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Travailler avec son bébé

Travailler avec son bébé

Pour certains, reprise d’une activité professionnelle ne rime pas forcément avec mode de garde ! Le choix se fait différemment en travaillant tout en ayant son bébé avec soi. Cela n’est évidemment pas possible pour tout le monde et peut se moduler de diverses façons. On en parle ?

Pourquoi travailler avec son bébé ?

Choisir de ne pas faire garder son bébé malgré la reprise du travail est une décision qui peut surprendre dans nos cultures. Les raisons sont souvent très diverses selon les familles, on retrouve notamment :

  • L’envie de rester avec son bébé le plus longtemps possible
  • La difficulté à trouver un mode de garde satisfaisant
  • Des particularités de l’enfant nécessitant une présence parentale ou rendant sa garde plus complexe

Travailler avec son enfant, c’est aussi une affaire de compromis, avec un mode de garde à temps partiel seulement, qui permet de ménager plus de temps avec lui tout en préservant un espace 100% dédié à son emploi.

Quels emplois peut-on concilier avec son bébé ?

Avant d’imaginer l’organisation, il est pertinent de s’interroger sur les emplois qui peuvent se concilier avec la présence de votre enfant à vos côtés.

Si vous êtes à votre compte, toutes les activités avec des horaires modulables à votre guise et qui se pratiquent depuis votre domicile peuvent « facilement » permettre de garder votre bébé. Lors de ses temps d’éveil vous pouvez vous occuper de lui, et lors de ses siestes et en soirée et/ou tôt le matin, vous pouvez travailler, par exemple.

Avec un emploi salarié, sur le papier c’est un peu pareil, mais en vrai cela dépend de la souplesse de votre planning et de la tolérance de votre employeur ! Si pour différentes raisons vos horaires ne sont pas flexibles par exemple, il faut bien garder en tête que le télétravail avec votre enfant risque rapidement de devenir une source d’inconfort et de frustration, surtout s’il est envisagé à temps complet.

Nombre de parents à leur compte emmènent aussi leurs enfants avec eux y compris pour des missions en dehors du domicile : on retrouve ainsi des bébés dans certains commerces, dans des champs, sur des marchés, etc… Ils s’intègrent à la vie de la communauté ! Cela nécessite une petite organisation mais c’est tout à fait envisageable si c’est votre souhait.

On déconseillera en revanche les activités pouvant porter atteinte à la sécurité ou au bien-être de l’enfant. Si vous êtes chauffeur de taxi par exemple, il n’est pas vraiment indiqué que votre bébé passe sa journée dans un siège-auto avec vous !

S’organiser lorsqu’on travaille avec son enfant

Travailler avec son enfant nécessite un minimum d’organisation… et surtout de souplesse !!!

Si vous imaginiez que votre bout de chou ferait la sieste la plupart du temps et que vous pourriez travailler simplement pendant ces temps-là, vous risquez fort d’être déçu.

Voilà.
Du coup comment on gère ?
Eh bien comme toujours, on s’adapte, parce qu’on est des super-parents !

La règle d’or de la parentalité, c’est que les enfants ont toujours le chic pour être le plus demandeurs d’attention et lutter le plus que possible pour NE PAS DORMIR parce que DORMIR C’EST SURFAIT quand on a besoin absolument de boucler un dossier important ou de se connecter à une réunion en visio.

Dans les petits tips qui peuvent vous aider :

  • Il vaut mieux commencer par nourrir le besoin d’attention de votre enfant plutôt que de chercher à le différer : une fois celui-ci assouvi votre bout de chou sera plus apaisé et vous pourrez avancer plus efficacement (et donc gagner du temps !)
  • Profitez des moments où vous avez d’autres personnes qui peuvent s’occuper de votre petit bout pour programmer des réunions ou des tâches nécessitant plus de concentration.
  • C’est un jour sans ? Cela arrive. Prenez le porte-bébé et allez prendre l’air avec votre bébé, vous travaillerez mieux une fois tout le monde détendu !
  • Sécurisez un maximum l’espace où vous travaillez avec votre enfant, une fois que celui-ci commencera à se déplacer cela vous permettra d’être plus serein et de ne pas craindre qu’il se mette en danger si vous êtes un peu moins attentif quelques instants.
  • Si c’est possible pour vous, programmez un maximum de plages de travail tôt le matin et/ou tard le soir, à des horaires où votre enfant dort de façon quasi certaine et où vous avez le relai de votre partenaire.
  • Si vous travaillez en extérieur, un bon porte-bébé est indispensable pour libérer vos mains et répondre à la fois aux besoins de votre bébé et aux vôtres. L’idéal est d’apprendre à installer bébé dans votre dos au plus vite !

Jusqu’à quand peut-on garder son enfant avec soi pour travailler ?

Tout petit votre bout de chou fait plusieurs siestes, peut être installé dans un porte-bébé et ne se déplace pas encore ou peu, de fait il reste assez aisé de s’organiser dans son travail en sa présence.

Lorsqu’il grandit, les temps de sommeil diminuent, il réclame de plus en plus d’attention et de vigilance et il convient d’intégrer de plus en plus d’activités d’éveil dans ses journées, ainsi que des sorties afin qu’il rencontre d’autres enfants de son âge. Ce n’est de fait plus très compatible avec la plupart des emplois.

C’est donc souvent le bon moment vers 10-12 mois d'amorcer une transition vers un mode de garde… Pas forcément à temps complet, quelques heures dans la semaine peuvent des fois suffire à couvrir les besoins de chacun !

Les ressources utiles quand on travaille avec son bébé

Toujours utile à avoir ou prévoir :

  • Un système de portage, idéalement maîtrisé en dorsal dès que possible, le kit mains-libres du parent qui concilie les besoins de chacun !
  • Un jouet attrayant à sortir en prévision d’un moment où on souhaite canaliser son enfant sur une activité pour pouvoir se concentrer sur une tâche importante.
  • De la nourriture : un enfant qui a faim est un enfant ronchon. Différer les horaires des repas pour finir un dossier est toujours une mauvaise idée !
  • Une grand-mère, une amie ou une gentille voisine que vous connaissez bien et qui pourrait garder votre bout de chou une petite heure de temps en temps, toujours pratique ponctuellement !

Quels sont les avantages de garder son enfant avec soi

Si le travail avec son enfant implique un certain casse-tête organisationnel, c’est aussi beaucoup de joie en parallèle !

Lorsque c’est choisi, c’est souvent l’occasion de revoir son mode de vie, adapter son rythme à celui de son bébé et cela permet de le voir évoluer et grandir.

Cela permet une transition ultérieure vers un mode de garde, plus douce et progressive…

Voire parfois chez certaines familles, c’est l’occasion de se poser d’autres questions et de changer complètement de projets de vie !

En bref vous l’aurez compris, avoir son enfant avec soi lorsqu’on travaille est un petit exercice de souplesse et d’organisation, mais quel bonheur de pouvoir profiter de lui au quotidien ! Cela vaut tout l’or du monde.

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La frise servira de support visuel au fil de l'été pour répondre à la question "combien de dodo avant la rentrée ?". Visiter l'école avant la première rentrée scolaire Si cela est possible, organisez une visite de l'école maternelle de votre enfant avant la première rentrée scolaire. Voir la classe, la cour et les toilettes permet à l’enfant de se familiariser avec les lieux.Cette découverte visuelle réduit l’angoisse et facilite l’adaptation le jour J. Certaines écoles proposent même une petite rencontre collective avec les futurs camarades, ce qui est idéal pour créer un premier lien social avant la séparation du jour J.💡Astuce : prenez des photos des endroits clefs, que vous pourrez montrer à votre enfant durant l'été. Préparer les affaires scolaires en famille Lors de la première rentrée scolaire, la liste des fournitures est très réduite. Il y a cependant quelques indispensables :Un petit sac à dos facile à ouvrir par l’enfantDes affaires scolaires simples : boîte de mouchoirs, change complet, doudou si besoinUne gourde anti-fuite étiquetée à son nom💡 Astuce : laissez votre enfant choisir son sac à dos pour qu’il se l’approprie. Cela renforcera sûrement son enthousiasme pour la rentrée, d'avoir un sac à dos  "comme ceux des grands" !  Instaurer une routine du matin La semaine précédant la rentrée en maternelle, commencez à instaurer une routine du matin similaire à celle de l’école : lever à heure fixe, habillage, petit-déjeuner, brossage de dents. Cela favorisera une transition en douceur en prévision du premier jour d'école.En petite section, les enfants de 3 ans n'ont pas encore la capacité de se repérer dans le temps. Hier, demain, la semaine prochaine, dans une heure .. voici autant de concepts qui lui sont étrangers, à ce stade. Mettre en place des donneurs de temps lui sera d'une aide précieuse pour faciliter l'apprentissage de ces repères spatio-temporels. Par exemple  :Un semainier très simple, qui distingue grâce à deux couleurs différentes les temps passés à l'école de ceux passés à la maison,Un tableau de routine du matin, pour rassurer l'enfant et lui permettre d'appréhender l'heure du départ pour l'école,Un réveil qui distingue le jour et la nuit, pour faciliter les moments du coucher et du réveil Gérer le moment de la séparation Les pleurs du matin : un phénomène fréquent durant la première rentrée scolaire Soyons honnête : les pleurs sont fréquents durant les semaines qui suivent la première rentrée scolaire. On vous souhaite sincèrement d'y échapper mais... l'entrée en maternelle s'accompagne de tout un flot d'émotions.Vivre cette séparation, découvrir cet environnement nouveau, rencontrer des camarades inconnus jusqu'alors, c'est un énorme cap à passer. D'autant plus que l'effet de groupe joue aussi. Votre enfant a beau être enthousiaste, la veille de sa première rentrée, le jour J s'il est entouré d'autres enfants qui pleurent, il aura probablement du mal à retenir ses larmes. Cela ne traduit pas un mal-être à l’école, ni une mauvaise préparation de votre part, pas d'inquiétude. Souvent, les enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent.Rassurez-vous : les enseignants et ATSEM sont habitués à accompagner cette étape d’adaptation. Dire au revoir sans s’éterniser La métaphore du sparadrap illustre plutôt bien ce temps délicat de la séparation du matin. Parfois, le fait de dire au revoir sans s'éterniser facilite la transition.Soyez à l'écoute des émotions de votre enfant et de son ressenti, bien sûr. Mais n'hésitez pas à créer un rituel court et identifiable, que vous-mêmes et votre enfant pourra s'approprier pour se sécuriser :L’amener jusqu’à la porte ou en classeDes activités libres sont souvent mises en place par la maîtresse, invitez votre enfant à choisir celle qui lui plaît le plus, Un petit câlin réconfortantUne phrase rassurante (« Je t'aime, passe une belle journée, je reviens te chercher après la sieste »)Pour certains enfants, voir leurs parents rester trop longtemps rend en effet la séparation plus difficile. Accompagner les émotions de son enfant La première rentrée scolaire (et les suivantes) est très souvent chargée d'émotion. C'est la fin d'un chapitre, le début d'un autre. Un nouvel environnement, de nouveaux interlocuteurs. Comme le phare en pleine tempête guide les bateaux égarés, n'hésitez pas à accompagner votre enfant dans la verbalisation de ses émotions. Voici plusieurs ressources qui peuvent être précieuses pour adoucir les angoisses de la séparation : Dessiner un coeur sur la main de votre enfant : astuce bien connue des jeunes parents, dites à votre enfant que ce coeur est chargé de bisous, que s'il en ressent le besoin, il peut le regarder. Que c'est la preuve que vous pensez à lui, toute la journée, et que vous l'aimez de tout votre coeur. La pratique du portage : certains parents redoutent de "trop" porter leur enfant, au risque de leur donner des mauvaises habitudes et de rendre la séparation plus compliquée. Mais c'est tout le contraire : le portage participe à la création d'un lien d'attachement sécure. Un enfant avec un lien d'attachement sécure se sent donc en confiance pour explorer le monde qui l'entoure. Son instinct lui souffle qu'en cas de détresse, donc parent sera toujours là pour l'apaiser.La pratique du massage : les massages présentent de nombreux bienfaits pour les bébés, comme les adultes. Sécrétion d'ocytocine, détente, renforcement du lien d'attachement... N'hésitez pas à l'intégrer à votre routine du soir, par exemple en utilisant l'huile bio P'tits Câlins, qui apaise, nourrit et hydrate la peau.Les huiles essentielles : elles présentent de nombreuses vertus. Pour apaiser les enfants dès 3 ans, l'huile bio Dé-Stress, fabriquée en France, peut devenir votre meilleure alliée avant de partir à l'école !  La question de la continence : pas de panique ! Beaucoup de parents redoutent que leur enfant ne soit pas totalement propre avant la première rentrée scolaire. C'est une angoisse légitime. Mais, en vérité : chaque enfant évolue à son rythme, et il est fréquent que l’acquisition de la continence se poursuive au début de la rentrée maternelle.Les enseignants et ATSEM sont là pour :Aider les enfants en cas d’accidentProposer des passages (très) réguliers aux toilettesEncourager et féliciterL'effet de groupe favorise également cet apprentissage ! Faites confiance à votre enfant. Là encore, certains albums jeunesse aborde cette thématique en douceur.💡 Glissez dans le sac à dos un change complet et une petite pochette pour les vêtements humides. Il existe des culottes d'apprentissage rembourrées pour une transition en douceur. Les 3 erreurs à éviter pour une première rentrée scolaire sereine! Lors de la première rentrée scolaire, l’envie de bien faire est naturelle… mais certains réflexes peuvent, sans qu’on s’en rende compte, augmenter le stress de l’enfant. En gardant en tête que cette étape est avant tout une période d’adaptation, il est plus facile d'adopter des bons réflexes en amont :Inutile de se mettre la pression sur la continence : promis, la continence en journée viendra avec le temps, lâchez prise sur le sujet.Cibler vos questions, le soir : certains parents aimeraient se transformer en petite souris pour observer ce que fait leur enfant durant la journée. Ne vous attendez pas à un compte-rendu détaillé de la part de la maîtresse. Gardez en tête que votre enfant ne peut pas tout retenir et qu'il a accumulé de la fatigue durant la journée. Par exemple, demandez-lui simplement : "qu'est-ce que tu as le plus apprécié durant ta journée ?".Eviter de changer toute la routine familiale en même temps : conserver certains repères habituels pour ne pas perturber davantage ses journées favorisera une transition en douceur. FAQ – Première rentrée scolaire, les questions fréquentes que se posent les parents Mon enfant pleure tous les matins, que faire ? Les pleurs du matin sont fréquents. Ne culpabilisez pas. Rassurez-le sur le fait que vous reviendrez le chercher et adoptez un rituel de séparation constant. La plupart des enfants s’apaisent rapidement après le départ du parent. Si les pleurs perdurent sur plusieurs semaines, après la rentrée, n’hésitez pas à demander un rendez-vous avec la maîtresse pour discuter des choses qui peuvent être mises en place pour faciliter la séparation. Faut-il que mon enfant sache s’habiller seul ? Pas nécessairement ! La maîtresse et l’ATSEM accompagnent les enfants pour mettre ou enlever leur manteau. L’important est qu’il participe selon ses capacités. C’est en pratiquant qu’il développera sa motricité fine et apprendra à s’habiller en autonomie. Optez pour des vêtements faciles à manipuler et confortables (baskets à scratchs, sweats à enfiler …). Mon enfant n’est pas continent, puis-je lui mettre une couche à l'école ? Non, il n’est pas possible de déposer votre enfant à l’école en couche. C’est valable pour les modèles classiques à scratchs comme pour les modèles panty. Cependant, vous pouvez opter pour des culottes d’apprentissage. Elles contiennent une partie rembourrée qui évite que votre enfant se retrouve trempé en cas d’accident. En conclusion La première rentrée scolaire est un mélange d’émotions pour toute la famille.Il est possible de préparer votre enfant en amont (affectivement et matériellement), de mettre en place une routine du matin rassurante et une communication bienveillante, pour l'aider à vivre cette étape avec confiance.Que ce soit le choix du sac à dos, l'accompagnement des pleurs, la préparation à la séparation, chaque détail compte pour faciliter la transition. Il y aura sûrement un écart entre ce que vous aviez projeté pour ce premier jour d'école et ... la réalité à l'instant T. Il est impossible de tout prévoir à l'avance. Mais souvenez-vous : vous faites au mieux, avec les ressources à votre disposition.

BébéPrévenir et apaiser les petits bobos de bébé : tous les conseils Néobulle !

Premiers bobos de bébé : les identifier et apaiser

Même si un nouveau-né est souvent en bonne santé, il n’est pas à l’abri de petits désagréments au fur et à mesure qu'il grandit. Acquisition du quatre pattes et de la marche, premières poussées dentaires, inconforts digestifs... Savoir identifier et soulager rapidement les bobos de bébé permet d’apaiser toute la famille.Sommaire Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Bobos de bébé n°1 : les maux de ventre et inconforts digestifs Reconnaître les signes des coliques et d'inconfort digestif Les douleurs digestives sont fréquentes durant la première année de vie de bébé. Notamment les premières semaines, puis au moment de la diversification alimentaire. L'immaturité du système digestif du nouveau-né y est pour beaucoup : les choses se mettent en place petit à petit. Bébé se tortille, son visage se crispe, il pédale et pousse avec ses jambes ? Votre instinct vous souffle la réponse : ce sont bien les signes d'un inconfort digestif ! Gestes simples pour soulager bébé Voici quelques réflexes simples à intégrer dans votre quotidien pour soulager votre bébé : Réalisez de petits cercles dans le sens des aiguilles d’une montre avec l'huile Bio Calm’Bidou, dès la naissance.Appliquez-la après le change ou lors d'une phase d'éveil calme (évitez les crises de pleurs)Ramenez doucement les genoux de bébé contre son ventre pour faciliter l'évacuation des gaz.Réalisez un bain enveloppé en fin de journée pour l’aider à se détendre.💡 Astuce parent : En cas de doute ou si les symptômes persistent, demandez toujours l’avis de votre médecin. Bobos de bébé n°2 : les premières chutes et petites bosses Sécuriser l’environnement de bébé Même les tout-petits peuvent parfois basculer et s'improviser cascadeurs en herbe! Par exemple lors de l'acquisition du quatre pattes ou de la marche. Sécurisez les pièces de votre logement (coins de table, tapis antidérapants…), mais n’oubliez pas : ces petits bobos de bébé font partie de la découverte du monde. Soulager bébé avec un soin adapté Gardez à portée de main l'huile Bio Badaboum. C’est le chouchou de nombreux parents : à base d’arnica et d’hélichryse, elle apaise bosses et bleus dès 3 mois. Grâce à son format roll-on, elle s’applique directement sur la peau, sans massage. Bobos de bébé n°3 : les douleurs dentaires Quand apparaissent les premières dents ? Les poussées dentaires débutent généralement entre 3 et 6 mois, mais chaque bébé évolue à son rythme. Certains naissent même avec une première dent !Ces poussées dentaires s’accompagnent souvent d’irritabilité, de salivation abondante, de rougeurs au niveau des joues et peuvent avoir un impact sur le sommeil de votre tout-petit (et... le vôtre!). Apaiser les premières poussées dentaires Même s'il n'existe aucune recette miracle pour apaiser entièrement les poussées dentaires, voici quelques gestes simples pour soulager en douceur votre bébé :Massez doucement ses gencives avec l'huile Bio Premières Dents dès 3 mois, composée d'une combinaison d'huiles végétales et d'huiles essentielles calmantes,Proposez un anneau de dentition réfrigéré pour un effet apaisant.Si votre bébé est diversifié, placez quelques glaçons de fruits ou de lait maternel dans une grignoteuse, Offrez une présence rassurante et des câlins pour aider votre bébé à traverser cette étape (spoiler : les sessions portage peuvent aider et favoriser la sécrétion d'ocytocine !)➡️ Pour en savoir plus sur les poussées dentaires, découvrez notre article dédié ! Bobos de bébé n°4 : égratignures, griffures et autres maux du quotidien Pas de panique : les petits bobos sans gravité Les ongles de bébé poussent vite et peuvent occasionner des griffures, tout comme les jeux ou les découvertes du quotidien. Si vous allaitez, vous avez peut-être déjà eu l'occasion de constater à quel point leurs petits ongles peuvent être redoutables !En été, la peau tendre des bébés a aussi tendance à régaler les moustiques.Au fil du développement moteur de votre bébé, il commence à ramper et faire du quatre pattes. C'est souvent une période sensible pour leurs genoux, qui s'égratignent facilement. Une solution douce et rapide Pour les petites coupures, égratignures, genoux griffés ou coudes abîmés, l'huile Bio P’tits Bobos est idéal. Son format roll-on le rend tellement pratique à appliquer, sur un bébé qui a la bougeotte, dès 3 mois !Formulée avec des huiles essentielles de ciste, de géranium rosat et de lavande fine, ce stick favorise la réparation cutanée et convient à toute la famille ! En résumé : des gestes simples pour apaiser les premiers bobos de bébé Les petits bobos font partie intégrante de la vie de bébé et du quotidien des parents. Qu’il s’agisse d'inconforts digestifs, de petites chutes, de poussées dentaires ou de griffures, apprendre à les identifier et à les soulager avec douceur permet d'apaiser toute la famille. En adoptant des gestes simples, en utilisant des produits adaptés et en offrant une présence rassurante, vous accompagnez votre enfant dans sa découverte du monde qui l'entoure.