment » !), il faut donc vraiment opter pour un modèle qui ne soit pas « prise de tête » et qui vous facilite vraiment le quotidien ! S’il est trop long à installer (comprendre : potentiellement plus que le temps de trajet en question), cela peut vite s’avérer frustrant et décourageant.On retrouvera ensuite plusieurs configurations qui dépendent un peu de vos modes de vie et de si vous avez d’autres systèmes de portage pour compléter ou non. Je veux juste un modèle pour porter mon bébé durant mes petits trajets urbains Si vous souhaitez uniquement un modèle pour des petits déplacements : le sling est votre ami !C’est LE porte-bébé nomade par excellence. Mis en place en bandoulière sur une épaule, il se préinstalle et peut être gardé sur soi par exemple en voiture pendant que bébé est dans son siège auto, prêt pour l’installation dès l’arrivée à destination. Il se règle et se dérègle facilement d’une main : les tensions sont autobloquées dans les anneaux et ne nécessitent pas de nœud à fin.Comme il est assez compact, il se glisse aisément dans le sac à langer pour rester par exemple à la crèche dans le sac de bébé pendant la journée.En proposant un portage décentré, le sling permet de montrer plein de choses à son bout de chou et de partager plein de beaux moments avec lui. Le portage décentré est également appréciable lorsqu’on a un plus grand à gérer car il libère un peu plus d’espace devant ! Au niveau « expert » : le sling est le seul système de portage qui ne nécessite pas de poser son bébé pour pouvoir être installé ! Bonus ? Les plus habiles d’entre vous parviendrons également à allaiter leur tout-petit en marchant (pas trop vite !).Inconvénient : le portage sur une seule épaule ne destine pas le sling à des portages longue durée, pour lesquels il s’avèrera vite inconfortable ! Je veux aussi pouvoir aller en randonnée avec ! Envie de combiner les besoins inhérents aussi bien à des petits et à des grands déplacements ? Pourquoi ne pas opter pour un porte-bébé préformé ? La gamme Néo est la solution idéale pour les parents qui aiment alterner entre métros et terrasses de café, et grands espaces. Installés en 2 clips, les préformés se fondent dans le quotidien et apportent à la fois confort et liberté.A l’instar du sling, le préformé peut rester simplement clipsé à la taille en attendant d’accueillir votre enfant, et même ainsi, il ne traîne pas au sol et ne se salit pas, ce qui est d’autant plus appréciable lorsqu’il pleut !Au niveau « expert » bébé fera les courses avec vous dans votre dos et vous montrera tous les légumes et fruits qu’il voudra mettre dans le panier !Inconvénient : lorsqu’on change de porteur, il y a quelques réglages (rapides !) à refaire. Mon bambin marche Lorsque l’enfant marche, les besoins évoluent et souvent le portage devient de moins en moins nécessaire… Ce d’autant plus que les bambins adorent explorer l’environnement par eux-mêmes et jouer aux super-héros dès lors qu’ils trouvent un joli bâton !Néanmoins, même les super-héros les plus endurants ont le droit d’être fatigués et d’avoir besoin d’un super-parent pour les secourir et les porter lors d’un trajet un peu plus pénible que d’ordinaire.C’est évidemment lorsque vous n’avez plus de porte-bébé de back-up avec vous que cette situation se profile.Nous recommandons à tous les parents d’avoir à disposition dans leur sac un support au portage à bras de type Hop-là ! Ultra-compact, le hop-là tient dans un sac à mains, il a pour vocation à soutenir les fesses de votre bout de chou et à soulager vos bras. Il ne se substitue pas à un vrai porte-bébé mais peut vous sauver la mise dans bon nombre de situations du quotidien et s’avère un allié de choix dans plein de petits trajets avec un « petit-grand » ! Et les autres systèmes de portage ? Quid des autres systèmes de portage ? Nous n’avons effectivement pas mentionné écharpes et mei-tai dans cet article. En effet, ces derniers étant un peu plus longs à installer (pour l’écharpe notamment) et/ou présentant des longueurs de matière importantes, ils se prêtent un peu moins à des utilisations express’ qu’un sling ou un préformé, et à choisir ce n’est pas ceux que nous conseillerions pour ces usages spécifiques. Pour autant, si vous les avez déjà en votre possession, n’hésitez pas à faire des tests dans plein de configurations différentes pour voir par vous-même et dans votre quotidien s’ils vous conviennent, avant d’envisager d’autres achats !Comme toujours dans le portage, il n’y a pas une seule vérité et c’est à chacun de faire en fonction de son ressenti.Vous voilà armés pour vos petits déplacements avec bébés ! Alors, pour quel porte-bébé allez-vous opter ?

BébéAlerte aux poux !

Alerte aux poux !

« Des poux ont été signalés dans la classe, merci de vérifier les têtes de vos enfants » Cette petite ligne dans le cahier de votre bout de chou vous déclenche une crise de tachycardie doublée d’une furieuse envie de vous gratter la tête et de désinfecter frénétiquement toute la maison pour vous débarrasser de l’envahisseur ? Pas de panique, rangez cette tondeuse à cheveux et prenons le temps ensemble de voir comment affronter la situation ! 1 – Quelques généralités sur les poux Les poux (Pediculus humanus capitis de leur petit nom), sont des parasites de l’humain. Pour ce qui nous concerne, nous parlerons ici uniquement de ceux qui vivent dans les cheveux, mais certains peuvent aussi vivre dans les poils (morpions) ou sur le corps (plus rare). Ils mesurent environ 2 à 4mm et se nourrissent de sang, leurs morsures provoquent alors des démangeaisons importantes (liées à leur salive). Si une infestation ne présente pas de danger en elle-même pour la santé, lors d’une situation qui perdure les lésions provoquées à force de se gratter peuvent finir par s’infecter. Lors de son cycle de vie, le pou passe par plusieurs phases de développement : J0 : ponte d’un œuf (la lente) à la racine du cheveu J7-8 : éclosion Entre J10 et J17 environ : la larve passe par 3 mues successives J17-18 : 1ers accouplements possibles De J18 jusqu’à la fin de sa vie vers J50 : les femelles peuvent pondre jusqu’à 8-10 œufs par jour On vous épargne les calculs : Au cours de sa vie, un seul pou femelle peut ainsi pondre jusqu’à 300 œufs ! Chaque œuf une fois pondu peut générer un pou mature et capable de s’accoupler à son tour en 3 semaines environ. Vertigineux n’est-ce pas ? On comprend vite pourquoi il vaut mieux prendre le problème en charge le plus rapidement que possible ! 2 – Identifier l’infestation Comment savoir si son enfant a des poux ? Souvent au début il n’y a pas grand-chose de visible, il faut attendre que la prolifération ait débuté pour commencer à se rendre compte que chouchou se gratte un peu frénétiquement la tête, principalement vers la nuque ou derrière les oreilles. Un examen plus attentif du cuir chevelu peut mettre en évidence des petits points rouges sur la peau du crâne, des lentes (environ 0.5 à 1mm, de couleur jaunâtre ou grisâtre tant que l’œuf est plein, blanche ensuite une fois la larve sortie), voire carrément des poux qui se baladent… Faire la différence entre lente et pellicule n’est parfois pas facile. Les pellicules ne sont pas attachées aux cheveux, on peut facilement les déloger avec les doigts ou un brossage. Les lentes quant à elles sont solidement collées aux cheveux. En cas d’alerte aux poux dans un établissement fréquenté par votre enfant, il est vivement conseillé de vérifier son crâne, voire de passer préventivement un peigne fin dans l’intégralité de sa chevelure pour déloger les éventuels indésirables avant qu’ils ne commencent à se reproduire ! À noter que, contrairement aux idées reçues, une infestation n’est aucunement liée à un manque d’hygiène. 3 – Que faire si on a trouvé des poux chez son enfant ? Le temps où on leur rasait le crâne est fort heureusement révolu ! Et les produits chimiques et agressifs sont également désormais interdits (potentiellement nocifs, les poux y ont de toute façon développé une résistance…) Etouffer lentes et poux à l’aide d’un produit adapté : Chez Néobulle, on vous propose une lotion traitante anti-poux, composée d’ingrédients issus de l’huile de coco. Ne contenant ni insecticide, ni parfum, ni huiles essentielles, son action principale est mécanique : elle obstrue les orifices respiratoires des poux et des lentes et les étouffe. Lors du rinçage, les poux et lentes se vident de leurs liquides, la dessiccation les tue. Appliquée consciencieusement sur l’ensemble du cuir chevelu (non mouillé), il suffit de la laisser poser 1 heure avant de passer un peigne fin et de la rincer. Attention : le délai de pose se calcule à partir du moment où la lotion a séché, vous pouvez utiliser un sèche-cheveux pour accélérer le processus. Utiliser un peigne fin : Le peigne fin est un peigne dont les dents très serrées permettent de décrocher les poux et lentes des cheveux. Pour un passage efficace, il est conseillé de bien ratisser l’intégralité de la chevelure et de bien partir du crâne. Vous pouvez utiliser des pinces ou barrettes pour identifier les zones restant à peigner. Un passage régulier du peigne est une technique également efficace pour se débarrasser des poux, mais qui demande un peu de patience ! En effet, cela nécessite de l’utiliser suffisamment longtemps pour avoir : Eliminé tous les adultes en capacité de pondre Eliminé toutes les larves issues des lentes pondues préalablement par les adultes (avant donc qu’elles ne soient capables de se reproduire) Si vous avez bien suivi plus haut, le cycle de développement du pou prenant à peu près 3 semaines, cela signifie qu’il faudrait s’y astreindre quotidiennement au moins durant ce laps de temps… Cela implique également d’être suffisamment consciencieux pour ne pas louper des zones. Traiter l’environnement : Les poux ne survivent pas très longtemps loin d’une tête (36h environ), et ils ne se décrochent pas des cheveux lorsqu’ils sont encore vivants. La transmission par l’environnement est de fait assez limitée. Il est conseillé néanmoins de passer les draps et taies d’oreiller à la machine à laver (60 degrés), il en va de même pour les autres surfaces en contact avec les cheveux : housse de siège auto, bonnet… Vous pouvez également prévoir de désinfecter la brosse à cheveux pour éviter les recontaminations, en utilisant par exemple notre spray Déo Couches ! A noter que si quelque chose ne peut être lavé à 60°C, il est possible en remplacement soit de le placer au congélateur pendant 8h, soit de le laisser dans un sac fermé pendant 48h. Inspecter toute la famille La promiscuité familiale étant un facteur d’infestation majeur, il est vivement conseillé d’inspecter et peigner toutes les têtes de la maisonnée lorsqu’un des habitants du foyer présente des poux ! Les poux peuvent coloniser tout le monde et pas uniquement les enfants : bébés, ados, adultes, personnes âgées… Tant qu’il y a des cheveux, il peut y avoir des poux. Apaiser le cuir chevelu Les morsures et grattages peuvent avoir causé des irritations du cuir chevelu. En parallèle des soins traitants, l’utilisation d’un shampoing apaisant peut être appréciable pour soulager la gêne ! 4 – Eviter les poux ! Plutôt prévenir que guérir… Même s’il est parfois compliqué de passer complètement à travers, on peut diminuer sensiblement les risques d’infestation avec quelques gestes simples : Attachez les cheveux longs en queue de cheval ou en tresses Utilisez des brosses et peignes différents pour chacun de vos enfants Encouragez vos enfants à ne pas échanger leurs bonnets avec des copains Appliquer un peu d’huile préventive anti-poux derrière les oreilles les matins d’école Inspectez régulièrement les têtes de vos enfants fréquentant des collectivités, même en l’absence de signalement en cours dans la classe. Si vos enfants ont « une tête à poux » et en attrapent facilement malgré tous les conseils de prévention, il peut être utile de passer le peigne régulièrement (au moins 1 fois par semaine) pour enrayer instantanément toutes les nouvelles colonisations ! Les poux parviennent à survivre dans l’eau, la piscine peut donc également être un lieu de contamination. Il est conseillé de se baigner avec un bonnet de bain. Voilà, vous savez tout sur ces bestioles infernales ! Courage la team parents, on vous souhaite maintenant d’y être confrontés le moins que possible !

BébéLes essentiels de la randonnée en famille

Les essentiels de la randonnée en famille

Vive les vacances ! Ha l’air frais de la campagne, les petits sentiers bordés de fleurs et de fraises des bois, les beaux panoramas… Vous avez hâte de partager votre passion pour la randonnée avec bébé, et on vous comprend ! Mais prévoir les affaires de bébé c’est parfois un vrai casse-tête, et si on vous aidait à ne rien oublier avant le départ ? 1 – Un porte-bébé Avez-vous déjà imaginé prendre une poussette sur un sentier escarpé ? Oubliez tout de suite cette idée saugrenue ! Certains ont testé (sisi on en a déjà vu chez Néobulle !), et franchement, c’est non. Le porte-bébé est de très loin l’accessoire INDISPENSABLE de tous les parents randonneurs, que leur enfant marche ou non d’ailleurs (parce que même bons marcheurs, les bambins se fatiguent vite, et les porter à bras en plus des sacs ce n’est pas des plus pratique). Envie d’en savoir plus sur comment choisir votre porte-bébé idéal ? C’est par ici ! Sinon sachez que notre nouvelle version du Néo+ a été spécialement pensée pour accompagner les aventures familiales, avec plein de petits détails (reposes-pouces, boucles pour fixer des accessoires…) qui font la différence ! 2 – De quoi se protéger Difficile (impossible) de s’assurer qu’on restera bien à l’ombre sur tout le trajet… Impératif donc de prévoir de quoi protéger bébé du soleil : Un chapeau, idéalement qui couvre la nuque Des lunettes de soleil adaptées à sa taille et avec une bonne protection (catégorie 3 mini) Des vêtements confortables et légers mais couvrants (qui ont le mérite de protéger aussi des insectes !) Selon l’âge de votre enfant, pensez également à la crème solaire (indice 50 et à appliquer toutes les 2 à 3h). Et parce que parfois le temps se gâte et/ou se rafraîchit sans prévenir, un petit gilet et un vêtement imperméable peuvent compléter l’équipement ! 3 – De quoi s’hydrater C’est une évidence mais on le rappelle quand même ! Toujours avoir de l’eau en abondance sur soi, autant pour les adultes que pour les enfants. Prévoyez ultra large, et rajoutez encore 1 ou 2L de sécurité à ces estimations généreuses, vous aurez ainsi la bonne quantité ! Les enfants ne se rendent pas toujours compte qu’ils ont soif aussi n’hésitez pas à faire des pauses fréquentes pour leur proposer quelques gorgées d’eau. A noter qu’un enfant fatigué et grognon est peut-être simplement légèrement déshydraté !  Si votre bébé est encore allaité exclusivement, pas besoin d’eau (qui est moins hydratante que votre lait !), mais des petites tétées. 4 – De quoi soigner les petits bobos Même s’il n’est pas nécessaire d’emporter la maison complète, il est toujours conseillé d’avoir le minimum syndical sur soi pour soigner les petits tracas les plus courants : Un désinfectant et quelques compresses, pour nettoyer les égratignures Nos 2 sticks d’urgence badaboum et p’tits bobos, pour aider à résorber les petites blessures et contusions Des pansements Un antalgique adapté aux âges de tous les membres de la famille et facile à administrer  (99% de chance que ce soit inutile mais pour le coup ça prend peu de place et on est content de l’avoir quand on en a besoin !) Un tire-tique Notre stick adoupik pour soulager les piqûres d’insectes et la chute dans les orties ! 5 – A manger ! La rando l’estomac vide, de base, c’est déjà une mauvaise idée… Avec des petits, cela devient plus que critique ! Si d’habitude choupinou picore péniblement le contenu de son assiette, soyez assurés que le grand air va lui ouvrir l’appétit et qu’il y a fort à parier qu’il se transforme en estomac sans fond. Ce n’est donc pas le moment ni d’oublier les goûters, ni de lésiner sur les quantités ! Misez sur tout ce qui apporte de l’énergie mais reste digeste : fruits secs, barre de céréales… Un petit coup de mou ? Un « convoi » qui peine à avancer pour cause de fatigue ? C’est le bon moment de rebooster les troupes avec un petit en-cas ! 6 – De quoi changer bébé Quelques couches, quelques lingettes et un body de rechange… Le B.A.BA de toutes les sorties avec bébé ! On vous conseille d’y ajouter aussi un petit sac qui fera office de poubelle, et que vous pourrez jeter à votre retour. Rien de pire que de se retrouver avec la couche sale qui déborde dans les mains et rien pour la stocker le temps de finir la balade ! 6 – Et comment on transporte tout ça ? Une fois l’enfant sanglé dans son porte-bébé, comment est-ce qu’on transporte tout ça facilement et sans se transformer en Sherpa ? Grâce à nos 2 nouveaux accessoires pardi ! Du change aux vêtements en passant par la pharmacie, le lange en vadrouille permettra de stocker tout ce qui concerne bébé. Fixé directement sur le porte-bébé néo+ V2 sa charge se répartit parfaitement et il encombre très peu le porteur, tout en évitant d’accumuler XXX sacs et sangles qui s’entremêlent. Côté repas le bib en vadrouille comme son nom l’indique peut permettre de garder l’eau du bib au chaud… mais pas que ! Il peut tout aussi bien servir à conserver une petite bouteille d’eau ou le repas de bébé à la bonne température. Lui aussi se fixe directement sur le néo+ V2, ou à défaut sur le passant de votre short… Vous voilà prêts à partir à l’aventure avec bébé !

BébéLes indispensables de l'été

Les indispensables de l'été

C’est bientôt l’heure des départs en vacances… et des valises à préparer. Toi-même tu sais que le volume d’affaires à transporter est inversement proportionnel au volume de l’enfant. Et ton/ta conjoint(e) ne se prive pas de te rappeler en parallèle que le véhicule familial n’est pas un semi-remorque et que non vraiment emporter son lit à barreaux c’est inutile et CA NE PASSE PAS dans le coffre (même démonté). Chez Néobulle on œuvre pour la paix des familles, et on vous a concocté une petite liste des indispensables à glisser dans les bagages ! 1 – Un porte-bébé Plus compact qu’une poussette (ce qui libère BEAUCOUP de place dans le coffre pour autre chose), le porte-bébé c’est le véritable allié des vacanciers ! Grâce à notre gamme Néo, vous pourrez vous déplacer en liberté sans vous retrouver coincés par une ruelle pavée ou un accès restreint à un monument historique (souvenir de vacances au Mont Saint-Michel et à son abbaye interdite aux poussettes…). Idéal aussi pour les balades en pleine nature c’est un beau moyen pour bébé de découvrir les paysages à bonne hauteur. L’astuce Néobulle : Découvrez le Lange et le Bib en Vadrouille, les accessoires idéaux pour transporter facilement les affaires de bébé et se passer de la poussette et de sac à langer ! 2 – Se protéger du soleil On ne le redira jamais assez, le soleil n’est pas l’ami de la peau fragile de nos bouts de chou. Outre les conseils d’usage à savoir éviter le plein soleil et privilégier les sorties aux heures les plus fraîches (avant 11h et après 17h), on vous invite à glisser dans le sac : De la crème solaire indice 50 (idéalement safe pour les fonds marins si vous allez à la mer) Un chapeau ou une casquette Des lunettes de soleil bien ajustées à son visage Un top anti-UV L’astuce Néobulle : les vêtements anti-UV permettent de protéger efficacement bébé et limiter la quantité de crème solaire à utiliser (ainsi que le risque d’oubli de lui en re-tartiner) 3 – Halte aux indésirables ! La p’tite bête qui monte, qui monte, est mignonne dans la comptine, mais nettement moins dans la vraie vie ! Moustiques et autres indésirables peuvent vite transformer un séjour sympathique en enfer de la gratouille. Connaissez-vous notre gamme anti-pique ? Huiles répulsives et stick pour apaiser les démangeaisons se glissent facilement dans le sac et éloigneront naturellement les envahisseurs à 6 ou 8 pattes. Dans la même dynamique, on vous recommande vivement de prévoir une inspection complète (cheveux inclus) à chaque retour de balade en forêt pour vérifier l’absence de tique, et d’avoir donc aussi dans votre sac un tire-tique. L’astuce Néobulle : les huiles répulsives anti pique permettent aussi d’éloigner les tiques et le roll-on adou’pik est également d’un grand secours en cas de piqure de guêpe et de chute dans les orties… 4 – La trousse à pharmacie S’il n’est pas nécessaire d’embarquer l’intégralité de votre pharmacie, et même si en théorie il reste toujours facile de se procurer un soin spécifique en cas de besoin sur votre lieu de villégiature, avoir quelques soins avec vous reste tout de même rassurant et pratique (d’autant qu’on le sait, les enfants aiment bien tomber malade la nuit ou le WE, quand tout est fermé) ! Des pansements, compresses, et de quoi désinfecter une petite plaie.  Un antalgique / antipyrétique (à prévoir en dosage bébé/enfant mais aussi adulte…) Du sérum physiologique Du soluté de réhydratation Notre lot urgence avec des roll-on adaptés aux gros badaboum et à tous les p’tits bobos ! Des mouchoirs Et évidemment tous les traitements en cours de la famille (en ayant bien vérifié en amont que vous aviez de quoi finir le séjour tranquillement avant le renouvellement suivant) L’astuce Néobulle : prévoyez au fond de la valise une pochette contenant les ordonnances des traitements en cours et les carnets de santé 5 – Le nécessaire pour faire trempette Pas de blague : on n’oublie pas les maillots de bain ! Autre indispensable : notre Aquabulle ! Pas plus encombrant qu’une paire de chaussettes, grâce à lui vous pourrez traverser la plage avec bébé et vos sacs, ainsi que lui faire découvrir les vagues en toute sécurité. Envie d’en savoir plus sur la baignade avec bébé ? Retrouvez ici notre article dédié à cette thématique ! L’astuce Néobulle : l’aquabulle est aussi très pratique pour prendre une douche avec bébé au camping 6 – Des gourdes et bouteilles Rien de plus désagréable que de prévoir une excursion en famille et découvrir au moment de préparer le pique-nique qu’on a oublié les gourdes… S’il faut chaud il faut bien veiller à ce que bébé boive souvent et en quantités suffisantes pour ne pas risquer de déshydratation. Si votre bébé est en allaitement exclusif, votre lait est plus hydratant que de l’eau grâce aux sucres et sels minéraux qui le composent (équivalent d’un soluté de réhydratation). L’astuce Néobulle : proposez à boire ou à téter à votre bébé chaque fois que vous-même prenez quelques gorgées d’eau. 7 – LE DOUDOU !!! Last but not least… Le réconfort ultime de bébé, son compagnon de chaque instant, son précieux allié des siestes et des nuits, (presque) plus important que vous, j’ai nommé : LE DOUDOU ! L’oubli de ce dernier vous expose à des conséquences similaires à celles d’une guerre mondiale. Idem pour la tétine si bébé en a une, soit-dit en passant. Vraiment, ne faites pas ça. L’astuce Néobulle : prévoyez le doudou de secours ainsi que des tétines d’avance dans le fond de la valise, au cas où. Vous voilà parés pour le grand départ ! Ne nous reste plus qu’à vous souhaiter des vacances au top pleines de beaux moments en famille.

BébéAccompagner un bébé qui souffre de reflux (2/2)

Accompagner un bébé qui souffre de reflux (2/2)

Article 2 : Porter un bébé souffrant de reflux Après avoir évoqué le quotidien avec un enfant souffrant de RGO dans le premier article de cette thématique, l’article qui suit va lui être consacré aux spécificités de portage que le reflux induit. Entre théorie et pratique… Dans les conseils fréquents concernant l’accompagnement de bébé ayant un reflux, on retrouve le fait de garder bébé vertical au maximum, et le portage. Sur le papier, le portage c’est idéal car cela apaise les bébés stressés, favorise l’endormissement, propose une posture verticale, libère les bras du parents, et j’en passe… Ca, c’est la théorie. En pratique c’est une autre paire de manches ! Les bébés souffrant de reflux ont un besoin VISCERAL d’être porté, mais bien souvent NE LE SUPPORTENT PAS ! Ils veulent qu’on les prenne, qu’on les cocoone et les rassure… Mais ne tolèrent pas le contact. En outre étant extrêmement raides, les installations sont plus complexes (pour ne pas dire parfois carrément acrobatiques). Vous l’aurez compris avec ces quelques lignes, la pratique dans la vraie vie n’a rien d’évident ! Le cercle vicieux de l’hyperextension La première difficulté en portage, c’est l’hyperextension, et les difficultés de manipulations qu’elle induit ! Attention, le RGO n’a pas le monopole de l’hyperextension, il y a plein d’autres facteurs pouvant favoriser cette dernière (comme un torticolis par exemple). On en parle ici dans le contexte de l’accompagnement d’un bébé souffrant de reflux car c’est une des difficultés majeures qu’on peut rencontrer, mais les conseils qui suivent s’appliquent quelle que soit la cause initiale. Les bébés qui souffrent de reflux sont décrits généralement comme des bébés très toniques… C’est ce qui ressort souvent de l’hyperextension, et cela n’a rien à voir avec une éventuelle « avance » sur le plan du développement psychomoteur. La posture normale (au sens de la norme) d’un tout petit est une posture souple et regroupée, avec le dos plutôt arrondi (cf position physiologique). Lorsque l’hyperextension s’invite, le bébé devient très raide, il adopte des postures droites (voire carrément « cambrées »), dans le jargon du portage on entend parfois parler de « bébé piquet ». On pourrait penser que ces postures « jetées en arrière » sont antalgiques pour le tout-petit, qu’elles soulagent un peu sa douleur en libérant l’estomac et limitant l’occurrence des remontées, mais en fait non, c’est même tout le contraire ! Ce sont en réalité des positions « réflexes » face à la douleur. Pour faire simple, on confond cause et conséquence, le bébé ne se cambre pas pour avoir moins mal, il se cambre PARCE QU’il a mal. Comme on imagine (à tort donc) qu’en restant tout droit notre bout de chou aura moins mal, on va naturellement le laisser s’installer ainsi, voire l’y encourager. Cela induit 2 choses : 1/ une digestion plus compliquée (si vous restiez vous-même en position cambrée après un repas, vous verriez que ce n’est pas des plus aidants pour le digérer correctement), elle-même vectrice si vous avez bien suivi…. de remontées acides  2/ une habitude posturale doublée d’une contracture trop prononcée des muscles dorsaux, qui vont empêcher votre tout-petit de revenir vers des postures plus regroupées (un peu comme s’il avait un élastique trop tendu tiré dans le dos) Et voilà le cercle vicieux. La posture en hyperextension est également problématique sur d’autres plans qu’on ne détaillera pas ici. Mais me direz-vous, c’est bien gentil, mais que fait-on pour pallier cela et corriger le tir ? Accompagner l’enroulement au quotidien La première chose à faire, c’est de traiter la douleur (cf 1er article de la série consacré au reflux). Ensuite au quotidien, on va veiller à « travailler » en douceur les « bonnes » postures, tout en limitant au maximum tous les gestes susceptibles de réinduire des hyperextensions (et vous allez voir qu’ils sont nombreux !). Ainsi on évitera tout ce qui stimulera votre bout de chou « vers l’arrière », comme par exemple : Un mobile au-dessus de sa tête (préférez une installation plutôt vers ses pieds) Des jouets derrière sa tête A bras on veillera aussi à éviter tout ce qui pourrait l’encourager à se cambrer, notamment en utilisant l’avant-bras plutôt que la main pour le porter. En effet, lorsqu’on utilise la main, ou si on place l’avant-bras trop derrière les fesses, cela créée une pression qui ramène son bassin vers l’avant au lieu de l’inviter à s’asseoir. En somme c’est comme si on lui disait « jette toi en arrière », et à cet âge, eh bien ils écoutent ce qu’on dit ! C’est à voir comme une véritable rééducation, autant de la gestuelle du parent que de la posture globale de l’enfant. NB : en position physiologique l’estomac n’est pas sensé être comprimé, si bébé n’est pas « tassé » ou « affaissé », son estomac reste libre. Et le portage dans tout ça ? Le portage on y vient. On a vu que ce dernier pouvait être plus délicat à mettre en place du fait des postures raides du tout-petit. L’autre aspect complexe, c’est la tolérance du bébé, surtout lorsque la douleur n’est pas encore soulagée. Comme pour tout ce qui va toucher aux besoins un peu spécifiques, il est difficile de tirer des généralités et il va vous falloir faire plusieurs tests pour trouver l’outil qui conviendra le mieux à votre bout de chou, et vous armer d’un peu de patience ! Les conseils qui suivent sont ceux qui semblent être adéquats pour une majorité de bébés souffrant de reflux, mais ne constituent malheureusement pas une baguette magique marchant à tous les coups ! Choisir et ajuster son système Le choix du système doit tenir compte à la fois des besoins du tout-petit, mais également de l’aisance du porteur. Côté bébé on va généralement préférer des systèmes très stables et pas trop contenants. Côté porteur on préfèrera des systèmes qui peuvent s’installer « facilement » même avec un bébé qui hurle et se raidit (on se comprend…) Vous l’aurez compris, l’écharpe de portage (a fortiori extensible) n’est clairement pas le choix numéro 1 ! Elle peut être mal supportée par votre bout de chou (trop serrée, enveloppante), et nécessite une excellente maîtrise pour être installée lorsqu’il est en crise. Les systèmes type mei-tai ou préformés sont souvent mieux tolérés car moins contenants, et ils présentent l’immense avantage d’avoir de la matière entre les jambes. Comprendre : lorsque choupinou est raide comme un piquet, hurle et gesticule, il reste possible de l’installer dans le porte-bébé même pour un néophyte… L’installation sera complètement ratée selon les critères usuels de la physiologie, mais il sera en sécurité !!!! Et cela vous permettra de rapidement marcher et le bercer pour l’apaiser, sans trop solliciter votre corps. Une fois plus serein, il sera toujours temps de reprendre les réglages…     Le sling est également un système qui dans certains cas fonctionne bien, notamment car il permet une installation très progressive mieux supportée par les enfants. Si vous utilisez un sling ou une écharpe, une bonne astuce consiste à démarrer les ajustements par la lisière du bas, et non celle du haut comme on le fait usuellement. Vous l’aurez sans doute remarqué mais souvent ce sont les réglages et passages de matière vers la nuque et les épaules qui déclenchent les pleurs : en commençant à serrer vers le bassin, cela permettra à votre petit bout de s’habituer en douceur. N’hésitez pas à faire des pauses après chaque réglage, et à marcher et bercer votre bébé pour bien qu’il se détende avant de procéder au réglage suivant. Accepter l’imperfection Dernier point mais pas le moindre : malgré tout ce qui a été vu au travers de ces 2 articles, il est plus que probable que votre tout petit n’adopte pas des positions très « conventionnelles » dans son système de portage. Oubliez la boule de bébé, avec les genoux bien remonté et le dos bien arrondi… Parfois quand on arrive à obtenir un angle de 90° (ou quasi) entre le fémur et le dos, on est hyper contents et on sait qu’on arrivera difficilement à mieux ! Et à vrai dire, ce n’est pas grave ! Ce qui compte c’est avant tout que les besoins de votre bout de chou soient respectés, et que vous-même puissiez souffler un peu aussi et/ou vaquer à quelques occupations les mains libres… Les voies respiratoires sont dégagées ? Il n’est pas à risque de chuter ? Alors tout est parfait. Il ne vous reste plus qu’à mettre tout ceci en application ! N’hésitez pas également à vous faire accompagner par une monitrice de portage pour vous faire aider et ajuster les portages à votre situation spécifique. Courage et gardez le cap ! Vous êtes les meilleurs parents que possible pour votre bébé, le reflux n’est heureusement pas éternel et entre vos bons soins et sa croissance, les choses finiront par être plus faciles.

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BébéAccompagner un bébé qui souffre de reflux (1/2)

Accompagner un bébé qui souffre de reflux (1/2)

Le reflux gastro-oesophagien, au quotidien Tous les parents ayant été confrontés à cette situation le savent : entre les pleurs, le sentiment d’impuissance, la fatigue engendrée, et sans parler des lessives à gogo, être parent d’un bébé qui souffre de reflux, c’est l’enfer ! Et malheureusement cette situation n’est pas rare puisqu’on estime que cette pathologie concerne 1 bébé sur 5, soit 20% des tout-petits. Signaux évocateurs, coups de pouce pour soulager, astuces portage… On en parle au travers de 2 articles consacrés spécifiquement à cette thématique ! Régurgitations physiologique ou Reflux gastro-œsophagien (RGO) ? En premier lieu quelques petites explications. Le reflux gastro-œsophagien (RGO pour les intimes), c’est ce qu’on appelle plus communément les remontées acides. Mesdames pendant la grossesse, il est probable que vous ayez expérimenté ça, et si oui en général vous vous en souvenez. Parce que ça fait (très) mal. Cela correspond à une remontée d’une partie du contenu de l’estomac dans l’œsophage, lequel n’est absolument pas conçu pour supporter l’acidité du liquide en question. Cela génère donc des sensations très désagréables de brûlure, et peut à plus ou moins long terme occasionner une inflammation de la muqueuse de l’œsophage (œsophagite). Il n’est pas rare de s’interroger sur la différence entre un reflux (pathologique) et des régurgitations (physiologique), d’autant qu’il est assez commun de s’entendre dire qu’un bébé qui régurgite c’est normal, et qu’un bébé qui pleure, c’est normal aussi. Certes ça peut être vrai dans une certaine mesure, mais les parents même d’un premier enfant se rendent bien compte quand l’intensité des pleurs de leur bébé n’est pas normale. Les régurgitations physiologiques sont reliées à une immaturité du petit clapet à la base de l’œsophage. Après une tétée ou un biberon, le trop-plein ressort (souvent au même moment qu’on propose le rot), sans que choupinou ne paraisse le moins du monde gêné d’avoir retapissé tout votre t-shirt. D’ailleurs il vous fait un grand sourire ! Les régurgitations physiologiques ont donc lieu juste après le repas, le lait qui sort n’est pas du tout caillé – prédigéré. Et surtout votre bout de chou n’est pas ni gêné ni douloureux par ces dernières. Dans le cas d’un RGO, les remontées sont moins liées aux repas, elles existent même lorsque l’estomac est « vide », et elles sont extrêmement acides. Dans les signaux qui peuvent y faire penser, on peut retrouver (de façon non exhaustive) : Un bébé qui pleure énormément, est très agité, nerveux… Il supporte souvent difficilement la station allongée et vous devez le garder vertical un maximum de temps Il lui arrive de régurgiter à distance des tétées du lait caillé Il semble « mâchonner » souvent Vous l’entendez régulièrement ravaler quelque chose (et il pleure ou se raidit souvent dans la foulée) Il est extrêmement raide, très tendu, hypertonique et semble ne jamais se détendre Il peut avoir une haleine « acide » Il peut avoir une voix qui devient rauque, éraillée Évidemment tous les bébés ne vont pas montrer les mêmes signaux, certains n’en présenteront que quelques-uns, d’autres la quasi-totalité… A noter que le reflux n’est pas forcément associé à des renvois de lait, on parle alors de reflux « interne ». A partir du moment où vous avez des doutes sur ce sujet, il est vivement conseillé d’en faire part au médecin ou pédiatre en charge du suivi médical de votre bébé, pour qu’il puisse établir (ou non si ce n’est pas ça) un diagnostic, et le cas échéant, proposer des traitements pour soulager votre tout-petit. Soulager la douleur La première difficulté qui se pose en général, c’est la douleur à laquelle votre bout de chou est confronté. Il pleure, beaucoup, de véritables hurlements qui vous laissent totalement impuissants à le soulager. On abordera plus spécifiquement après l’alimentation, qui joue un rôle dans cette histoire, mais modifier ou améliorer cette dernière est bien souvent insuffisant pour vraiment limiter la casse. C’est là que le médecin intervient. Pansements gastriques, anti-acides (inhibiteurs de la pompe à protons), il a plein de cordes à son arc et peut aider votre famille et soulager votre bébé. Même si évidemment personne n’aime donner des médicaments à son tout-petit, une douleur importante pèse grandement dans la balance bénéfices-risques (et soyons honnêtes, quand on a une crise de migraine ou autre douleur… on prend aussi un antalgique. C’est du même ordre pour nos p’tits bouts). Le reflux peut parfois impacter d’autres sphères de la santé de votre bébé en induisant notamment une plus grande fragilité sur le plan ORL, ou en provoquant de la toux. Le premier réflexe à avoir donc, c’est de prendre un RDV pour aborder le sujet avec un professionnel de santé, ce qui n’empêche pas en parallèle de chercher d’autres leviers d’action, notamment au travers de l’alimentation. Alimentation et reflux Si l’alimentation du bébé est toujours sujette à débat et réflexions, c’est encore plus vrai dès lors que le bébé présente quelques particularités ! On entend souvent qu’en cas de reflux, il faut espacer les repas et épaissir le lait, or ce n’est pas forcément une très bonne idée ! En effet, les remontées les plus douloureuses ont lieu non pas lorsqu’il y a du lait dans l’estomac, mais lorsque celui-ci est « vide » ! On rappelle que dans ce cas pathologique, les remontées sont présentes même en dehors des repas, qu’il y ait du lait dans le ventre ou non. La présence de lait aide à tempérer un peu l’acidité et à rendre le reflux moins douloureux. Dans le cas du lait épaissi, il s’avère souvent être un peu moins digeste, ce qui peut favoriser…. les reflux. En outre si bébé ne régurgite plus, le contenu de l’estomac remonte quand même toujours, juste moins haut, et au lieu de ne brûler qu’à la montée, il brûle aussi à la descente… On conseille donc plutôt de fractionner les repas en donnant des petites quantités à la fois mais plus souvent (d’autant que boire du lait soulage la douleur), pour aider à limiter l’acidité et éviter l’effet « grosse quantité d’un coup » qui est souvent moins digeste. Si le bébé est allaité, il n’est pas question ni de le tirer pour l’épaissir, ni de stopper l’allaitement ! Le lait maternel est un véritable « médicament » en cas de reflux, ses propriétés cicatrisantes notamment aident grandement à limiter les occurrences d’œsophagite. Il est également très digeste. Ne pas hésiter à proposer autant de fois que bébé le réclame. Si le bébé n’est pas allaité, quelques petites astuces peuvent aider à favoriser sa digestion : Impérativement chauffer le lait. A « température ambiante », la préparation est très indigeste et demande au bébé énormément d’énergie pour réguler sa température interne après un repas perçu comme froid (18-20 degrés c’est assez froid comparativement à la température corporelle de 37), énergie qui n'est pas allouée à la digestion. Proposer le biberon de façon physiologique : bébé semi-assis sur les genoux de son parent, biberon proposé horizontal. Il y aura de l’air sur le haut de la tétine, c’est normal et pas grave. Cette façon de donner permet au tout-petit d’être actif dans sa prise, de ne pas subir un flux trop important, et de plus facilement faire des pauses et ressentir sa satiété. Ne pas hésiter à proposer « à la demande » comme au sein, avec des petites quantités plus fréquentes (évidemment pas toutes les 30mn non plus). Plus bébé aura faim et s’agacera, plus la prise du biberon sera chaotique et moins il gèrera correctement => reflux. La vérité, c’est qu’il n’existe pas de solution magique unique côté alimentation. Charge à chaque parent de faire des tests et de trouver l’équilibre qui semble le mieux convenir à son bébé. Il y a souvent un petit ajustement dans le fractionnement, où on se rend compte par exemple que le bout de chou est plus confortable si on laisse 1h30 entre 2 tétées et que si on donne vraiment tout le temps comme il réclame ça ne le calme pas vraiment. A vous de voir ce qui est le plus adapté à votre famille (même si on est d’accord, ce n’est pas simple !). A noter que dans certains cas, on peut retrouver derrière le reflux une allergie aux protéines de lait de vache (généralement non IGE-médiée), en présence d’autres signaux d’appel cela peut être à discuter avec le médecin pour évaluer la pertinence de tests et/ou éviction. Si votre bébé semble subitement présenter des difficultés importantes à s’alimenter (sous-entendu : il a trop mal), c’est un motif de consultation urgente. N’hésitez pas à appeler le 15 pour obtenir des conseils. Survivre au quotidien… On est d’accord que dit comme ça, ce n’est pas très encourageant, mais les parents passés par là le savent et le confirmeront : le quotidien avec un « bébé RGO » comme on le lit parfois, c’est le mode survie ! Les pleurs importants sont extrêmement fatigants et difficiles à vivre pour les familles. C’est une pathologie qui devrait induire chez les professionnels de santé qui accompagnent le bébé une grande vigilance sur la santé (psychologique en particulier) des parents. C’est un facteur favorisant notamment les dépressions post-partum ou les syndromes du bébé secoué. Une fois le contexte posé, qu’est-ce qu’on fait ? On fait de son mieux.Et comme on peut surtout. Soulager la douleur est une priorité. Pour le reste, si la maison est en bazar et qu’on mange un peu plus de pâtes que d’habitude, ma foi ce n’est pas si grave. C’est le bon moment pour appeler à l’aide autour de vous : grands-parents, oncles et tantes, amis… Pouvoir laisser votre bébé 1h pour souffler dormir, ou déléguer un peu de ménage et de cuisine. Vous pouvez aussi trouver de l’écoute et des ressources auprès des PMI ou de lieux d’accueil parents-enfants (LAEP). D’une manière générale il faut bien intégrer que si votre enfant pleure, ce n’est aucunement de votre faute. Vous ne faites rien « mal », ce n’est pas lié à une incompétence X ou Y de votre part. Vous faites tout le nécessaire pour aider votre bout de chou (d’ailleurs vous êtes précisément en train de lire cet article !). Il s’agit bel et bien d’une pathologie. On a donc fait le tour ici de ce qu’est le reflux, et de quelques ressources et clés pour le quotidien. Le portage physiologique s’avère également être une aide conséquente dans le quotidien, c’est à lire dans le 2nd article consacré à ce thème.

BébéLes pleurs de bébé

Les pleurs de bébé

            Les pleurs font souvent partis de notre quotidien avec l'arrivée de bébé. Ils peuvent être difficiles à vivre, notamment lorsqu'ils sont fréquents ou lorsqu'on ne parvient pas à comprendre leurs significations. Parfois, en tant que parents, nous sommes démunis, épuisés, face à ces derniers, ce qui peut se comprendre. Pourtant, les pleurs sont si importants pour bébé. C'est son unique moyen pour communiquer qu'il a besoin de quelque chose, que quelque chose ne va pas.... Étant donné qu'il n'a pas encore acquit la parole ni la marche pour se déplacer et subvenir lui-même à ses propres besoins. C'est pour lui une question de survie avant tout !! Que se cache-t-il derrière ces pleurs ? Bébé peut avoir un besoin physiologique (la soif, la faim, la couche sale, la chaleur...) ou émotionnel (la peur, le fait de se sentir seul, la sur-stimulation...). Si bébé pleure c'est qu'il a quelque chose, il ne peut pas faire de caprice avant un âge avancé, car son cerveau n'est pas assez mature pour gérer ses émotions.  C'est évident que cela peut paraître parfois usant pour un parent mais la réponse à ses pleurs demeure importante. Les dernières recherches en neurosciences, en psychologie... abondent en ce sens. D'après une étude de psychologie de l'université de Notre Dame des États Unis, par exemple, « laisser un bébé pleurer sans chercher à le consoler aurait des conséquences négatives pour sa santé et pourrait entraîner des problèmes d'anxiété à l'âge adulte ». Il ne s'agit pas de culpabiliser les parents à ce sujet mais de donner l'information. Ni même de culpabiliser les générations qui nous ont précédés ou les personnes de notre entourage qui nous encouragent à laisser pleurer bébé par exemple. Chacun fait avec ce qu'il a reçu de ses parents, avec certains conseils de proches ou de professionnels…. Les avancées à ce sujet sont relativement récentes et parfois encore bien méconnues de beaucoup.             Vous pensez peut-être que tout cela est bien beau dans la théorie mais parfois la pratique est tout autre et, tout simplement, on n'en peut plus ! Il est aussi important de savoir s'écouter avec bienveillance, en tant que parent. Ce n'est pas toujours un rôle facile à tenir. Avant de « craquer », mieux vaut parfois momentanément poser bébé en lieu totalement sécurisé et lui signifier qu'on a besoin de 5 minutes pour se reprendre... Ou encore, passer le relais à quelqu'un de confiance. En tout cas, ne restez pas seuls dans ces moments, vous pouvez en parler à vos proches ou à des professionnels de confiance, à d'autres parents (lors d'ateliers avec d'autres parents par exemple) et vous verrez probablement que vous n'êtes pas si seul à traverser ces difficultés, que d'autres pourront peut-être vous apporter des solutions qui vous conviendront... Et si les pleurs étaient vu sous un angle plus positif ? Savez-vous qu'ils permettent la sécrétion d'hormones favorisant la montée de lait, qu’ils favorisent le lien d'attachement parent – bébé, le sentiment de sécurité chez bébé lorsqu'il y a une réponse adaptée de son parent ? Les larmes aident aussi à restaurer l'équilibre chimique du corps après un stress... Il ne s'agit donc pas de les éliminer à tout prix mais plutôt d'apprendre à les accueillir et les accompagner parfois. Qu'en est-il des coliques ? Aujourd’hui, le terme colique est parfois utilisé fréquemment dès que bébé pleure. Non pas que ces dernières n'existent pas, mais c'est un terme qui peut être « restrictif », car parfois se cache derrière un problème émotionnel et pas forcément de douleur au ventre (bien que cela puisse arriver aussi !). En tant que parent, nous sommes avant tout garant de la sécurité de bébé, en cherchant ce qui le dérange. Nous devons veiller à apporter une réponse adaptée au besoin immédiat, à la gêne. En cas de doute (suspicions de douleur, maladie...), il ne faut pas hésiter à consulter un médecin. Et aussi garder en tête que même propre, rassasié... certaines émotions peuvent demeurer ingérable pour un bébé. Enfin, si vous avez tout essayé, qu’apparemment tout vous semble bien pour le bien être de bébé, peut être est il envisageable de juste le tenir dans ses bras avec amour et lui verbaliser qu'il peut pleurer en sécurité si il en a besoin… D'ailleurs n'est ce pas une preuve de confiance qu'il vous montre, en s'autorisant à pleurer à vos côtés ?             « Imaginez que vous venez tout juste de traverser une expérience traumatisante, quelque chose quivous a profondément perturbé. Vous êtes au bord des larmes et êtes incapable de vous relaxer ou de vousconcentrer. Vous allez trouver une amie ou votre conjoint pour avoir de l’aide. Vous commencez à parlerde ce qui vous est arrivé et de ce que vous ressentez à ce propos.Après un moment d’empathie, votre amie commence à vous calmer en vous disant : « Ça va aller, çava aller, n’y pense plus, s’il te plait ne pleure pas, je ne supporte pas quand tu pleures. Allez, fais moi unsourire maintenant. Laisse moi te préparer quelque chose à manger. Peut-être devrais tu voir unmédecin ? ». Vous allez probablement sécher vos larmes et intérioriser votre souffrance, de façon àpréserver votre amitié et également parce que la réponse de votre amie vous a montré que vous ne pouvez pas être vous-même en sa présence.Maintenant, imaginez- vous dans la même situation, recevant une réponse différente de votre amie.Vous commencez à parler de ce qui vous est arrivé et de ce que vous ressentez. Votre amie vous regardedroit dans les yeux, se penche en avant, et vous prend la main en disant : « Je suis là pour toi, racontemoi ce qui s’est passé. Je peux voir que tu souffres vraiment et je veux que tu saches que je t’aime et que je veux t’aider à surmonter cette expérience ».Elle vous embrasse et vous vous relâchez dans de profonds sanglots, protégé par sa présence. Vousvous laissez aller, parfois de façon incohérente, et elle vous dit : « Raconte m’en plus … Et ensuite ques’est-il passé ? Cela a dû te faire beaucoup de peine. ». Vous la trouverez sincère et cette confiance vousrendra capable de vous laisser aller et de finalement vous reprendre. Votre relation sera plus forte, votre amie se sentira bien parce qu’elle aura été là pour vous et vous vous sentirez plus à même de retrouver un fonctionnement serein. » Article « À l’écoute des bébés», de Vimala McClure, fondatrice de l'AFMB (Association Française de Massage Bébé)

Bébé10 idées originales de cadeaux de naissance

10 idées originales de cadeaux de naissance

Votre bout de chou va bientôt pointer son nez, et votre entourage ne cesse de vous demander de quoi vous avez besoin ou ce que vous souhaiteriez recevoir comme cadeau. Vous essayez désespérément de faire une liste de naissance mais, si vous savez globalement très bien ce que vous ne voulez PAS (vous avez déjà décliné l’offre de tatie Cunégonde et son vieux youpala), vous n’avez aucune idée de ce que vous pourriez bien demander ! On vous aide avec quelques idées. – La contre-liste : exit doudous vêtements and Co Commençons par les cadeaux qu’il faudrait RETIRER des choix possibles. Les doudous : Un doudou c’est mignon. Le problème c’est que généralement, on n’en reçoit pas qu’un seul, plutôt 10 ! Tout ça pour qu’en plus à la fin bébé finisse par choisir un lange, un drap, une couette ou des ballons (dédicace à fiston chéri) et que la flopée de doudous finisse dans un carton à la cave. Les vêtements : En 3 mois ou en 6 mois on en reçoit souvent de quoi habiller des quintuplés (comprendre : on n’arrivera même pas à tout lui mettre que bébé aura déjà changé de taille)… Souvent ce sont des habits très jolis mais également très inconfortables : des petites robes à froufrous, des petits jeans slim, magnifiques pour les photos souvenirs mais beaucoup moins pour votre petit cœur et son confort. Les tailles plus grandes sont plus durables et moins offertes, mais il subsiste le risque qu’au final quand babychou atteindra la bonne morphologie pour le porter (ce qui est difficile à anticiper), le vêtement ne soit pas adapté à la saison. Les attaches tétines : Un peu comme les doudous, c’est un cadeau « facile » et peu coûteux, encore faut-il que bébé ait une tétine ce qui n’est pas assuré ! Les objets dangereux : On le redit et répète : dans un lit de bébé on ne met RIEN. Tours et tresses de lit sont très instagrammables mais présentent un risque d’étouffement non négligeable. Les bébés bougent toujours bien plus qu’on ne le pense et peuvent se coincer dedans, et les matériaux vendus comme « respirants » sont tout aussi problématiques que leurs homologues (marketing bonjour…). D’une manière générale : on n’offre pas à un parent un outil dont on sait qu’il est « contre » ou que ça ne correspond pas à ses valeurs. (On sait, ça semble basique mais cette notion n’est malheureusement pas acquise pour tout le monde ! 1 – Le bain cocoon : la serviette-tablier originale Vous ne le savez pas encore, mais sortir du bain votre petite grenouille toute mouillée, qui glisse, pleure et se débat parce qu’elle serait bien restée dedans, c’est parfois un peu le catch et tout le monde finit trempé ! La conception en tablier permet au parent d’avoir les mains libres pour récupérer son pitchoune, et de pouvoir l’envelopper très rapidement dans la serviette sitôt sorti, pour vite le garder au chaud contre lui tout en restant au sec. Grand, moelleux et incroyablement doux, le bain cocoon est clairement un incontournable ! 2 – Des ateliers parentalité Portage, massage bébé, bain enveloppé, langue des signes… L’offre est de plus en plus développée et permet d’apprendre plein de choses sur son bébé dans une ambiance généralement détendue et chaleureuse. Plus qu’un cadeau matériel, c’est du temps consacré à sa famille et cela aide à renforcer les liens. C’est en outre utile, ce qui ne gâche rien au plaisir ! 3 – Un porte-bébé Parfois un peu onéreux pour une seule personne, le système de portage peut faire l’objet d’un achat groupé. C’est un cadeau utile qui servira au quotidien pour faciliter la vie de toute la famille en comblant les besoins de bébé tout en libérant les bras des parents. Nous conseillons toujours d’avoir à la maison le système de portage principal avant la naissance de bébé, quitte à l’acheter soi-même et se faire rembourser ensuite (possible lorsque c’est un proche qui offre par exemple) : cela permet d’être sûr de l’avoir tout de suite et de ne pas devoir attendre de voir les gens alors que vous en auriez eu besoin plus tôt. SI vous avez déjà votre porte-bébé principal, la liste de naissance peut vous permettre de vous faire offrir un système secondaire (par exemple un sling pour compléter l’écharpe déjà en votre possession). Si vous n’êtes pas encore sûrs de ce qui vous conviendra, n’hésitez pas à préférer une petite cagnotte destinée au financement ultérieur ! 4 – Des soins pour bébé Huile bien-être, pour apaiser les tracas digestifs et coliques ou pour accompagner le sommeil… On apprécie toujours d’avoir de quoi masser son bébé et cela permet d’avoir un contact privilégié avec lui et de renforcer le lien ! Les soins se déclinent également en plein d’autres gammes orientées sur l’heure du bain (savon, shampooings, bain moussant…), les petits bobos du quotidien (contusion, petites plaies…), les virus hivernaux ou encore les piqures d’insectes. Toujours utile à avoir d’avance en cas de besoin. Vous n’arrivez pas à choisir ? Misez sur les coffrets proposant des assortiments de soins sélectionnés selon vos besoins ! Bonus : les huiles Néobulle sont délicatement parfumées et élaborées en France à partir de composés bio et naturels. 5 – Des jeux à mâchouiller En caoutchouc naturel et exempts de produits toxiques, on adore les jeux Oli et Carol, et les enfants aussi ! En forme de fruits et légumes et souples juste comme il faut, c’est un grand must have que bébé adorera mâchouiller quand ses gencives commenceront à chatouiller. La gamme propose aussi des jouets de bain SANS TROUS et qui donc ne moisissent pas (ceux qui savent…). Petit coup de cœur personnel sur l’amanite tue-mouches pour son côté un peu anticonformiste mais on vous laisse le soin de découvrir toute leur gamme ! Les gammes de fruits et légumes se recyclent ensuite dans la dinette, ce qui en font des jeux très durables ! NB : envie d’un cadeau ciblé « poussées dentaires » ? Il est possible d’associer une huile pour les gencives douloureuses au hochet ! 6 – Le pratico-pratique mention « on en a jamais trop » La catégorie « on en a jamais trop » recense tout ce qu’on peut acheter ET se faire offrir en double ou triple ou… parce que comme son nom l’indique, on en a jamais trop ! On retrouve notamment dans la liste : - Les langes : ces grands carrés en tissu mousseline servent absolument à TOUT ! En vrac : pour les régurgitations et vomis, le lait qui déborde pendant la tétée, isoler bébé du sol quand on le pose quelque part, l’emmailloter, en couverture légère improvisée… On prend vite l’habitude d’en semer un peu partout (dans toutes les pièces de la maison, la poussette, la voiture, le sac à langer…), et ils présentent en outre un potentiel de transformation en doudou assez intéressant. - Les lingettes lavables : substitut assez facile aux cotons et lingettes jetables dont on se sert pour nettoyer les fesses de bébé pendant le change, les lingettes lavables font tout aussi bien le job ET elles sont écologiques puisqu’évitent pas mal de déchets. Simples d’entretien, elles restent très utiles également plus tard pour débarbouiller le visage ou rincer les petites mains pleines de chocolat. Envie d’avoir quelque chose de plus complet que juste quelques lingettes ? Visez les kits qui allient des lingettes lavables et les produits de soinqui peuvent les compléter et se glissent facilement dans le sac à langer ! 7 – Des petits plats Ce cadeau là est un peu à part, mais s’inscrit totalement dans la lignée du soutien parental nécessaire en post-partum. Se faire apporter un ou plusieurs plats à mettre au congel, c’est profiter pleinement de la visite de son proche puisqu’on sait qu’ensuite on ne devra pas préparer le repas une fois celui-ci parti ! Et c’est également appréciable d’avoir de l’avance pour les jours un peu difficiles où la fatigue et les pleurs de bébé se mêlent. Marche aussi pour des heures de ménage ou de garde de bébé selon les besoins ! 8 – Un sac à langer nomade On connaît tous le sac à langer sans fond qui permet d’amener avec soi la moitié de la maison. Rassurant pour les premières sorties où on a tendance à le charger un peu « au cas où », mais finalement assez vite encombrant, surtout pour des petites sorties… Le sac à langer nomade se glisse facilement sous la poussette ou dans un grand sac à main, et permet d’avoir à portée de main et avec un encombrement minimum tous les indispensables pour le change de bébé. C’est également un véritable atout pour les parents qui aiment voyager et randonner ! 9 – Des jeux « simples » Par jeux simples, on entend tout ce qui ne contient pas de piles. Que ce soit pour vos nerfs (et vos tympans) ou pour ceux de votre bébé, plus les jeux sont simples et mieux c’est. Exit le bidule qui clignote en faisant du bruit (toujours trop fort et sans possibilité de réglage), et qui surstimule et excite bébé ! On lui préférera des jeux en bois ou en tissu, qui éveillent les sens (le toucher notamment) en douceur. Vaut aussi pour le mobile : un objet qui tourne en faisant de la lumière et de la musique juste au-dessus de la tête de bébé, c’est plus proche de la boule disco en boîte de nuit que de la berceuse apaisante ! 10 – Une couverture de portage/chancelière Le saviez vous ? Les vêtements épais (manteau, combi pilote…) sont déconseillés dans les sièges auto (risque sécuritaire car la sangle n’est plus bien ajustée sur l’enfant) et les porte-bébés (impossibilité de bien régler le système notamment). On retrouve sur le marché des couvertures de portage et des chancelières pour la poussette ou la voiture. Néobulle vous simplifie la vie en combinant les 2 besoins en un seul produit ! Une couverture pensée pour accompagner le portage en protégeant bébé des intempéries grâce à son extérieur déperlant et coupe-vent, ET qui peut s’utiliser en chancelière grâce à l’ouverture permettant de passer la sangle. Votre bout de chou pourra ainsi passer du système de portage au cosy en restant bien au chaud. La liste n’est évidemment pas exhaustive mais on espère que ça vous donnera à vous et à vos proches quelques idées ! A noter que certains besoins arrivant également plus tard dans la vie de bébé et ne pouvant pas être anticipables : les bons cadeaux ou les cagnottes peuvent permettre d’éviter d’acheter plein de choses « inutiles » parce qu’ « il faut », et de profiter en décalé des attentions des proches ! Pour un bon cadeau, c' est par ici !

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