
Première rentrée scolaire : comment la vivre sereinement ?
La première rentrée scolaire est un moment unique dans la vie d’un enfant… et dans celle de ses parents ! Entre l’émotion, l’excitation et parfois un peu d’inquiétude, cette étape marque un grand pas vers l’autonomie. Pour que ce premier jour se passe dans la douceur, il est important de bien s’y préparer, tant sur le plan pratique qu’émotionnel. Voici tous nos conseils pour accompagner votre enfant dans cette nouvelle aventure. Pourquoi la première rentrée scolaire est une étape importante ? Entrer à l’école, c’est découvrir un nouvel environnement : une maîtresse (ou un maître), une ATSEM, des nombreux camarades, une classe avec des espaces délimités, des règles…Certains enfants étaient jusqu'alors gardés par leurs parents, lorsqu'ils avaient fait le choix de mettre entre parenthèse leur carrière, par exemple avec un congé parental. D'autres ont connu l'assistante maternelle ou la crèche. La première rentrée marque un nouveau cap. Cette transition demande une période d’adaptation, autant pour l’enfant que pour les parents. La rentrée en maternelle marque aussi le début de nouvelles habitudes : une routine du matin instaurée par la maîtresse, la découverte du centre de loisir, la cantine, la cours de récréation... Préparer son enfant à la première rentrée scolaire Parler de l'école en amont Pour rassurer votre enfant, parlez-lui de l’école plusieurs semaines avant le premier jour.Expliquez ce qui va se passer :Qui sera là pour l’accueillir (sa maîtresse et l’ATSEM)Ce qu’il fera dans la journée (activités, jeux, sieste, repas)À quel moment il rentrera à la maisonComment se passent les moments clés (arrivée, récréation, départ)Les livres pour enfants sur la rentrée maternelle sont un excellent support pour mettre des mots simples sur ce nouveau rythme.💡Astuce : durant l'été, amusez vous à créer une frise toute simple, pour aider votre enfant à se repérer d'un point de vue temporelle. La frise servira de support visuel au fil de l'été pour répondre à la question "combien de dodo avant la rentrée ?". Visiter l'école avant la première rentrée scolaire Si cela est possible, organisez une visite de l'école maternelle de votre enfant avant la première rentrée scolaire. Voir la classe, la cour et les toilettes permet à l’enfant de se familiariser avec les lieux.Cette découverte visuelle réduit l’angoisse et facilite l’adaptation le jour J. Certaines écoles proposent même une petite rencontre collective avec les futurs camarades, ce qui est idéal pour créer un premier lien social avant la séparation du jour J.💡Astuce : prenez des photos des endroits clefs, que vous pourrez montrer à votre enfant durant l'été. Préparer les affaires scolaires en famille Lors de la première rentrée scolaire, la liste des fournitures est très réduite. Il y a cependant quelques indispensables :Un petit sac à dos facile à ouvrir par l’enfantDes affaires scolaires simples : boîte de mouchoirs, change complet, doudou si besoinUne gourde anti-fuite étiquetée à son nom💡 Astuce : laissez votre enfant choisir son sac à dos pour qu’il se l’approprie. Cela renforcera sûrement son enthousiasme pour la rentrée, d'avoir un sac à dos "comme ceux des grands" ! Instaurer une routine du matin La semaine précédant la rentrée en maternelle, commencez à instaurer une routine du matin similaire à celle de l’école : lever à heure fixe, habillage, petit-déjeuner, brossage de dents. Cela favorisera une transition en douceur en prévision du premier jour d'école.En petite section, les enfants de 3 ans n'ont pas encore la capacité de se repérer dans le temps. Hier, demain, la semaine prochaine, dans une heure .. voici autant de concepts qui lui sont étrangers, à ce stade. Mettre en place des donneurs de temps lui sera d'une aide précieuse pour faciliter l'apprentissage de ces repères spatio-temporels. Par exemple :Un semainier très simple, qui distingue grâce à deux couleurs différentes les temps passés à l'école de ceux passés à la maison,Un tableau de routine du matin, pour rassurer l'enfant et lui permettre d'appréhender l'heure du départ pour l'école,Un réveil qui distingue le jour et la nuit, pour faciliter les moments du coucher et du réveil Gérer le moment de la séparation Les pleurs du matin : un phénomène fréquent durant la première rentrée scolaire Soyons honnête : les pleurs sont fréquents durant les semaines qui suivent la première rentrée scolaire. On vous souhaite sincèrement d'y échapper mais... l'entrée en maternelle s'accompagne de tout un flot d'émotions.Vivre cette séparation, découvrir cet environnement nouveau, rencontrer des camarades inconnus jusqu'alors, c'est un énorme cap à passer. D'autant plus que l'effet de groupe joue aussi. Votre enfant a beau être enthousiaste, la veille de sa première rentrée, le jour J s'il est entouré d'autres enfants qui pleurent, il aura probablement du mal à retenir ses larmes. Cela ne traduit pas un mal-être à l’école, ni une mauvaise préparation de votre part, pas d'inquiétude. Souvent, les enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent.Rassurez-vous : les enseignants et ATSEM sont habitués à accompagner cette étape d’adaptation. Dire au revoir sans s’éterniser La métaphore du sparadrap illustre plutôt bien ce temps délicat de la séparation du matin. Parfois, le fait de dire au revoir sans s'éterniser facilite la transition.Soyez à l'écoute des émotions de votre enfant et de son ressenti, bien sûr. Mais n'hésitez pas à créer un rituel court et identifiable, que vous-mêmes et votre enfant pourra s'approprier pour se sécuriser :L’amener jusqu’à la porte ou en classeDes activités libres sont souvent mises en place par la maîtresse, invitez votre enfant à choisir celle qui lui plaît le plus, Un petit câlin réconfortantUne phrase rassurante (« Je t'aime, passe une belle journée, je reviens te chercher après la sieste »)Pour certains enfants, voir leurs parents rester trop longtemps rend en effet la séparation plus difficile. Accompagner les émotions de son enfant La première rentrée scolaire (et les suivantes) est très souvent chargée d'émotion. C'est la fin d'un chapitre, le début d'un autre. Un nouvel environnement, de nouveaux interlocuteurs. Comme le phare en pleine tempête guide les bateaux égarés, n'hésitez pas à accompagner votre enfant dans la verbalisation de ses émotions. Voici plusieurs ressources qui peuvent être précieuses pour adoucir les angoisses de la séparation : Dessiner un coeur sur la main de votre enfant : astuce bien connue des jeunes parents, dites à votre enfant que ce coeur est chargé de bisous, que s'il en ressent le besoin, il peut le regarder. Que c'est la preuve que vous pensez à lui, toute la journée, et que vous l'aimez de tout votre coeur. La pratique du portage : certains parents redoutent de "trop" porter leur enfant, au risque de leur donner des mauvaises habitudes et de rendre la séparation plus compliquée. Mais c'est tout le contraire : le portage participe à la création d'un lien d'attachement sécure. Un enfant avec un lien d'attachement sécure se sent donc en confiance pour explorer le monde qui l'entoure. Son instinct lui souffle qu'en cas de détresse, donc parent sera toujours là pour l'apaiser.La pratique du massage : les massages présentent de nombreux bienfaits pour les bébés, comme les adultes. Sécrétion d'ocytocine, détente, renforcement du lien d'attachement... N'hésitez pas à l'intégrer à votre routine du soir, par exemple en utilisant l'huile bio P'tits Câlins, qui apaise, nourrit et hydrate la peau.Les huiles essentielles : elles présentent de nombreuses vertus. Pour apaiser les enfants dès 3 ans, l'huile bio Dé-Stress, fabriquée en France, peut devenir votre meilleure alliée avant de partir à l'école ! La question de la continence : pas de panique ! Beaucoup de parents redoutent que leur enfant ne soit pas totalement propre avant la première rentrée scolaire. C'est une angoisse légitime. Mais, en vérité : chaque enfant évolue à son rythme, et il est fréquent que l’acquisition de la continence se poursuive au début de la rentrée maternelle.Les enseignants et ATSEM sont là pour :Aider les enfants en cas d’accidentProposer des passages (très) réguliers aux toilettesEncourager et féliciterL'effet de groupe favorise également cet apprentissage ! Faites confiance à votre enfant. Là encore, certains albums jeunesse aborde cette thématique en douceur.💡 Glissez dans le sac à dos un change complet et une petite pochette pour les vêtements humides. Il existe des culottes d'apprentissage rembourrées pour une transition en douceur. Les 3 erreurs à éviter pour une première rentrée scolaire sereine! Lors de la première rentrée scolaire, l’envie de bien faire est naturelle… mais certains réflexes peuvent, sans qu’on s’en rende compte, augmenter le stress de l’enfant. En gardant en tête que cette étape est avant tout une période d’adaptation, il est plus facile d'adopter des bons réflexes en amont :Inutile de se mettre la pression sur la continence : promis, la continence en journée viendra avec le temps, lâchez prise sur le sujet.Cibler vos questions, le soir : certains parents aimeraient se transformer en petite souris pour observer ce que fait leur enfant durant la journée. Ne vous attendez pas à un compte-rendu détaillé de la part de la maîtresse. Gardez en tête que votre enfant ne peut pas tout retenir et qu'il a accumulé de la fatigue durant la journée. Par exemple, demandez-lui simplement : "qu'est-ce que tu as le plus apprécié durant ta journée ?".Eviter de changer toute la routine familiale en même temps : conserver certains repères habituels pour ne pas perturber davantage ses journées favorisera une transition en douceur. FAQ – Première rentrée scolaire, les questions fréquentes que se posent les parents Mon enfant pleure tous les matins, que faire ? Les pleurs du matin sont fréquents. Ne culpabilisez pas. Rassurez-le sur le fait que vous reviendrez le chercher et adoptez un rituel de séparation constant. La plupart des enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent. Si les pleurs perdurent sur plusieurs semaines, après la rentrée, n’hésitez pas à demander un rendez-vous avec la maîtresse pour discuter des choses qui peuvent être mises en place pour faciliter la séparation. Faut-il que mon enfant sache s’habiller seul ? Pas nécessairement ! La maîtresse et l’ATSEM accompagnent les enfants pour mettre ou enlever leur manteau. L’important est qu’il participe selon ses capacités. C’est en pratiquant qu’il développera sa motricité fine et apprendra à s’habiller en autonomie. Optez pour des vêtements faciles à manipuler et confortables (baskets à scratchs, sweats à enfiler …). Mon enfant n’est pas continent, puis-je lui mettre une couche à l'école ? Non, il n’est pas possible de déposer votre enfant à l’école en couche. C’est valable pour les modèles classiques à scratchs comme pour les modèles panty. Cependant, vous pouvez opter pour des culottes d’apprentissage. Elles contiennent une partie rembourrée qui évite que votre enfant se retrouve trempé en cas d’accident. En conclusion La première rentrée scolaire est un mélange d’émotions pour toute la famille.Il est possible de préparer votre enfant en amont (affectivement et matériellement), de mettre en place une routine du matin rassurante et une communication bienveillante, pour l'aider à vivre cette étape avec confiance.Que ce soit le choix du sac à dos, l'accompagnement des pleurs, la préparation à la séparation, chaque détail compte pour faciliter la transition. Il y aura sûrement un écart entre ce que vous aviez projeté pour ce premier jour d'école et ... la réalité à l'instant T. Il est impossible de tout prévoir à l'avance. Mais souvenez-vous : vous faites au mieux, avec les ressources à votre disposition.

Comment se débarrasser des poux chez bébé ? Tous nos conseils et produits
Lorsqu'on pense aux poux, on les associe généralement à la vie scolaire, aux enfants à l'école ou en collectivité. Pourtant, les poux n'épargnent pas les tout-petits ! Oui, les poux chez bébé, c'est possible, et cela peut rapidement devenir une source de stress pour les parents. Leur peau fragile, leurs cheveux fins et leur difficulté à exprimer une gêne rendent la gestion des poux chez les nourrissons particulièrement délicate.Dans cet article, nous vous donnons toutes les clés pour comprendre comment apparaissent les poux chez bébé, s'ils sont dangereux, comment les traiter en toute sécurité, et quels produits naturels utiliser pour apaiser et protéger le cuir chevelu de votre enfant. Sommaire Est-ce qu'un bébé peut avoir des poux ? Les poux peuvent-ils nuire à un bébé ? Quels produits utiliser contre les poux chez bébé ? Comment traiter les poux chez bébé en toute sécurité ? Prévenir l'apparition des poux chez bébé : les bons réflexes à adopter En conclusion : dites adieu aux poux chez bébé de façon douce et naturelle Est-ce qu'un bébé peut avoir des poux ? La réponse est oui. Même si les nourrissons sont moins exposés que les enfants en collectivité, il est en effet tout à fait possible que bébé attrape des poux. Cela peut par exemple arriver si un frère ou une sœur en ramène à la maison, si l'enfant est gardé par une assistante maternelle, ou s'il est en contact avec des textiles ou objets contaminésEn revanche, les poux ne volent pas et ne sautent pas. Ils se transmettent par contact direct ou via des objets partagés (peignes, coussins, couvertures...). Par ailleurs, on ne suspecte pas toujours leur présence potentielle chez un nourrisson aux cheveux courts ou peu fournis, ce qui retarde le diagnostic. Les poux peuvent-ils nuire à un bébé ? Heureusement, les poux ne sont pas dangereux pour la santé du nourrisson. En effet, ils ne transmettent par exemple pas de maladies graves. Cependant, ils peuvent provoquer des démangeaisons importantes, une irritation du cuir chevelu, voire des lésions si bébé se gratte. Cela peut perturber son sommeil, son humeur, son confort et engendrer une grande nervosité. Sans parler de la charge mentale en termes de gestion, pour le reste de la famille.Par conséquent, il est essentiel d'agir rapidement, idéalement avec des produits respectueux de sa peau sensible et de son jeune âge. Quels produits utiliser contre les poux chez bébé ? La peau des bébés est fragile : nous vous recommandons donc de privilégier les soins dont les ingrédients sont issus de l'agriculture biologique. Chez Néobulle, nous proposons une gamme spécifique et naturelle de produits anti-poux, formulés en France, pour convenir aux tout-petits dès 3 mois tout en respectant leur cuir chevelu. Dès 3 mois : le shampooing Anti-Poux Formulé pour les bébés à partir de 3 mois, le Shampooing Anti-Poux Apaisant de Néobulle est un soin lavant bio, doux et naturel. Grâce à l'huile essentielle de lavande bio, réputée pour ses vertus répulsives, il apaise et repousse les poux tout en respectant leur peau délicate. Il peut être utilisé en prévention ou en complément d'un traitement.Avantages :Usage fréquent possibleSeulement une petite quantité de shampoing est nécessaireDoux pour le cuir chevelu sensible des bébés dès 3 moisCompatible avec l'allaitementAdapté aux femmes enceintes dès 3 moisFabriquée en France, en Haute-Loire Dès 6 mois : lotion traitante Anti-Poux Vous avez repéré des poux chez bébé ? Pour un traitement plus ciblé, la Lotion traitante Anti-Poux de Néobulle est une solution efficace, dès 6 mois. Elle agit par asphyxie des poux et des lentes. Composée à 100% d'ingrédients d'origine naturelle grâce à l'huile de coco, elle est intraitable avec les visiteurs indésirables mais respecte évidemment la peau de toute la famille. Sans insecticide, ni parfum ou huile essentielle, c'est LA solution naturelle, dès la première application. Ce soin s'applique sur cheveux secs, et peut être utilisé en complément d'un shampooing Anti-Poux.Avantages :Sans ingrédients agressifsElimine les poux et lentes naturellementEfficace dès 5 minutes pour les poux, et après une pose d'1h pour les lentesComposée de 100% d'ingrédients naturels Compatible avec la grossesse, l'allaitement et les bébés dès 6 mois Fabriquée en France, en Loir-et-Cher Dès 18 mois : l'huile protectrice Anti-Poux L'Huile protectrice Anti-Poux est idéale en prévention pour les enfants dès 18 mois. Facile à appliquer grâce à son format roll-on, ce stick s'utilise au quotidien lors des périodes à risque pour faire barrière aux poux. Appliquez-la tout simplement derrière les oreilles et sur la nuque de votre enfant. Composée d'un astucieux mélange de 3 huiles essentielles (lavandin, lavande fine et géranium rosat) elle dégage un parfum discret et fleuri qui repousse les indésirables tout en respectant la peau sensible des bambins.Avantages :Application rapide, pratique et cibléeRoll-on ludique à utiliserUtilisation recommandée en cure de 7 jours Format nomade très pratique au quotidien et en vadrouille100% des ingrédients issus de l'Agriculture BiologiqueFabriquée en France, dans la Loire Comment traiter les poux chez bébé en toute sécurité ? 1. Repérer les signes de présence de poux chez bébé Ce n'est déjà pas évident de repérer les signes d'infestations chez un enfant... alors identifier la présence de poux chez bébé constitue un véritable challenge pour les jeunes parents. Nous vous invitons donc à être attentif aux signes suivants :Bébé se gratte souvent la têtePetits boutons rouges ou plaies sur le cuir cheveluPrésence de lentes (petits points blancs) collées aux cheveux 2. Utiliser une routine douce et respectueuse L'utilisation de produits naturels aux ingrédients issus de l'Agriculture Biologique est préférable chez les moins de 2 ans. En effet, leur peau et leur cuir chevelu sont fragiles et méritent donc des soins adaptés et doux.Routine recommandée (en 3 étapes!) :Appliquer la Lotion traitante Anti-Poux sur cheveux secs et sécher au sèche-cheveux ou à l'air libre. Laisser poser pendant une heureRincer abondamment puis laver avec le Shampooing apaisant Anti-PouxPeigner méticuleusement avec un peigne à poux Il n'est pas nécessaire de répéter l'opération, une application suffit. Si vous identifiez la présence de poux chez bébé, n'hésitez pas à prendre les devants en traitant l'intégralité des personnes de votre foyer. Parents, frères et soeurs ... Certes, ce n'est pas un programme très réjouissant, mais vous mettez ainsi toutes les chances de votre côté pour vous débarrasser des poux.💡 Astuce: pour rendre l'application ludique, proposez leur par exemple d'écouter leurs musiques préférées afin que ce moment reste convivial malgré tout. 3. Désinfecter l'environnement Pour éviter une recontamination, voici quatre réflexes incontournables :Faire tremper les brosses, peignes et accessoires pour cheveux dans de l’eau très chaude (minimum 60°C) pendant au moins 10 minutesLaver à 60°C tous les textiles ayant été en contact avec la tête de votre enfant : linge de lit, vêtements, bonnets, peluches, tours de lit, etc.Passez l'aspirateur sur les tapis, canapés et sièges autoEnfermez les objets non lavables dans un sac hermétique pendant 48h Prévenir l'apparition des poux chez bébé : les bons réflexes à adopter Même si la prévention est difficile, elle reste votre meilleure alliée, surtout si vous avez des enfants plus grands à la maison ou si bébé est gardé en collectivité. Voici donc quelques gestes simples à adopter au quotidien pour limiter les risques d'infestation. 💡 Et pour garder une trace de nos conseils, téléchargez notre mémo anti-poux ! Réflexe n°1 : Adopter une routine préventive Utilisez régulièrement un shampoing aux actifs répulsifs naturels comme le Shampooing Anti-Poux (dès 3 mois). En période d’épidémie (rentrée, collectivité…), il peut par exemple être utilisé 2 à 3 fois par semaine pour repousser les visiteurs indésirables. Pour les plus grands, le roll-on d'huile protectrice anti-poux Réflexe n°2 : Inspecter régulièrement la tête de vos enfants Un contrôle visuel hebdomadaire permet de détecter rapidement une infestation débutante. Sur cheveux humides, utilisez un peigne fin pour traquer lentes et poux. Plus c’est pris tôt, plus c’est simple à traiter. Réflexe n°3 : Privilégier des coiffures astucieuses (pour les plus chevelus) Votre bébé a suffisamment de cheveux pour les attacher ? Profitez-en ! Rassembler les cheveux en chignon, tresse ou queue de cheval permet de limiter le contact avec la chevelure d'autres enfants. Les poux se transmettent par contact direct : moins les cheveux sont libres, moins le risque est élevé. Réflexe n°4 : Lutter contre la propagation dans la fratrie Si un grand frère ou une grande sœur est infesté·e, traitez rapidement toute la famille, et appliquez les mêmes mesures préventives à bébé. N’oubliez pas que les poux se déplacent très vite d’une tête à une autre ! Réflexe n°5 : Laver les objets du quotidien en contact avec les cheveux En période d'épidémie, lavez rigoureusement les accessoires ou vêtements en contact avec le cuir chevelu : Faire tremper les brosses, peignes et accessoires pour cheveux dans de l’eau très chaude (minimum 60°C) pendant au moins 10 minutesLaver à 60°C les chapeaux, casquettes, cagoules, bonnets, écharpes... En conclusion : dites adieu aux poux chez bébé de façon douce et naturelle Les poux chez bébé peuvent sembler impressionnants, mais il existe des solutions efficaces et sûres. Chez Néobulle, nous avons conçu une gamme spécifique pour les nourrissons, afin d'agir tout en douceur : Le Shampooing apaisant anti-poux utilisable dès 3 mois La Lotion traitante anti-poux, efficace dès 6 mois L'Huile protectrice anti-poux, préventive dès 18 mois En adoptant une routine naturelle et douce, vous protégez la peau fragile de votre enfant tout en l'aidant à retrouver confort et sérénité. Cela dit, pas de panique : les poux ne sont ni une question d'hygiène ni une fatalité. Avec les bons produits et quelques gestes simples, tout rentre vite dans l'ordre.

Le rôle du co-parent lors de l’accouchement : présence, soutien et magie partagée
la présence du co-parent lors de l’accouchement est devenue une évidence pour beaucoup. Ce moment intense, à la fois physique et émotionnel, ne se vit plus seul·e.
8 bonnes raisons de se faire des câlins !
Des câlins, des bisous, des papouilles, des moments tout doux… A-t-on vraiment besoin d’excuses pour profiter de ces instants de tendresse avec nos proches ? On sait bien que non. Mais parce qu’on culpabilise parfois un peu de réclamer un énième mamour à notre bambin et qu’il est rude en négociation, voici une liste de 8 alibis, de quoi se donner bonne conscience ! Bonne raison de se faire des câlins numéro 1 : c’est bon pour le moral ! Un câlin d’environ 10 secondes permet de libérer plusieurs hormones : de l’ocytocine, des endorphines et de la dopamine, lesquelles sont impliquées dans les processus du plaisir, de l’attachement et du bien-être.Faire un câlin, ce n’est pas une simple accolade, c’est du bonheur en barre, c’est SCI-EN-TI-FI-QUE, et on ne peut pas lutter contre la science… Bonne raison de se faire des câlins numéro 2 : ça sent bon Hmmm la douce odeur de la peau de nos enfants… Une vraie drogue n’est-ce pas ?Tandis qu’on les serre contre nous, on peut discrètement en profiter pour renifler leur crâne ou leur cou et s’enivrer de leur doux parfum de bébé.Profitons-en avant qu’ils ne grandissent et que l’adolescence et ses hormones ne passe par là ! Bonne raison de se faire des câlins numéro 3 : c’est bon pour l’estime de soi Lorsqu’on embrasse et chouchoute nos enfants, on contribue à ce qu’ils se sentent aimés. Cela participe à leur estime d’eux-mêmes et les aide à prendre confiance en eux.On va être O-BLI-GÉS de les couvrir de câlins du coup, c’est pour leur bien ! Bonne raison de se faire des câlins numéro 4 : ça thermorégule La proximité physique aide à réguler la température corporelle. C’est idéal pourSe rafraîchir lorsqu’il fait chaud l’étéSe réchauffer lorsqu’il fait froid l’hiverQuel bonheur de se glisser tous sous la couette lorsqu’il fait froid dehors pour un maxi-câlinou en famille !Bonus : ça marche aussi en porte-bébé ! Bonne raison de se faire des câlins numéro 5 : ça renforce le système immunitaire Le saviez-vous ?Des chercheurs d’une université de Pittsburgh ont réussi à démontrer que les personnes qui recevaient en moyenne plus de câlins sur une journée, étaient statistiquement plus résistants aux rhumes et moins sévèrement atteints. Ils ont posé l’hypothèse que les étreintes amélioreraient les taux d’anticorps.Avouez que ça fait rêver !Bonus Néobulle : et si on accompagnait ce petit boost d’un petit massage à l’huile Atchoum ? Bonne raison de se faire des câlins numéro 6 : ça réduit la pression artérielle Profiter d’un moment doux contre un proche libère de l’ocytocine et participe à la détente et au relâchement général. Le tout permet de réduire le stress, le rythme cardiaque, et la pression artérielle.Tournée générale de free hugs, c’est bon pour la santé ! Bonne raison de se faire des câlins numéro 7 : ça permet de se reposer On est pas bien là, détendus, lovés dans le canapé avec nos bouts de chou contre nous ? Leurs petits doigts potelés qui tripatouillent nos bras… Leur respiration régulière qui nous berce… Nos nuits trop courtes qui se rappellent douloureusement à nous et nos paupières qui se font de plus en plus lourdes…Avec un peu de chance, ils tomberont avec nous et ce sera l’occasion d’une sieste collective ! Bonne raison de se faire des câlins numéro 8 : après ils seront trop grands ! Le déni est grand mais quelque part, loin au fond de nous, on le sait… Un jour nos enfants seront grands, ils iront au collège (et même au lycée), on n’aura plus l’autorisation d’approcher à moins de 200m de l’établissement, alors le câlin devant les copains ?! Trop la hoooonte !Il faut donc en profiter un maximum et faire le plein pendant qu’ils en réclament encore !(Il ne faut pas le dire trop fort mais en vrai, à la maison, à l’abri des regards, sans le dire aux amis, finalement un petit câlin à maman c’est quand même pas si mal !) Alors est-ce que ce n’est pas trop cool ? N’hésitez pas à partager tous les super-pouvoirs des câlins autour de vous en en faisant profiter tous vos proches !

Travailler avec son bébé
Pour certains, reprise d’une activité professionnelle ne rime pas forcément avec mode de garde ! Le choix se fait différemment en travaillant tout en ayant son bébé avec soi. Cela n’est évidemment pas possible pour tout le monde et peut se moduler de diverses façons. On en parle ? Pourquoi travailler avec son bébé ? Choisir de ne pas faire garder son bébé malgré la reprise du travail est une décision qui peut surprendre dans nos cultures. Les raisons sont souvent très diverses selon les familles, on retrouve notamment : L’envie de rester avec son bébé le plus longtemps possible La difficulté à trouver un mode de garde satisfaisant Des particularités de l’enfant nécessitant une présence parentale ou rendant sa garde plus complexe Travailler avec son enfant, c’est aussi une affaire de compromis, avec un mode de garde à temps partiel seulement, qui permet de ménager plus de temps avec lui tout en préservant un espace 100% dédié à son emploi. Quels emplois peut-on concilier avec son bébé ? Avant d’imaginer l’organisation, il est pertinent de s’interroger sur les emplois qui peuvent se concilier avec la présence de votre enfant à vos côtés. Si vous êtes à votre compte, toutes les activités avec des horaires modulables à votre guise et qui se pratiquent depuis votre domicile peuvent « facilement » permettre de garder votre bébé. Lors de ses temps d’éveil vous pouvez vous occuper de lui, et lors de ses siestes et en soirée et/ou tôt le matin, vous pouvez travailler, par exemple. Avec un emploi salarié, sur le papier c’est un peu pareil, mais en vrai cela dépend de la souplesse de votre planning et de la tolérance de votre employeur ! Si pour différentes raisons vos horaires ne sont pas flexibles par exemple, il faut bien garder en tête que le télétravail avec votre enfant risque rapidement de devenir une source d’inconfort et de frustration, surtout s’il est envisagé à temps complet. Nombre de parents à leur compte emmènent aussi leurs enfants avec eux y compris pour des missions en dehors du domicile : on retrouve ainsi des bébés dans certains commerces, dans des champs, sur des marchés, etc… Ils s’intègrent à la vie de la communauté ! Cela nécessite une petite organisation mais c’est tout à fait envisageable si c’est votre souhait. On déconseillera en revanche les activités pouvant porter atteinte à la sécurité ou au bien-être de l’enfant. Si vous êtes chauffeur de taxi par exemple, il n’est pas vraiment indiqué que votre bébé passe sa journée dans un siège-auto avec vous ! S’organiser lorsqu’on travaille avec son enfant Travailler avec son enfant nécessite un minimum d’organisation… et surtout de souplesse !!! Si vous imaginiez que votre bout de chou ferait la sieste la plupart du temps et que vous pourriez travailler simplement pendant ces temps-là, vous risquez fort d’être déçu. Voilà.Du coup comment on gère ?Eh bien comme toujours, on s’adapte, parce qu’on est des super-parents ! La règle d’or de la parentalité, c’est que les enfants ont toujours le chic pour être le plus demandeurs d’attention et lutter le plus que possible pour NE PAS DORMIR parce que DORMIR C’EST SURFAIT quand on a besoin absolument de boucler un dossier important ou de se connecter à une réunion en visio. Dans les petits tips qui peuvent vous aider : Il vaut mieux commencer par nourrir le besoin d’attention de votre enfant plutôt que de chercher à le différer : une fois celui-ci assouvi votre bout de chou sera plus apaisé et vous pourrez avancer plus efficacement (et donc gagner du temps !) Profitez des moments où vous avez d’autres personnes qui peuvent s’occuper de votre petit bout pour programmer des réunions ou des tâches nécessitant plus de concentration. C’est un jour sans ? Cela arrive. Prenez le porte-bébé et allez prendre l’air avec votre bébé, vous travaillerez mieux une fois tout le monde détendu ! Sécurisez un maximum l’espace où vous travaillez avec votre enfant, une fois que celui-ci commencera à se déplacer cela vous permettra d’être plus serein et de ne pas craindre qu’il se mette en danger si vous êtes un peu moins attentif quelques instants. Si c’est possible pour vous, programmez un maximum de plages de travail tôt le matin et/ou tard le soir, à des horaires où votre enfant dort de façon quasi certaine et où vous avez le relai de votre partenaire. Si vous travaillez en extérieur, un bon porte-bébé est indispensable pour libérer vos mains et répondre à la fois aux besoins de votre bébé et aux vôtres. L’idéal est d’apprendre à installer bébé dans votre dos au plus vite ! Jusqu’à quand peut-on garder son enfant avec soi pour travailler ? Tout petit votre bout de chou fait plusieurs siestes, peut être installé dans un porte-bébé et ne se déplace pas encore ou peu, de fait il reste assez aisé de s’organiser dans son travail en sa présence. Lorsqu’il grandit, les temps de sommeil diminuent, il réclame de plus en plus d’attention et de vigilance et il convient d’intégrer de plus en plus d’activités d’éveil dans ses journées, ainsi que des sorties afin qu’il rencontre d’autres enfants de son âge. Ce n’est de fait plus très compatible avec la plupart des emplois. C’est donc souvent le bon moment vers 10-12 mois d'amorcer une transition vers un mode de garde… Pas forcément à temps complet, quelques heures dans la semaine peuvent des fois suffire à couvrir les besoins de chacun ! Les ressources utiles quand on travaille avec son bébé Toujours utile à avoir ou prévoir : Un système de portage, idéalement maîtrisé en dorsal dès que possible, le kit mains-libres du parent qui concilie les besoins de chacun ! Un jouet attrayant à sortir en prévision d’un moment où on souhaite canaliser son enfant sur une activité pour pouvoir se concentrer sur une tâche importante. De la nourriture : un enfant qui a faim est un enfant ronchon. Différer les horaires des repas pour finir un dossier est toujours une mauvaise idée ! Une grand-mère, une amie ou une gentille voisine que vous connaissez bien et qui pourrait garder votre bout de chou une petite heure de temps en temps, toujours pratique ponctuellement ! Quels sont les avantages de garder son enfant avec soi Si le travail avec son enfant implique un certain casse-tête organisationnel, c’est aussi beaucoup de joie en parallèle ! Lorsque c’est choisi, c’est souvent l’occasion de revoir son mode de vie, adapter son rythme à celui de son bébé et cela permet de le voir évoluer et grandir. Cela permet une transition ultérieure vers un mode de garde, plus douce et progressive… Voire parfois chez certaines familles, c’est l’occasion de se poser d’autres questions et de changer complètement de projets de vie ! En bref vous l’aurez compris, avoir son enfant avec soi lorsqu’on travaille est un petit exercice de souplesse et d’organisation, mais quel bonheur de pouvoir profiter de lui au quotidien ! Cela vaut tout l’or du monde.

10 idées d'activités "chill" avec bébé
L’automne s’installe… Les températures se font plus fraîches, les journées plus courtes et la météo plus instable et humide… C’est le moment de l’année où on aime ressortir ses gros pulls moelleux, s’enfouir sous un plaid avec un mug de cacao chaud et se détendre. Bébé est arrivé depuis votre dernier automne à chiller sous la couette en amoureux ? Qu’à cela ne tienne ! On vous donne 10 idées d’activités relaxation en famille. Idée « chill » n°1 : Des massages en famille Une noisette d’huile P’tits Câlins et c’est parti pour une petite séance de massages en famille !Avec les plus jeunes on peut cibler le petit ventre tortillé ou s’amuser à chatouiller un peu les pieds…Pour les plus grands, pourquoi ne pas en faire un rituel ? Imprimez des cartes représentant différentes zones du corps. Chaque dimanche, on en tire une au sort pour voir ce qu’on va masser !Rien de tel pour faire le plein de douceur et évacuer toutes les tensions de la semaine… Aviez-vous remarqué que l’huile p’tits câlins sentait bon la frangipane ? Idée « chill » n°2 : Une balade en forêt Même si la fraîcheur s’installe, le soleil est parfois encore de la partie, illuminant de ses rayons le flamboiement des arbres.Bébé calé dans son porte-bébé, la couverture de portage pour se tenir bien au chaud, et hop, en route pour une petite balade en forêt pour aller admirer les belles couleurs de l’automne.Si vous avez des plus grands, ils adoreront aussi faire des bouquets de feuilles mortes et en faire ensuite des beaux dessins à offrir à tout le reste de la famille ! Idée « chill » n°3 : Faire des crêpes ou un bon gâteau Même si votre bébé est encore un peu jeune pour y goûter (il faut attendre qu’il soit capable de gérer les morceaux), rien ne vous empêche d’en préparer !Dès qu’il est en âge de pouvoir y être installé, n’hésitez pas à mettre votre tout-petit dans sa chaise haute à côté de vous pendant la préparation pour qu’il puisse observer les différentes étapes. Les enfants adorent vous imiter : donnez-lui un saladier en plastique et une cuiller en bois dans les mains pour faire « comme maman/papa », extase garantie !Pour les plus grands, casser les œufs, verser la farine dans le bol ou touiller la pâte sont des activités généralement très appréciées. Prévoir des habits qui se lavent facilement (ou encore mieux : un tablier !) pour éviter que le stress des tâches ne gâche le moment. Idée « chill » n°4 : Aller au musée Une ambiance calme, l’occasion d’apprendre plein de choses, et un lieu abrité des intempéries… Que demander de plus ?On n’y pense pas toujours mais c’est une sortie originale et l’occasion d’attiser la curiosité naturelle des plus jeunes et de leur faire découvrir de nouveaux univers.Le saviez-vous ? Tous les musées et monuments nationaux sont gratuits pour les enseignants et les moins de 25 ans tout le temps, et pour tous chaque premiers dimanches du mois ! Idée « chill » n°5 : Prendre un bain avec bébé On parle beaucoup des vertus du peau à peau, mais avez-vous déjà essayé de prendre un bain avec votre bébé ?Contre vous dans l’eau, il retrouve certains réflexes et certaines sensations connus in utero, maxi détente assurée !Attention, la sortie de la baignoire peut s’avérer un peu acrobatique ! On vous conseille de toujours avoir votre conjoint.e à proximité pour assurer la logistique serviette de toilette. Idée « chill » n°6 : Un atelier de découverte sensorielle Des tissus de textures différentes, des bacs avec de la farine ou des pois chiches, des petits pots remplis d’épices aux odeurs bien caractéristiques… Parfois il n’est pas nécessaire d’investir dans des jeux très onéreux, il suffit d’ouvrir les placards pour improviser des ateliers riches en apprentissages pour vos bébés !Goût, vue, ouïe, odorat, toucher… Choisissez votre thème, trouvez quelques accessoires les plus variés que possibles en lien avec, installez-vous confortablement avec votre bout de chou et au choix selon son âge : laissez-le explorer l’atelier librement ou proposez-lui vous les différentes sensations. La découverte sensorielle peut être proposée dès les premières semaines de vie, mais il faut l’adapter à l’âge de votre tout-petit. Plus votre bébé est jeune, plus les éléments doivent être différenciés et plus le temps de l’activité doit être court car c’est très stimulant et fatigant. On vous invite à être assez attentifs aux réactions de votre loustic et à stopper la séance lorsque vous sentez qu’il commence à s’énerver, même si cela vous a semblé « rapide » (quelques minutes peuvent suffire à un bébé de quelques semaines par exemple) ! Idée « chill » n°7 : Ecouter des musiques douces La musique adoucit les mœurs dit-on, et à raison.Amis mélomanes, c’est le moment de faire découvrir vos playlists favorites à vos enfants !Quelle team serez-vous ?Plutôt musique classique, jazz, bols tibétains, bruits de la nature… Pour une ambiance apaisante…Ou percussions, pop, rock, métal… pour danser, s’éclater et se défouler !Laissez libre cours à toutes vos envies et faites vous plaisir !Si vous jouez vous-même d’un instrument vos bambins seront également ravis de vous voir et entendre répéter… de quoi susciter une vocation chez eux plus tard, qui sait ? Idée « chill » n°8 : Aller à l’aquarium S’il y a un aquarium proche de chez vous, c’est une sortie qui peut valoir le détour avec votre petit bout !L’ambiance y est généralement douce et apaisante, notamment grâce aux lumières réduites bleutées. Depuis son porte-bébé, votre bébé pourra observer les poissons évoluer dans les différents bassins. Idée « chill » n°9 : Lire des contes Sobre, basique, efficace : la lecture !!!Voyager, découvrir le monde, l’univers, sans quitter son canapé ? Grâce aux livres tout est possible. Dès ses premières semaines de vie, votre bout de chou peut vous écouter lui raconter des histoires, vous pouvez lui montrer des livres d’images et lui donner le goût pour les contes et les aventures sur papier.Votre enfant se découvre un féroce appétit de lecture ? N’hésitez pas à arpenter les bibliothèques pour faire le plein de nouveautés sans vous ruiner. Idée « chill » n°10 : Faire la sieste Quand on a un bébé, le sommeil est devenu une denrée aussi rare que précieuse. Votre bout de chou s’est assoupi dans son berceau ? Vite, votre lit chaud et douillet vous appelle pour un petit somme réconfortant et récupérateur !On est pas bien là, enroulé dans le cocon moelleux de son édredon, à se laisser paisiblement emporter dans les bras de Morphée, bercé par la respiration apaisée de son petit cœur ? Fermez les yeux, PROFITEZ ! Vous voilà armés pour affronter les week-ends de l’hiver ! Quelle activité allez-vous expérimenter ?

Fin de congé maternité : bien préparer sa reprise
Votre congé maternité ou parental touche à sa fin et après une pause plus ou moins longue c’est bientôt le moment pour vous de reprendre votre activité professionnelle.Comment bien préparer votre reprise ? À quoi penser pour que tout se passer au mieux ? On essaye de faire le tour ensemble ? Accepter l’ambivalence des sentiments liés à la reprise du travail Vous aimez votre bébé et vous avez le cœur en miettes à l’idée de le laisser en garde…MAIS vous êtes si heureuse de faire quelque chose pour vous…MAIS quel déchirement de quitter votre petit bout…MAIS quel bonheur de discuter avec des adultes !Vous oscillez ainsi entre joie intense et désespoir vis-à-vis de ce retour au travail, parfois plusieurs fois dans la même heure.Rassurez-vous, vous n’êtes pas folle !Vous êtes juste une maman normale traversée par toute l’ambivalence des sentiments générés par des émotions contradictoires…En chacune de nous peuvent cohabiter plusieurs envies, pas toujours raccord les unes avec les autres, et il est ainsi tout à fait légitime d’aimer son enfant plus que tout, mais d’en avoir un peu marre aussi et de vouloir retrouver un peu sa vie de femme active… Mais que ce soit malgré tout difficile de le laisser à quelqu’un d’autre et de s’en séparer (alors même qu’on en rêve, de ce moment sans lui !).Y’a-t-il une solution magique pour gérer cela ? Malheureusement non. Mais savoir que c’est normal est souvent déjà aidant !NB : souvent c’est aussi la culpabilité qui s’invite à la fête, reprendre le travail ne fait pas de vous une « moins bonne mère » ! Vous avez le droit d’avoir hyper envie et hâte de reprendre votre activité sans que cela veuille dire que vous n’aimez pas votre bout de chou ! Ce n’est pas un concours de qui en fera le plus pour son enfant, à chaque famille de trouver l’équilibre qui lui convient en fonction de ses contraintes. Qui gardera mon bébé à la fin de mon congé maternité ? Qui dit reprise du travail dit trouver un mode de garde pour son petit bout. L’exercice s’avère parfois délicat car s’articule autour de nombreuses contraintes qui dépendent de paramètres parfois indépendants de votre volonté.Certaines périodes de l’année sont plus propices à la recherche : en Septembre notamment, ou en Janvier. En effet, avec les rentrées scolaires, beaucoup de places se libèrent. Pour autant gardez bien à l’esprit que ce n’est pas impossible d’obtenir un mode de garde le reste de l’année : des structures ouvrent, des assistantes maternelles démarrent leur activité, des parents déménagent ou changent de mode de garde… Vous avez parfois l’impression de chercher le mouton à 5 pattes mais ne savez plus trop sur quoi vous pouvez ou non faire des compromis ? Une petite astuce peut être de faire une liste des critères classés par ordre d’importance : vous pouvez rogner facilement sur les items en bas de la liste, mais pas sur ceux tout en haut, faute de quoi il y a fort à parier que vous vous retrouviez à chercher en catastrophe un nouveau mode de garde peu de temps après votre reprise ! Poursuivre l’allaitement ou sevrer mon bébé pour préparer ma reprise ? Si votre bébé est allaité, la question peut se poser de le sevrer ou non en vue de la reprise. Sachez que contrairement à nombre d’idées reçues, il est tout à fait possible de concilier allaitement et activité professionnelle, et que ce n’est même pas si compliqué que cela !Envie d’en savoir plus sur ce sujet ? N’hésitez pas à faire un tour sur cet article complet qui vous donnera plusieurs infos et petites astuces pour évaluer la faisabilité (ou non !) de ce projet pour vous.On vous invite également en parallèle à en parler avec une professionnelle de santé formée (consultante en lactation certifiée IBCLC, sage-femme). Vous pouvez aussi vous rapprocher d’associations de soutien à l’allaitement qui proposent souvent des groupes de parole dédiés qui peuvent permettre de se projeter et d’échanger avec d’autres mamans confrontées à la situation. Souplesse et lâcher prise, les maîtres mots du retour au travail serein Même si évidemment on le sait, s’occuper de son bout de chou ce n’est pas de tout repos et que le « congé maternité » n’a de « congé » que le nom… On ne va pas se mentir, après plusieurs semaines passées à la maison, réintégrer 7h de travail (+ trajets, pause déjeuner and co) dans le planning de la journée, cela créée une certaine désorganisation !Peut-être faut-il dans un premier temps ne pas fixer la barre trop haut et organiser sa reprise en douceur… Se laisser le temps de trouver ses marques, voir quel nouvel équilibre s’instaure pour la famille, et ne pas chercher à être à fond sur tous les fronts ! Le temps des parents n’étant pas extensible, à chaque famille de fixer ses priorités, qui ne seront pas les mêmes selon les vécus personnels. Chez certains, la maison sera un peu plus en bazar et la serpillère passée un peu moins assidument, chez d’autres cela passera par une période de plats tout prêts, etc… Et ce n’est pas grave ! Tant que tout est à peu près propre et que vous avez quelque chose à manger d’à peu près équilibré dans vos assiettes, ma foi tout va bien. Ce sera toujours temps plus tard de retrouver une organisation un peu plus carrée !N'hésitez pas également à demander un peu d’aide en amont : de la famille ou un des amis proches seront sans doute ravis de vous accorder un peu de temps pour vous accompagner dans cette étape importante de votre nouvelle vie. Un petit coucou aux collègues avant la fin du congé maternité Si l’entente est bonne avec vos collègues, n’hésitez pas à venir leur présenter votre petite merveille en amont de votre reprise…Déjà parce que c’est le plus beau bébé du monde et il est essentiel qu’ils le sachent et puissent le constater par eux-mêmes ! C’est au passage une bonne façon de reprendre doucement contact avec l’entreprise, avoir quelques nouvelles, et si le cœur vous en dit et que votre retour est assez proche dans le temps, de commencer à voir comment va s’articuler votre rentrée.D’une manière générale il est judicieux d’avoir un contact avec votre responsable avant votre date de retour pour savoir ce qui est prévu pour vous, demander si un temps de passation a été envisagé avec la personne qui vous a remplacée, etc. N’hésitez pas à évoquer les contraintes spécifiques éventuelles inhérentes à vos nouveaux besoins. Se chouchouter pour une reprise en beauté L’estime de soi est souvent un peu diminuée en post-partum, on se sent grosse (bébé est né mais les kilos, eux, sont restés !), flasque, on perd nos cheveux…Et si vous profitiez des heures d’adaptation chez la nounou ou à la crèche de votre petit bout pour faire un petit tour chez le coiffeur histoire de rafraîchir un peu votre coupe de cheveux ?Après plusieurs semaines (mois) à prendre soin de ce petit cœur H24, vous avez bien mérité ce moment rien que pour vous ! Ce peut aussi être l’occasion d’aller renouveler un peu votre garde-robe histoire d’appréhender la reprise avec des habits dans lesquels vous vous sentez belle. N’est-ce pas moins stressant comme ça ?Cette fois-ci vous êtes prête pour le grand jour… Courage, tout va bien se passer pour vous et pour votre bout de chou !

Prendre les transports avec son bébé
Que l’on vive en ville ou à la campagne, il arrive forcément un moment où la question se pose de prendre les transports avec son bébé. Cela peut être un bus ou un métro quotidien, mais également un trajet en train ou en avion plus exceptionnel !Quelles sont les petites astuces à connaître pour que tout se passe au mieux ? On vous dit tout ! Le portage dans les transports en commun Si vous êtes amenés à prendre le bus, le métro ou le tramway, on vous invite à ranger votre poussette et à lui préférer le porte-bébé !Entre les escaliers, les accès parfois un peu délicats et l’espace intérieur réduit, vous apprécierez de voyager léger !Les transports peuvent être assez sollicitant pour les tout-petits qui sont parfois vite impressionnés par les bruits et par la foule. Être contre vous les rassure et leur permet d’observer ce nouvel environnement à leur guise tout en profitant de plein de câlins.Le petit bonus appréciable notamment en période hivernale : si vous êtes réticents à ce que des inconnus touchent votre bébé sans votre autorisation préalable (à fortiori sans s’être lavé les mains ET dans des transports en commun), il est probable que la situation se présente moins avec votre bébé en portage qu’en poussette ! Votre petit coeur étant lové contre vous, il leur faut pénétrer votre espace corporel pour l’atteindre, ce qui constitue un frein pour la plupart des gens. Porter son bébé dans le train Dans le train aussi, on vous encourage vivement à préférer le système de portage à la poussette ! C’est bien plus facile pour circuler dans la gare tout en tirant les valises, ça permet de grimper dans le wagon facilement, et ça évite le casse-tête du rangement de la poussette dans les espaces déjà pleins (sans parler des risques de vol).Parfois si le voyage est un peu long, votre bout de chou peut avoir du mal à trouver son sommeil, le portage peut permettre de vous « promener » un peu entre les différentes voitures et parvenir à l’accompagner dans son endormissement. Dans le porte-bébé, votre bambin peut aussi apprécier de se lover et de se sentir « protégé » de tous les stimuli qui l’entourent et peuvent parfois l’agacer un peu. Porter son bébé à l’aéroport Prendre l’avion avec son bébé, c’est toute une expédition ! Les parents baroudeurs le savent, voyager léger, c’est tellement plus pratique, et pour cela rien de tel qu’on bon porte-bébé qui accompagnera fidèlement toutes vos aventures, même les plus folles !Et la toute première d’entre elles, c’est le passage des portiques de sécurité de l’aéroport… Enlever les chaussures, le manteau, la ceinture, et tout ce qu’on a dans les poches, tout en tenant son bébé qui lui-même ne doit rien porter de sensible… Une véritable épreuve de Kho-Lanta !Munis de votre porte-bébé, l’opération se révèlera moins acrobatique. On vous conseille un système qui se retire facilement, comme un sling ou un préformé, ce qui vous permettra d’installer ou désinstaller votre bout de chou à volonté selon les nécessités du moment. Il vous sera en outre également très utile pour gérer sereinement l’embarquement puis la descente de l’avion qui peuvent être assez sensibles avec des tout-petits mais aussi des plus grands parfois difficiles à canaliser ! Occuper bébé dans les transports Pour que le trajet avec bébé se déroule au mieux, il est vivement conseillé de prévoir de quoi l’occuper !Lorsqu’il s’agit d’un petit trajet du quotidien, un jouet basique est généralement suffisant :HochetLivre à lire si vous arrivez à obtenir une place assise dans le carPetite bouteille sensorielle facile à transporter Un enfant qui a faim étant par nature un enfant ronchon, avoir un paquet de biscuits et une bouteille d’eau dans son sac s’avère généralement une bonne idée lorsqu’on sent que le trajet devient compliqué. Cela permet également de palier les imprévus tels qu’un métro en panne ou autre incident occasionnant des retards importants qui diffèrent d’autant l’heure usuelle du repas !Si on parle d’un voyage plus long, en train ou en avion, vous pouvez miser sur des nouveautés pour distraire votre bout de chou ! Prévoyez un sac exprès, et remplissez-le de plein de petits jeux achetés exprès pour l’occasion, que vous sortirez au fur et à mesure du trajet (pas tous d’un coup !).Que ce soit lors d’un petit ou d’un long déplacement, pour le confort de tous (le vôtre certes mais aussi celui des autres passagers), on vous recommande vivement d’éviter les jeux sonores à pile et autres instruments de musique ! Ajuster la tenue dans les transports Lorsqu’on se déplace on aime être à l’aise dans ses vêtements : c’est pareil pour nos bébés !En ville l’hiver, en extérieur, on se protège du froid et de l’humidité emmitouflés dans nos manteaux. Puis on rentre dans le bus où il y a du monde et où le chauffage est en route, et naturellement on se découvre un peu.Pensez à faire de même avec votre p’tit bout ! Retirez son bonnet et découvrez-le légèrement pour qu’il n’ait pas trop chaud.Vous voilà parés à prendre les transports avec votre bébé, quel sera votre prochain trajet ?

Les coiffures anti-poux !
Vous connaissez TOUT sur les poux. Vous avez déjà lu notre précédent article à leur sujet. Vous tartinez vos enfants d'huile protectrice chaque matin, et vous avez dans vos placards de quoi parer à toute invasion. C'est quoi l'étape suivante ? Que pouvez-vous faire de plus ? On vous propose 5 idées de coiffures anti-poux ! Idée coiffure anti-poux numéro 1 : une queue de cheval Niveau de difficulté : Débutant capillaire Temps d'exécution : Moins de 3 minutes Accessible avec un simple élastique, même le plus inexpérimenté peut obtenir un résultat plus que satisfaisant ! Idée coiffure anti-poux numéro 2 : une natte Niveau de difficulté : Apprenti chevelu Temps d'exécution : 5 minutes Un peu plus technique que la queue de cheval, la natte reste néanmoins à la portée des néophytes, pourvu qu'ils sachent compter jusqu'à 3 ! Idée coiffure anti-poux numéro 3 : des couettes Niveau de difficulté : Aspirant Artiste-Démêleur Temps d'exécution : 5 minutes Pré-requis : Savoir faire une queue de cheval simple La principale difficulté de cette coiffure, c'est de réussir à centrer la séparation (la raie)... Ou d'assumer totalement qu'on ne sait PAS où est le milieu et la décentrer VOLONTAIREMENT (et y aller franco pour bien montrer que sisi c'est fait EXPRÈS) ! Idée coiffure anti-poux numéro 4 : des macarons tressés Niveau de difficulté : Padawan de la tignasse Temps d'exécution : 10 minutes Pré-requis : - Savoir faire des couettes - Savoir faire une natte Habile combinaison des couettes et des nattes, les macarons tressés vous font clairement passer un cap (capillaire) dans les comparatifs de la cour de récré. Bien moins technique à réaliser que le résultat ne le laisse supposer, vous aussi vous pourrez frimer devant l'école en faisant croire que vous avez passé beaucoup de temps à coiffer vos enfants ! Idée coiffure anti-poux numéro 5 : des tresses africaines Niveau de difficulté : Grand-Maître de la Perruque à Frisottis Temps d'exécution : 30 minutes Pré-requis : - Savoir faire des couettes - Savoir faire une natte - Savoir faire une tresse africaine On la met là parce que c'est un peu l'Everest du parent-coiffeur-débutant, histoire d'être un peu exhaustif, mais entendons-nous bien, on vous déconseille fortement de vous aventurer par là tant que vous ne maîtriserez pas un minimum l'art capillaire ! Le gros avantage de cette coiffure restant qu'une fois bien réalisée, elle peut être gardée plusieurs jours de suite sans être défaite, ce qui optimise grandement le temps passé à la réaliser. En plus d'être jolie ! Ca y est, vous êtes prêts pour la prochaine vague ! On attend les photos de vos expérimentations les plus folles, tout est bon à tester pourvu qu'aucune mèche de cheveux ne dépasse !





